ÉLOHIM, subst. masc. Bible. Divinité, dieu, nom commun de la divinité en hébreu, utilisé aussi comme nom propre (avec majuscule dans ce cas) pour désigner le vrai Dieu de l'Ancien Testament.
Ainsi, les Elohims Arcturus, Tranquilité, Cassiopée, Cyclopée, Orion, Claire et Hercule au travers de ces messages vous proposent une connexion directe à leurs énergies de manifestation des qualités qu'ils incorporent.
La tradition des sept noms divins
Selon la tradition, il y en a sept : El, Elohim, Adonaï, YHWH, Ehyeh Asher Ehyeh, Shaddaï et Tzevaot.
Le Zohar, quant à lui, propose explicitement la traduction Il a créé Elohim [5][5]Le Zohar, tome 1, Éditions Verdier, 1981, page 94.. On devrait, dans ce cas traduire le premier verset de la façon suivante : Au commencement YHVH créa les Élohim du Ciel et de la Terre.
Translittération de l'hébreu יהוה est le nom divin et c'est le tétragramme de Dieu dans la Bible hébraïque en lettre se traduit ainsi YHWH composé des quatre lettres yōḏ (י), hē (ה), wāw (ו), hē (ה) qui se traduit avec les voyelles suivants YAHWEH – YAHUAH – YAH.
Jésus, en grec Ἰησοῦς / Iēsoûs, vient de Yehoshua (hébreu : יהושע), à travers sa forme abrégée Yeshua (hébreu : ישוע). Yeshua signifie « Sauveur » et Yehoshua est un nom théophore qui signifie : « Dieu (YHWH) sauve ».
La Bible*, ou du moins celle que les chrétiens appellent « Ancien Testament », est un ensemble de livres composés, peu à peu, dans le milieu de la communauté d'Israël* au cours du Ier millénaire avant notre ère.
Elohim n'est pas un nom, c'est une sorte de surnom polysémique : pluriel de majesté, d'excellence, pluriel qui réunit tous les attributs de la divinité, ou encore pluriel qui peut être utilisé pour nommer les guides, les inspirateurs, les juges.
De l'hébreu ancien יהוה , YHWH, tétragramme hébraïque qu'il était défendu de prononcer, et qui se prononce « Yahwéh ». La Bible des Septantes (LXX) (ou « Septuaginta ») l'a traduit en grec par Kyrios, qui signifie « Maître » ou « Seigneur ».
El Shaddai, écrit aussi El Shadday (hébreu : אל שדי, /el ʃaˈdːaj/), est l'un des noms de Dieu dans le judaïsme. Il est traditionnellement traduit en « Dieu Tout-Puissant ».
Abiel (Dieu est mon Père) est le nom du grand-père de Saül et d'Abner (vers - 1100 av. J. -C. ). Joab (YHWH est Père) est le nom du neveu de David (-1030 av.
Outre l'appellation d'Allah, qui signifie littéralement « le Dieu », plusieurs autres noms sont utilisés dans le Coran pour nommer Dieu.
Interdit de prononciation dans le judaïsme
Les Juifs s'imposent une interdiction de prononcer le Tétragramme, fondée sur le Troisième Commandement : « Tu n'invoqueras pas le nom de YHWH ton Dieu en vain » (Ex 20:7).
Lorsqu'il est appliqué au dieu d'Israël, Élohim est généralement traité comme un nom singulier. Parfois, il est pourtant construit avec un verbe au pluriel, notamment dans l'expression élohim hayyim « dieu vivant ». L'usage de la forme plurielle pour désigner le dieu d'Israël est expliqué de différentes façons.
Jésus vient du grec ancien Ἰησοῦς , Iēsoûs, lui-même issu du prénom hébreu ancien ישוע , Iéshua (et a la même racine que Josué). Ce mot signifie « Dieu sauve » ou « Dieu délivre ».
Le mot « dieu » vient du latin deus, lui-même issu de la racine indo-européenne dei- « briller » qui, élargie en deiwo- et en dyew-, sert à désigner le ciel lumineux en tant que divinité ainsi que les êtres célestes par opposition aux êtres terrestres, les hommes.
Nom souvent donné à Dieu dans l'Ancien Testament. Dans la Bible hébraïque, ce mot est lu à la place du tétragramme sacré YHWH (ou YHVH), dont le nom ne devait être prononcé sous peine de sacrilège. (→ Yahvé.)
Ce nom on le connaît par la Bible et par les documents profanes. Il est composé de quatre consonnes dans les langues sémitiques : YHWH. C'est par suite d'une vocalisation factice que naquit " le vocable hybride Jéhovah ".
(Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
1. (Au singulier ou au pluriel, avec une minuscule, et un féminin déesse) Dans les religions polythéistes, être supérieur doué d'un pouvoir surnaturel sur les hommes ; divinité : Les dieux des Romains. 2. Représentation d'une divinité : Des dieux en pierre.
Il s'agit de quatre créatures célestes identiques dotées chacune de quatre pattes de taureau, de quatre ailes d'aigle, de quatre mains humaines et de quatre faces différentes d'homme, de lion, de taureau et d'aigle. Ces quatre créatures ont leur place au pied du trône de la gloire de Dieu.
Histoire. Le plus vieux texte religieux connu est l'hymne au temple de Kesh (en), tablette d'argile sumérienne qui date de 2600 av. J.C. Le Rig-Véda, collection d'hymnes de l'Inde antique composés en sanskrit védique entre 1500 et 900 av.
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Jésus-Christ Emmanuel, ou Le Sauveur-Emmanuel ou encore Emmanuel (hébreu : עמנואל — Immanuël, « Dieu [est] avec nous ») (en russe : Спас Эммануил) est un type d'icône représentant Jésus-Christ adolescent.
Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? (Mc 15,34 et Mt 27,46) crié « à voix forte » en araméen Eloï, Eloï, lama sabbaqthani ? (Ps 22:2) Souffrance suprême du sentiment d'abandon : la nuit obscure de l'homme Jésus, qui pourtant cite un psaume qui s'achève sur la réhabilitation du juste – et la mort survient à ...