En solfège, les degrés de la gamme de DO majeur sont : DO : degré I (la tonique) RÉ : degré II (la sus-tonique) MI : degré III (la médiante)
Par exemple, la note sol est la dominante des gammes de do majeur et do mineur.
La tonalité de do majeur (ut majeur) se développe en partant de la note tonique do ou ut (surtout utilisé dans le langage théorique). Elle est appelée C major en anglais et C-Dur dans l'Europe centrale.
Les arpèges de la gamme de do majeur
Par exemple, l'accord de do est composé des notes : do – mi – sol (on saute le ré et le fa). Autre exemple, l'accord de ré est composé des notes : ré – fa – la (on saute le mi et le sol).
Les notes de la gamme de Do majeur sont les suivantes : Do (C), Ré (D), Mi (E), Fa (F), Sol (G), La (A), Si (B), Do (C).
Quelle est la dominante de DO majeur ? La dominante de DO majeur est SOL, car c'est la dominante est le cinquième degré de la gamme.
L'arpège est un accord brisé où chaque note est entendue l'une après l'autre. Généralement, on débute l'arpège par la note la plus grave de l'accord.
Le CAGED est une méthode qui permet de se repérer sur le manche à partir de 5 formes d'accords ouverts, et de jouer un même accord partout sur le manche ! Pour cela, vous aurez besoin de connaître la notation anglo-saxonne, car CAGED n'est pas un mot, mais le nom des accords DO – LA – SOL – MI – RE.
Si vous voulez arpéger un autre accord majeur, il faudra décaler toutes ces positions du bon nombre de cases. Par exemple, pour arpéger un Ré majeur il faudra décaler ce schéma de 2 cases vers les aigües (Ré étant 2 demi-tons plus aigüe que Do).
L'échelle de la mineur naturel est : la, si, do, ré, mi, fa, sol, la. Altérations : aucune.
Pour connaître la tonalité de votre morceau, commencez par repérer le dernier dièse de l'armature. Par exemple, si vous avez 3 dièses à la clef, il s'agira du sol dièse. Ajoutez alors un demi ton, ce qui vous donne La. Vous êtes donc en La Majeur.
Dans la musique tonale, la médiante est le troisième degré d'une tonalité. Au même titre que la sus-dominante, elle est appelée « note modale » parce qu'elle permet de faire la différence entre le mode majeur et le mode mineur.
Cela signifie que si le morceau original est en do, pour le jouer en si b, il faudra descendre toutes les notes d'un ton. Cela s'appelle transposer. La transposition est très utile, notamment pour le chanteur, afin que son registre vocal puisse s'accorder avec les musiciens qui l'accompagnent.
L'armure coïncide avec celle de la tonalité relative mi mineur. La lecture audio n'est pas prise en charge dans votre navigateur. Vous pouvez télécharger le fichier audio. L'échelle de sol majeur est : sol, la, si, do, ré, mi, fa♯, sol .
L'arpège n'est pas la mélodie. Un accord ce sont des notes jouées ensembles pour l'accompagnement mais l'arpège ce sont ces mêmes notes constituant l'accord jouées une par une et également pour l'accompagnement .
ARPÈGE, subst. masc. 1. [Principalement dans l'exercice du piano, du violon, de la harpe, de la guitare et de certains instruments à vent] Ensemble des notes d'un accord jouées ou chantées successivement et rapidement du grave à l'aigu (arpège ascendant) et de l'aigu au grave (arpège descendant).
Un accord est arpégé lorsque les notes sont jouées successivement, l'une après l'autre. Il faut décomposer l'accord de ses notes au lieu de les plaquer ensemble comme nous l'avons déjà vu. La succession des notes peut se faire de différentes manières et le jeu peut être plus ou moins rapide.
La tonalité correspond au mode majeur ou mineur utilisé dans une œuvre. Chaque tonalité est caractérisée par des altérations. Grâce à elle, on peut donc définir si l'on utilise une gamme majeure ou mineure. Elle est définie par une gamme de 7 notes différentes, comprenant 7 degrés.
SOL + 1 = LA. La tonalité majeure d'une armure à 3 dièses est donc La Majeur. Dans une armure à 6 dièses, le dernier dièse est un MI.
L'échelle de la majeur est : la, si, do♯, ré, mi, fa♯, sol♯, la.
La septième de dominante fondamentale peut produire la triade de tonique fondamentale ou bien, son deuxième renversement, mais pas son premier renversement, parce que, en descendant au IIIe degré, la dominante provoquerait la doublure d'une note résolutive par mouvement direct.