Pour la tradition philosophique (Aristote, Descartes), l'homme est l'animal qui pense ; il se définit par la conscience, faculté de se rendre compte, de réfléchir.
Selon l'analyse, le rapport homme-animal fait actuellement face à une rupture : les humains et les animaux, auparavant étroitement mêlés jusque dans les villes (abattoirs, tanneurs, commerces, etc.), ne cohabitent plus.
Ce sentiment de supériorité de l'homme par rapport aux autres espèces animales n'est certainement pas propre à l'espèce humaine, mais au contraire quelque chose de naturellement sélectionné et de présent chez d'autres espèces.
Rappelons tout d'abord que l'Homme est lui-même un animal, et qu'il ne possède aucune différence radicale avec d'autres espèces. D'autres animaux sont bipèdes, d'autres ont des cerveaux de taille importante, et les autres primates utilisent comme nous leurs mains avec des pouces opposables.
L'Homme appartient au règne animal : c'est un organisme pluricellulaire. Il fait partie de l'embranchement des vertébrés. Il est doté d'un squelette interne, avec une colonne vertébrale et des vertèbres. Tous les vertébrés se caractérisent ainsi (les autres animaux sont qualifiés d'invertébrés).
"Quelle est donc la différence essentielle entre l'homme et l'animal ? La plus simple et la plus générale des réponses à cette question est aussi la plus populaire : c'est la conscience.
L'Antechinus de Stuart
En effet, pendant cette période, l'antechinus ne fait rien d'autre que de s'accoupler. Il ne mange plus, parce qu'il baise.
Souvent, le monde animal nous paraît beaucoup plus libre que le monde des Hommes car il y a une absence de contrainte sociale. L'animal fait ce qui lui plait, c'est à dire il suit ses instincts, il n'a pas de barrière morale, il a une liberté physique lié à son indépendance (déf. : ne dépendre de personne pour vivre).
Le moustique : incontestablement le plus dangereux
Le moustique est véritablement l'ennemi numéro 1 de l'homme car il tue à lui seul près de 750 000 personnes dans le monde chaque année. Ce n'est pas tant l'animal en soi qui tue que les virus qu'il transmet en piquant ses victimes.
Ce qui distingue l'être humain des autres animaux est, classiquement, le fait qu'il possède la raison et le langage. De nombreux éléments remettent cependant en question ce partage bien établi, entre nature et raison.
Or, les animaux ne nous communiquent pas de pensées. Ils émettent un certain nombre de sons, par exemple en criant en cas de douleur. Cependant, rien ne nous prouve que ces sons ne sont pas produits de manière automatique. Aucun élément ne nous permet donc d'établir qu'ils sont autre chose que de simples machines.
Les humains sont des animaux, et plus précisément des vertébrés, des mammifères et des primates.
L'homme n'est pas un animal raisonnable. L'apparition de la raison ou de l'esprit ne laisse pas intacte en lui une sphère des instincts fermée sur soi »8. Ainsi l'homme n'est pas animal par le corps, et humain par l'esprit ; il est un esprit incarné dans une corporéité originale, ou un corps tout entier spiritualisé.
Montesquieu : « On dit que l'homme est un animal sociable.
La relation homme animal : une histoire de tendresse, d'amitié et de complicité. Longtemps relégué au rang d'animal de compagnie, le chien ou le chat a pris, au fur et à mesure du temps, une place de plus en plus importante au sein d'un foyer. Auparavant, ils ne faisaient que passer dans une vie.
Pour Spinoza, l'homme n'est pas libre. Il est soumis à l'ordre nécessaire de la nature, qui est aussi celle de dieu. Son malheur vient de ce qu'il se croit libre alors qu'il ne l'est pas. Connaître l'ordre des choses est la vraie clé de la vie.
Il n'est donc pas un animal comme les autres puisqu'il est capable de science! Ce qui frappe, c'est le gouffre qui sépare Homo sapiens de toutes les autres espèces, si «intelligentes» soient-elles.
Les droits des femmes sont des droits revendiqués pour les femmes dans de nombreuses sociétés à travers le monde, qui constituent la base du mouvement pour les droits des femmes du XIX e siècle ainsi que le combat des mouvements féministes depuis le XX e siècle.
Synon. de coprophilie (ibid.). zoophilie 1.
Les cygnes
Avec leurs cous arc-boutés l'un vers l'autre, formant un cœur, les cygnes incarnent le symbole de l'amour par excellence. Après s'être séduits pendant la période de rut en hiver, les cygnes passent le reste de leur vie à deux.
Il s'agit d'une espèce dite sémelpare. Un terme qui désigne des animaux ne connaissant qu'un cycle de reproduction au cours de leur vie. Pendant deux semaines, ces marsupiaux se lancent dans une course effrénée et copulent des heures durant, jusqu'à l'épuisement.
La réponse des philosophes
A la différence de l'homme, l'animal est absolument incapable de dire : "Je pense donc je suis." La pensée, exprimée par le langage, manque à l'animal. En cela, l'animal est non seulement différent, mais inférieur à l'homme. Le propre de l'homme, c'est d'être un être pensant.
Comme chez les humains, la conscience animale pourrait être décrite au mieux comme le produit émergent de l'interaction de différentes couches fonctionnelles, constituées par des compétences percepti- ves, attentionnelles, mnésiques, émotionnelles et évaluati- ves.
(Philosophie) Être vivant organisé, doté de mobilité et de sensibilité. (Science) Organisme vivant multicellulaire eucaryote, caractérisé par son hétérotrophie et sa motilité.