Elle devrait être reconnue comme étant l'égale de l'homme. Cepen- dant, on se rend compte que la réalité est toute autre. Pour vendre certains produits, comme les parfums, voitures…, les grandes enseignes utilisent l'image de la femme quasiment dénudée pour essayer d'appâter les clients de sexe masculin.
La participation pleine et équitable des femmes dans tous les éléments constitutifs de la société est un droit humain fondamental. Pourtant, à l'échelle mondiale, que ce soit en politique, dans les divertissements ou sur le lieu de travail, les femmes et les filles sont largement sous-représentées.
Le rôle traditionnellement attribué aux femmes dans la société est un rôle de second plan. La société entretient un idéal de "femme au foyer" qui s'occupe de l'éducation des enfants et qui doit faire montre d'un caractère discret et soumis à son mari.
Les inégalités de genre sous-tendent de nombreux problèmes qui touchent de manière disproportionnée les femmes et les filles, comme les violences domestiques et sexuelles, les rémunérations plus faibles, le manque d'accès à l'éducation et les soins de santé insuffisants.
Seules dans les foyers, les femmes françaises seront mères et travailleuses. Elles l'étaient déjà dans le monde rural, employées à toutes sortes de tâches paysannes ; elles vont désormais investir des métiers d'hommes, plus pénibles, ou prendre plus de responsabilités.
Elles sont responsables, par leurs compétences, de la survie ou du décès des nouveau-nés et détiennent ainsi dans leurs mains, le pouvoir du devenir de la population.
Nous vous proposons un bref rappel, sur les deux derniers siècles de l'évolution des droits des femmes. 1944 : Droit de vote et d'éligibilité pour les femmes. 1965 : Les femmes mariées peuvent exercer une profession sans l'autorisation de leur mari. 1972 : - Reconnaissance du principe « à travail égal, salaire égal ».
Les inégalités de genre sont particulièrement saillantes dans le monde du travail. C'est notamment le cas au niveau des salaires, les femmes continuant d'être moins bien rémunérées que leurs homologues masculins, mais aussi en ce qui concerne l'équilibre entre vie privée et vie professionnelle.
N'ont pas le droit de se présenter aux élections. Ne peuvent pas choisir les études qu'elles veulent. Sont moins bien payées que les hommes.
L'essor des grands magasins et l'apparition de nouveaux métiers à la fin du XIX e siècle (institutrice, infirmière, médecin) offrent aux femmes des emplois salariés. En 1906, elles représentent 38 % de la population active. Cependant, leurs salaires sont inférieurs à ceux des hommes qui occupent les mêmes postes.
Les rôles de la femme et de l'homme dans la société, leurs représentations ont traversé les siècles sans subir de modifications significatives : au sexe dit faible, la tenue de la maison et l'éducation des enfants ; au sexe dit fort, le travail à l'extérieur, la charge de nourrir la famille et la prise de décisions.
Une femme, en effet, est à la fois l'origine de la société (par la reproduction biologique), son moyen (par le désir sexuel dont elle est l'objet et parfois la victime) et son but (par la "sublimation" culturelle qu'elle suscite). Une femme crée, occupe et fait avancer la société: un objectif stratégique à soumettre.
Les femmes françaises privilégient aujourd'hui les valeurs du vivre-ensemble comme le respect, la justice, l'égalité, la solidarité, avant les valeurs de la réalisation individuelle comme l'indépendance, le mérite ou encore l'argent.
Pour que les femmes aient la force d'affronter la vie quotidienne, elles doivent prendre soin de leur santé et de leur bien-être. Seul le bien-être peut leur permettre de prendre soin des autres. C'est pourquoi, suivant le principe “mettez d'abord le masque sur vous-même”, nous devons offrir le meilleur à nos femmes.
Les qualités telles que la gentillesse et être attentionné font partie des 10 traits d'une femme de qualité. Ça veut dire qu'elle est capable d'éprouver de la gentillesse avec autrui (que ce soit avec des inconnus ou non) et d'être attentionné avec ceux qui l'entoure sans rien attendre en retour.
Ces inégalités s'expliquent principalement par la place des femmes dans le marché de l'emploi : les femmes sont concentrées dans 12 familles professionnelles, dévalorisées financièrement et socialement, où les qualifications et la pénibilité ne sont pas reconnues.
En 1944, l'ordonnance du 21 avril du Gouvernement provisoire de la République française installé à Alger accorde le droit de vote et l'éligibilité aux femmes.
La République Centrafricaine, le Niger, l'Afghanistan, le Tchad, le Mali et la Guinée suivent dans le bas du classement. Le travail, source de revenu, est un premier pas vers l'indépendance des femmes que de nombreux pays ne veulent pas franchir.
Niveau de diplôme, accès à l'emploi et aux postes de cadres, salaires et pensions de retraites, présence dans la vie politique, partage des temps domestique et parental : dans tous ces domaines, les inégalités entre les femmes et les hommes se réduisent lentement sur les décennies passées, ce dont on peut se réjouir.
Au fur et à mesure de l'évolution des traditions, entendues comme pratiques culturelles, les femmes occupent aujourd'hui une place fondamentale, pas seulement sur le plan moral de l'éducation des enfants, mais aussi sur le plan économique. Elles sont soutien de famille, de manière décisive.
En France, les hommes sont rémunérés en moyenne 28,5 % de plus que les femmes. En France, 76 % des emplois en temps partiel sont occupés par des femmes. Les femmes sont surreprésentées en France dans le secteur du soin. Par exemple, 91% des aides-soignante·s sont des femmes.
cit., Article I, de l'occupation, Art. II, du…, ainsi que les principaux devoirs d'une femme mariée : la pratique de la religion, l'éducation des enfants, les relations avec son mari, et plus généralement les mœurs.
Olympe de Gouges réclame l'égalité politique entre hommes et femmes dans sa Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne : « article 1. La femme naît libre et égale à l'homme en droits ».
Quelques femmes de l'élite, comme la dramaturge et essayiste française Olympe de Gouges (1748-1793) et la philosophe anglaise Mary Wollstonecraft (1759-1797) ont objecté et ont défendu les droits des femmes en publiant respectivement la Déclaration des droits de la femme (1790) et la Défense des droits des femmes (1791 ...