Les « interprètes » de La Divine Comédie sont très nombreux, et ont tous adopté une démarche différente. La plus récente, la plus moderne, et la plus consultée, est à ce jour celle de Jacqueline Risset : fidèle avec aisance, sans notes.
Je trouve l'édition de la Divine Comédie par Garnier Flammarion très bonne, en effet ! La traduction de Jacqueline Risset est très fidèle au texte et accessible. Les notes sont suffisantes pour une bonne compréhension du texte mais il ne faut pas y chercher un apparat critique.
Composée au début du XIVe siècle, la Commedia est l'œuvre de Dante la plus célèbre et l'un des plus importants témoignages de la civilisation médiévale. Connue et étudiée dans le monde entier, elle est tenue pour l'un des chefs-d'oeuvre de la littérature.
La Carte de l'Enfer
Sandro Botticelli a également illustré la Divine Comédie.
Dès les premières pages, il vous accueille avec une spectaculaire carte de l'Enfer... Découvrez l'un des trésors de la Bibliothèque nationale de France, un manuscrit somptueusement enluminé du début du XVe, consacré à la première partie de La Divine Comédie de Dante : L'Enfer.
"La divine comédie" est un voyage imaginaire en enfer, au purgatoire et au paradis publié au début du XIVème siècle. Son succès a conduit d'autres auteurs du Moyen-Age, comme Pétrarque et Boccace, à écrire aussi en dialecte, posant les fondations de l'italien moderne.
Cela s'applique aussi à Dante, qui se fait graver par l'ange qui garde la porte du Purgatoire sept "P" sur le front, symbolisant les sept péchés capitaux.
Grandiose dans l'horreur, terrifiant, en référence à sa description de l'enfer dans la Divine Comédie. Un paysage dantesque. Une vision dantesque.
Les « interprètes » de La Divine Comédie sont très nombreux, et ont tous adopté une démarche différente. La plus récente, la plus moderne, et la plus consultée, est à ce jour celle de Jacqueline Risset : fidèle avec aisance, sans notes.
Béatrice Portinari, dite simplement Béatrice ou Béatrix, désigne communément la muse de Dante Alighieri, qu'il glorifie et qu'il aime. Mais c'est aussi une femme que, si on suit la Vie nouvelle, Dante aima dès son enfance, et à qui il consacra une place dans toutes ses œuvres.
Après la mort, rien ne peut plus être changé. La Communion anglicane ne reconnaît pas l'existence du purgatoire.
Par-delà la sépulture, ce culte semble consister à accompagner ces âmes, que l'on se représentait en train de brûler au sein du feu purgatorial, pour les aider à surmonter cette épreuve et accéder au Paradis.
Virgile accompagne Dante tout au long de l'Enfer et du Purgatoire. C'est tout à la fois le « guide », le « maître », mais aussi fréquemment une figure maternelle aimante et protectrice vers laquelle Dante n'hésite pas à se tourner pour demander aide et conseil.
Dante se sent de nouveau uni au courant universel de l'amour qui met en mouvement le soleil et les autres étoiles. Quand l'homme s'engouffre dans la spirale infernale des passions, il vit en enfer. C'est l'interprétation agnostique que l'on pourrait donner de tous les mythes infernaux.
Du latin infernus (« qui est en dessous »), apparenté à infra , inferior , etc.
Désespéré par sa rencontre avec la luxure, l'avarice et l'orgueil, vices fondamentaux respectivement symbolisés par une panthère, une louve et un lion, Dante constate avec amertume que ceux-ci obstruent irrémédiablement la voie la plus directe vers le ciel.
« Enfer » vient du latin infernum, « lieu bas »; c'était le lieu de séjour des âmes des morts. « Paradis » vient de l'ancien persan paridaiza qui signifiait « verger entouré d'un mur le protégeant des vents chauds » (J. Delumeau).
Inspirée de l'Enfer de Dante, l'exposition événement « Inferno », à Rome, dévoile les représentations hallucinantes, du Moyen Âge à nos jours, d'un monde fait de vices et de souffrances, à l'occasion du 700e anniversaire de la mort du poète. Voilà un véritable catalogue des tourments éternels liés aux péchés capitaux.
Ce Dante fut un honorable ancien citoyen de Florence, de la Porte Saint-Pierre, et notre voisin ; et son exil de Florence fut causé par le fait que, quand Mgr Charles de Valois, de la maison de France, vint à Florence, l'an 1301, et en chassa le parti Blanc, comme on disait alors, ledit Dante était parmi les principaux ...
Origine : vient du latin beatus qui signifie "qui rend heureux".