La structure idéale est la structure grumeleuse, dans laquelle 50 % du volume est occupée par des pores. Elle permet une très bonne aération du sol, et un drainage efficace. Contrairement à la texture, la structure s'entretient et peut s'améliorer, par l'apport régulier de matières organiques (MO).
Les petits espaces vides (micropores) retiennent quant à eux l'eau dont les plantes ont besoin. Cette structure « idéale » est appelée structure grumeleuse.
Sol argileux
Culture: Sol très fertile, car il est riche en éléments nutritifs; il ne doit pas être gorgé d'eau afin de ne pas affecter la croissance végétale; convient à la culture de la tomate, de l'orge, du soya, etc. Avantages: Sol qui retient bien l'eau et qui est très fertile.
Les loams sableux et les loams conviennent le mieux pour la culture des pommes de terre : ils ont une capacité de rétention d'eau assez bien équilibrée, leur structure est stable, ils sont bien aérés et ont une bonne conductibilité thermique.
Lorsque la terre est bien équilibrée en argile, sable, calcaire et humus (20 % d'argile, 10 % de calcaire, 65 % de sable et 5 % d'humus), on parle de « terre franche », qui est la terre de jardin idéale.
Les terres les plus fertiles d'Europe
Le tchernoziom ukrainien se caractérise par une forte épaisseur de terre enrichie en matière organique : 1 mètre en moyenne (mais parfois jusqu'à 6 m), alors qu'elle n'est communément que de 20 centimètres sur les autres types de terres agricoles.
Les sols disposent d'une bonne proportion d'éléments nutritifs, mais d'un faible stock de carbone. On apprécie la qualité d'un sol en fonction notamment de sa texture, de sa structure et de sa composition.
Support physique des cultures, un sol fertile doit avoir une structure et une profondeur qui permettent aux plantes de développer leurs racines pour s'ancrer, retenir l'humidité et évacuer l'eau en excès. Sa composition doit permettre un bon approvisionnement en éléments nutritifs (N,P,K), en eau et en oligo-éléments.
Un sol riche en humus, ou sol humifère, est donc généralement de couleur foncée, frais, riche et meuble, tandis qu'un sol peu humifère est souvent clair, friable, rapidement sec, sensible au compactage et plutôt pauvre (il existe cependant des exceptions : on peut très bien avoir un sol clair et riche, ou brun et ...
Les sols PVC et vinyle
Les plus : Simples à poser, ils s'ajustent à toutes les pièces et offrent une bonne isolation phonique et thermique. Ils sont souvent antitaches, anti-rayures, antichocs et antidérapants. 100 % étanches, ils ne craignent ni l'humidité, ni la chaleur, ni la lumière et sont faciles à entretenir.
Vous l'aurez compris, le PVC est sans doute l'un des revêtements les plus résistants. Cependant, d'autres matériaux peuvent rivaliser avec lui, comme le lino. Tout comme le PVC, ce type de sol peut se présenter sous forme de dalles, rouleaux ou lames.
Un sol argileux est le plus souvent riche en éléments fertilisants et retient l'eau, mais est lourd, peu drainé, et lent à se réchauffer. Il est dur à travailler. Un sol calcaire est filtrant, fertile si profond, mais alcalin (certains éléments nutritifs peu disponibles) et sec si peu profond.
Le sable possède une structure aérée, chaque grain imperméable est séparé de son voisin par de l'air. Dans un premier temps, l'eau remplace l'air et est absorbée.
Le pH du sol
La plupart des plantes s'accommodent d'un pH autour de la neutralité (de 6 à 7,5). Mais certaines exigent cependant une terre acide (plantes acidophiles) ou au contraire calcaire.
Dans la plupart des cultures en sol minéral, la disponibilité des éléments fertilisants et l'activité des microorganismes sont favorisées lorsque le pH se situe entre 6 et 7. En sol organique (productions maraîchères essentiellement), l'intervalle optimal se situe plutôt entre 5 et 5,8.
Les indicateurs observés par les viticulteurs
Plusieurs viticulteurs ont dit observer la pierrosité et la texture de leurs sols pour en évaluer la qualité. De même, la couleur et l'odeur des sols ont été souvent données par les viticulteurs comme un indicateur de fertilité des sols.
Le sol sableux : c'est un sol léger qui ne retient pas beaucoup d'eau (et donc les fertilisant). Lorsqu'on le prend dans les mains, il s'effrite. Le pH de ce type de sol est de 6,2 à 6,6. Le sol acide : la terre est d'aspect foncé, riche en humus (issue de la décomposition des matières organiques végétales).
Sols sableux
Les sols sableux sont souvent secs, pauvres en substances nutritives et très drainants. Ils sont peu (ou pas du tout) aptes à transporter l'eau jusqu'aux couches profondes par capillarités.
La structure idéale est la structure grumeleuse, dans laquelle 50 % du volume est occupée par des pores. Elle permet une très bonne aération du sol, et un drainage efficace. Contrairement à la texture, la structure s'entretient et peut s'améliorer, par l'apport régulier de matières organiques (MO).
C'est le cas, notamment, des purins de plantes, de la corne broyée, du sang séché, des fientes de volaille, du tourteau … Pour enrichir la terre sur le long terme, et donc améliorer la qualité du sol, il faut se tourner vers les amendements humiques que sont les paillis, le compost, les fumiers, ou les engrais verts.
L'action : le fumier permet de fertiliser rapidement et fortement un nouveau sol (argileux, peu humifère) en lui apportant de l'humus et des éléments vite assimilables par les cultures. Il vaut mieux du fumier « vieux » de 1 à 2 ans (pailles peu visibles) et il est préférable de ne pas l'enfouir très profondément.
Sol riche et limoneux : la terre est poudreuse et douce lorsqu'elle est sèche. Sol léger et sableux : la terre est très granuleuse et sa texture est poreuse. Le sol riche en humus : le sol possède une texture spongieuse, la terre est légère et arbore des teintes très sombres.