Le mot « baptême » vient d'un verbe grec, « baptizein », qui veut dire « plonger ». On appelle donc ce sacrement par son rite central : la plongée dans l'eau, signe d'un changement de vie radical. Comme Jésus à Pâques, et avec lui, le baptisé plonge dans la mort pour renaître à une vie nouvelle, la vie de Dieu.
Le baptême chrétien change fondamentalement la situation religieuse de l'homme par le pardon qu'il médiatise. Accomplissant le « baptême pour la rémission des péchés » de Jean, il fait entrer dans une communion si étroite avec Dieu que celui-ci s'y révèle comme un Père pour les croyants.
1. Dans la religion chrétienne, sacrement premier et fondamental qui constitue le signe juridique et sacral de l'insertion dans l'Église du Christ. 2. Cérémonie, fête qui accompagne ordinairement le baptême.
Des valeurs et principes moraux vous sont transmis à travers le baptême. En effet, il s'agit là d'un moment de partage entre votre entourage et la communauté chrétienne. Par le baptême, la communauté chrétienne demande à Dieu de protéger l'enfant qui entre dans l'église.
Le signe principal, celui sans lequel il n'y a pas de baptême, est le signe de l'eau, accompagné des paroles : "je te baptise, au nom du Père, et du Fils, et du Saint Esprit". Mais il y en a d'autres, comme le signe de la croix, symbole de la mort et de la résurrection du Christ.
Le baptême est le premier des sept sacrements, les autres étant l'eucharistie (la communion), la confirmation, le mariage, la réconciliation, l'ordination (lorsque l'on devient prêtre) et l'onction des malades. En faisant baptiser un bébé, ses parents s'engagent à lui donner une éducation chrétienne.
Le baptême est un rite partagé par la quasi-totalité des Églises chrétiennes, étant donné son importance dans les textes bibliques. L'eau du baptême symbolise à la fois la mort par immersion de l'ancienne vie du croyant, livrée au péché, et sa naissance dans une dimension divine et éternelle.
Il donna l'ordre d'arrêter le char ; tous deux descendirent dans l'eau, Philippe et l'eunuque, et Philippe le baptisa. Lorsqu'ils remontèrent de l'eau... » (Act 8, 36-39).
L'immersion et la théophanie
L'immersion de Jésus dans le Jourdain a un lien avec le péché. La théologie qui se développe au sein du christianisme voit dans le baptême de Jésus une volonté de Jésus-Christ de prendre en charge le péché du monde.
L'un d'entre vous est baptisé
Que la personne non chrétienne soit athée ou appartienne à une autre religion n'est pas un frein à un mariage catholique. Il est cependant nécessaire de s'acquitter de certaines démarches.
Le baptisé est « aspergé » d'eau bénite et baptisé par la formule : « Nom du baptisé, je te baptise au nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit ». Le front du baptisé est oint avec l'huile du Saint-Chrême.
Bénédiction. De l'air ou du feu.
"Enzon tu vas être baptisé, c'est le signe que Dieu t'aime et t'appelle à vivre en chrétien. C'est à dire ouvert, libre, juste et attentif à tous vceux qui t'entourent. Nous serons toujours à tes côtés pour te guider sur ton chemin, pour partager tes joies et apaiser tes peines."
Techniquement, le baptême laïc n'a donc rien d'un « baptême », mais s'apparente plus à un « parrainage ». Il n'a aucune valeur légale, ni de valeur juridique. C'est un simple engagement moral des parrains et marraines vis à vis de leur filleul.
Le mot « baptême » vient d'un verbe grec, « baptizein », qui veut dire « plonger ». On appelle donc ce sacrement par son rite central : la plongée dans l'eau, signe d'un changement de vie radical. Comme Jésus à Pâques, et avec lui, le baptisé plonge dans la mort pour renaître à une vie nouvelle, la vie de Dieu.
Les baptêmes catholiques sont généralement célébrés au cours de la messe, qui se déroule souvent le dimanche matin. Dans l'absolu, on peut faire baptiser ses enfants ou se faire baptiser tout au long de l'année, mais c'est généralement la période qui court de Pâques à la Pentecôte qui est privilégiée.
Le baptême de Jésus.
Certes Jésus, comme Jean annoncera le pardon, mais il fera plus que cela, il indiquera le chemin à suivre. Le baptême de Jean est une bonne nouvelle, mais il est statique, il n'envoie pas en avant, il ne dit pas ce que l'on peut ou doit faire de cette libération, après cette annonce du pardon.
Dans l'Église catholique
Le Catéchisme de l'Eglise catholique (Art. 1250 à 1252) affirme clairement la nécessité de baptiser les enfants "peu après la naissance", ajoutant : "Les parents chrétiens reconnaîtront que cette pratique correspond aussi à leur rôle de nourriciers de la vie que Dieu leur a confiée".
Toute personne baptisée ou même non baptisée (en général, la sage-femme ou la matrone) peut en baptiser une autre à condition de disposer d'un peu d'eau, de réciter la formule liturgique et d'avoir l'intention de « faire ce que fait l'Eglise ».
Pour les églises pentecôtistes, le baptême du Saint-Esprit est une deuxième expérience qui doit être recherchée après la nouvelle naissance, précédant ou suivant le baptême d'eau. Il a lieu par la prière ou l'imposition des mains. Il s'accompagne de la glossolalie et permet une expérimentation des dons du Saint-Esprit.
Une fois le baptême passé, le rôle du parrain et de la marraine est d'accompagner leur filleul(e) durant toute sa vie à travers son cheminement religieux, de seconder les parents dans l'éducation spirituelle de l'enfant. Ils sont là pour le soutenir, le guider, le conseiller et lui permettre de se réaliser dans la foi.
Trouvant leur origine dans la tradition chrétienne, le parrain et la marraine sont choisis par les parents pour aider ceux-ci dans l'éducation chrétienne des enfants. Ceci explique pourquoi ces personnes tiennent encore une place centrale lors du baptême et lorsque les enfants célèbrent leur communion et confirmation.
- Première étape : le futur baptisé explique pourquoi il souhaite recevoir ce sacrement. - Deuxième étape : il est marqué du signe de la croix et reçoit les Evangiles. - Dernière étape : l'enfant découvre le rite pénitentiel et reçoit l'imposition des mains. Cet apprentissage religieux dure environ 2 ans.