2/6 La batterie, principale responsable de la pollution des voitures électriques. C'est l'extraction des métaux rares, comme le lithium, utilisés dans les batteries, qui pollue le plus dans le cycle de vie d'un véhicule électrique.
Un véhicule électrique ne pollue presque pas. En fonctionnement, celle-ci n'émet pas de gaz à effet de serre. De plus, le véhicule électrique ne produit pas de nuisances sonores comme le fait un véhicule thermique.
Pollution de l'air : les voitures électriques émettent beaucoup de particules fines. Contrairement à une idée reçue, les véhicules électriques participent à la pollution de l'air en émettant des particules nocives, selon l'Ademe. En revanche, leur utilisation ne génère pas de gaz à effet de serre.
Pour conclure, qui pollue le plus ? Comme vous avez pu le constater, la réponse ne peut pas être aussi simple. Nous savons que le diesel émet moins de dioxyde de carbone et de monoxyde de carbone que l'essence, mais il émet davantage d'oxydes d'azote.
Une voiture électrique en fonctionnement ne pollue presque pas. En effet, quand elle roule, elle n'émet ni gaz à effet de serre, ni particules fines, ni gaz nocifs, ni nuisances sonores comme le ferait une voiture thermique.
Les matériaux utilisés pour la batterie de la voiture électrique proviennent d'industries polluantes. Dans la fabrication des batteries, on compte plusieurs minéraux comme le lithium, le cobalt, le nickel ou encore le cuivre. Or, ces industries sont fortement pointées du doigt, car elle engendre de la pollution minière ...
Une étude très complète de l'ONG Transport & Environment (T&E) publiée en avril 2020 considère ainsi que, sur l'ensemble de sa vie, une voiture électrique émet 77 % de CO2 en moins qu'un véhicule thermique.
En moyenne, on estime que la voiture électrique émet 100 g de CO2e par kilomètre. Le même modèle propulsé à l'essence rejette 200 à 250 g CO2/km. Soit deux fois plus !
Sachez que son état ne dépend pas du kilométrage mais bien du nombre de cycles de charge et de décharge. On peut compter entre 1000 et 1500 recharges avant de voir l'autonomie totale fondre. A raison d'une moyenne entre 15 000 et 30 000 km par an, votre batterie pourra tenir une dizaine d'années.
Selon les « anti-électrique », les véhicules électriques émettraient autant de gaz à effet de serre que les voitures thermiques car l'électricité produite pour leur fabrication et leur recharge provient d'usines à charbon, les plus polluantes au monde.
Le pompage de la saumure du sous-sol riche en lithium crée un vide qui fait migrer vers les profondeurs l'eau douce disponible. « Cette double perte d'eau abaisse le niveau de la nappe phréatique, assèche le sol et la végétation au détriment des animaux, des cultures et des gens », expliquent les Qollas.
Contrairement à la voiture thermique, le modèle tout électrique n'a pas réellement besoin du frein pour s'arrêter. Le fait de retirer le pied de l'accélérateur entraîne déjà une décélération et se déclenche alors le processus inverse.
La Tesla Model 3 Standard Range Plus : en 2021, la Tesla est classée comme la voiture la plus écologique. De plus, elle vous garantit puissance, sécurité et beau design. Elle dispose de 614 kilomètres d'autonomie et peut rouler jusqu'à 261 km/h.
La batterie est déchargée, dévêtue de son enveloppe plastique et électronique, ainsi que des feuilles en aluminium qui retiennent les cellules – les cœurs de la batterie. Il faut ensuite broyer ces cellules en une poudre dont on extraira et triera les différents métaux, par le feu ou par la chimie.
En effet, la voiture électrique contribue à l'amélioration de la qualité de l'air dans les villes. Sans sortie d'échappement, les voitures électriques ne produisent aucune émission de dioxyde de carbone lors de la conduite. Cela réduit considérablement la pollution de l'air.
En détruisant des habitats riches en vie animale, végétale et en insectes, le sucre serait la plantation qui détruit le plus de biodiversité dans le monde. En plus de son utilisation intensive d'eau et de pesticide, la culture de la canne à sucre ou de la betterave à sucre provoque aussi une forte érosion des sols.
Le secteur énergétique
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
Les principales causes de la pollution de l'air sont en relation avec l'ignition de combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz). La combustion de ces matières premières se produit principalement, au cours ou dans le fonctionnement des secteurs industriel et du transport terrestre.
Pour les pays exportateurs de ce métal, à savoir principalement l'Australie, le Chili, l'Argentine, la Bolivie, le Tibet et l'Afghanistan, l'enjeu économique est plus qu'alléchant… Or, l'extraction du lithium, très énergivore en eau, entraîne de nombreux problèmes, comme la pollution des sols et le pillage des réserves ...
Quel bilan carbone d'une voiture électrique ? En conclusion, conduire un véhicule électrique et le recharger sur le réseau électrique américain émet 7 fois plus de CO2e qu'en France. Mais dans tous les cas, on pollue 2 fois moins de que si l'on conduisait un véhicule thermique.
La pollution des voitures électriques est inexistante : faux ! C'est un des points souvent mis en lumière par ses détracteurs. Même si à l'usage, la voiture électrique n'émet pas de CO2, la construire, c'est une autre affaire. La fabrication de leurs batteries est notamment remise en cause.
En regardant l'analyse qui a été faite, la batterie 12V a été la principale source de panne en 2020 sur les voitures électriques. 54 % des pannes de ces voitures l'ont été à cause de cet élément contre 46,3 % pour les modèles essence ou diesel.
Certains constructeurs automobiles recommandent de plafonner la recharge à 80 % pour limiter la dégradation de la batterie à long terme.
Et enfin, la voiture électrique considérée comme la plus fiable de 2022 est la Kia e-Niro, permettant au constructeur coréen de réaffirmer ce que beaucoup savent déjà : les véhicules électriques de Kia sont d'excellentes références.
Malheureusement, selon une autre étude de l'Ademe, les Français plébiscitent les SUV très émetteurs de CO2. Plus lourds et plus consommateurs de carburant que les berlines, ces véhicules émettent donc davantage de dioxyde de carbone (CO2).