En ce temps-là, des pharisiens abordèrent Jésus et, pour le mettre à l'épreuve, ils lui demandaient : « Est-il permis à un mari de renvoyer sa femme ? » Jésus leur répondit : « Que vous a prescrit Moïse ? » Ils lui dirent : « Moïse a permis de renvoyer sa femme à condition d'établir un acte de répudiation. » Jésus ...
Le tafwîd s'établit lors du contrat de mariage : le mari se dépouille alors de son droit de répudiation, et concède à la femme celui de se répudier elle-même. Le khul' permet à la femme de divorcer lorsque le tribunal refuse de prononcer celui-ci, moyennant compensation.
− [Corresp. à répudier A] Rupture du mariage par la volonté unilatérale d'un époux; le plus souvent, renvoi de la femme par son mari. Chez les Romains, la répudiation facultative altérait gravement, au détriment des femmes, l'état de pleine monogamie (Comte,Philos.
L'Eglise accepte malgré tout qu'un couple marié religieusement soit amené à se séparer ou même à divorcer. Le fait de vivre séparé de son conjoint n'est pas un péché ni un motif d'exclusion.
répudier
Dans les législations antiques et dans le droit musulman, renvoyer sa femme en vertu de dispositions légales par décision unilatérale du mari. 2. Littéraire. Rejeter un sentiment, une opinion, etc. : Répudier ses engagements.
Pour répudier sa femme, il est nécessaire que le mari consigne une somme d'argent pour l'enregistrement de l'acte de répudiation par les adouls. Toutefois, si le mari ne parvient pas à consigner la somme dans le délai de 30 jours, il est considéré avoir renoncé à son intention de répudier.
Qu'est-ce qu'une répudiation ? C'est le pouvoir unilatéral reconnu par la coutume au mari, de rompre les liens du mariage. L'époux doit s'adresser à la justice de commune ou au Tribunal d'Instance pour se faire établir un certificat de répudiation. C'est donc un droit discrétionnaire reconnu exclusivement au mari.
Ainsi, en cas de divorce, il n'y a pas de possibilité de remariage par l'Eglise, si ce n'est des bénédictions d'alliances ou des messes symboliques qui ne sont en aucun cas liées au sacrement du mariage.
Le mariage étant indissoluble, l'Église catholique ne prévoit aucune procédure de divorce, ni de remariage, et ne reconnaît pas le divorce ni le remariage civil. Les divorcés non remariés ou remariés au civil sont toujours considérés par l'Église catholique comme mariés.
La doctrine de l'Eglise catholique interdit en effet l'accès aux sacrements comme la communion ou la confession aux divorcés remariés, estimant que leur nouvelle union est une trahison devant Dieu de leur premier -- et unique -- conjoint.
Généralement, il est admis par la communauté que la non-répudiation peut être atteinte seulement en utilisant la technologie du certificat électronique. En effet cette technologie permet de prouver l'identité d'une personne par la possession de sa propre clé privée.
− [Le compl. d'obj. désigne qqn] Dans certaines législations, notamment antiques, renvoyer sa femme par une décision unilatérale selon des formes légales ou coutumières (par opposition au divorce qui suppose une décision de justice). Répudier sa femme.
Le délai de viduité, qui impose à la femme un délai de 300 jours entre la dissolution d'un premier mariage et la célébration d'un nouveau, est supprimé, de nouveaux moyens permettant de déterminer la paternité d'un enfant (art. 6, art. 228 du code civil, art.
L'islam, considérant le mariage comme un contrat privé, accepte sa dissolution par le divorce. En principe, le divorce n'est pas sollicité par la communauté musulmane, sauf pour des raisons valables émises par l'une des parties. Les relations de couple en Islam sont basées sur l'harmonie et l'amour.
Il n'existe pas de définition universelle de l'infidélité.
Cela peut prendre plusieurs formes : penser ou être attiré par quelqu'un d'autre, embrasser quelqu'un, flirter, avoir des conversations orientées vers le sexe avec d'autres personnes que son ou sa conjoint.
Il s'agit d'éviter les conflits de filiation paternelle concernant les enfants conçus pendant la période au cours de laquelle les précédents époux étaient en instance de divorce.
« La communion sacramentelle peut ne pas être possible pendant un très long intervalle à cause des différentes infirmités que Dieu envoie à sa créature pour l'éprouver, mais cette privation, lorsqu'elle ne dépend pas de nous, n'empêche pas la sainteté.
une nullité absolue : ne pas être majeur au moment du mariage (sauf autorisation des parents et du ministère public), un inceste, une bigamie, absence de consentement d'au moins l'un des époux, une absence d'un époux, une incompétence de l'officier de l'état-civil ou s'il n'a pas la qualité d'officier d'état civil.
Sur l'acte de mariage, vérifiez la date à laquelle a été officialisée l'union : En cas de nullité relative, vous disposez d'un délai de 5 ans à partir de la date du mariage pour le faire annuler. En cas de nullité absolue, vous disposez d'un délai de 30 ans à partir de la date du mariage pour le faire annuler.
Cet intérêt légitime peut résulter, pour le juge : de l'intérêt des enfants mineurs ; de la durée longue du mariage ; de la connaissance ou reconnaissance professionnelle de l'époux demandeur sous le nom marital.
Pour pouvoir se remarier, légalement, il faut donc avoir divorcé préalablement et dans ce cas, il est tout à fait possible de se remarier avec la même personne, sans limite : il est possible de divorcer et se remarier dix fois avec la même personne !
Le concubinage ou le remariage de votre ex-épouse ne justifiera pas l'interruption du versement de la contribution à l'entretien et l'éducation de vos enfants.
? Le divorce aura notamment des conséquences sur : le devenir de la résidence des enfants et le logement familial. le patrimoine des conjoints (qui sera séparé selon le régime matrimonial choisi) et leur situation financière (notamment si l'un des époux ne travaillait pas au cours du mariage).
La loi prévoit en effet trois motifs valides pour divorcer : la séparation des époux depuis un an, l'adultère et la cruauté physique ou mentale.
Cette liquidation s'effectue devant un notaire. La date d'effet de la séparation de corps sur les biens des époux est fixée à la date de la demande en séparation de corps. À la demande de l'un des époux, cette date peut être fixée par le juge à la date à laquelle ils ont cessé de cohabiter.