Ce sont des sources d'énergie inépuisables. La première d'entre elles est le rayonnement solaire et les autres en découlent plus ou moins directement (vents, cycle de l'eau et courants marins, fabrication de biomasse, etc.).
Parmi les nombreuses énergies de chauffage recensées, le bois, également appelé la biomasse, est considéré comme l'énergie la plus rentable.
Pour résumer, l'énergie solaire semble être la plus prisée des entreprises mais aussi des particuliers. Abordable, fiable, sans bruit ni mouvement, cette technologie évolue rapidement et le soleil est notre source d'énergie renouvelable la plus fiable et prévisible.
À l'heure de la transition énergétique, les énergies fossiles – charbon, pétrole, gaz naturel - n'ont vraiment plus la côte. Non renouvelables et polluantes, elles sont en train d'être supplantées par d'autres énergies beaucoup plus vertueuses : hydraulique, éolien, solaire...
Une surconsommation de ressources fossiles
Or, les réserves énergétiques de la planète ne sont pas inépuisables : au rythme de consommation actuel, le pétrole va arriver à épuisement d'ici à 54 ans, le gaz d'ici à 63 ans, le charbon d'ici à 112 ans et l'uranium d'ici à 100 ans (pour les ressources identifiées).
Les combustibles possibles sont alors le bois, des végétaux et des déchets agricoles ou domestiques. L'énergie produite par la biomasse est la forme d'énergie la plus ancienne créée par l'humain. Bien que cette énergie provienne d'une combustion, elle ne produit que très peu de déchets.
Les énergies renouvelables sont plus saines
Le fait de passer à des sources d'énergie propres, telles que l'éolien et le solaire, permet donc de lutter non seulement contre les changements climatiques, mais aussi contre la pollution de l'air et pour la santé.
En 2050, l'Energie Utile mondiale peut être renouvelable à plus de 75%, fossile à 20%, nucléaire à moins de 5%. Plus de 70% de l'énergie sera utilisée sous forme électrique. Les énergies éolienne et solaire ont l'inconvénient d'être intermittentes.
Les énergies renouvelables devraient pouvoir répondre à nos besoins actuels et futurs de manière efficace et avec un impact limité pour l'environnement. Actuellement, nous utilisons l'éolien, le solaire thermique, le solaire photovoltaïque, la biomasse, la géothermie et l'énergie hydraulique.
À la vue des chiffres étudiés ci-dessus, l'énergie la moins chère pour se chauffer en 2023 s'avère sans conteste être le bois, avec un prix moyen à 8,83 centimes d'euros pour 100 kWh contre 16,52 centimes d'euros pour le propane ou 19,23 centimes d'euros pour l'électricité.
Les chauffages à bois sont les plus économiques et les plus écologiques. Les solutions éolienne et hydraulique sont aussi très simples à mettre en œuvre et peu coûteuses. La production d'électricité à partir du soleil est l'un des moyens les plus simples et les moins chers pour produire sa propre énergie.
Les dernières données disponibles permettent d'évaluer son coût cash à 32 ou 33 €/MWh. Ce coût est inférieur à la valorisation moyenne de l'électricité, de 40 €/MWh. Dit autrement, la production d'électricité nucléaire est rentable en France.
Aujourd'hui le gaz est de plus en plus utilisé et on pense qu'il pourrait constituer une énergie majeure pour ce que l'on nomme la « transition énergétique » car c'est le combustible fossile qui produit le moins de polluants et le moins de CO2, ceci étant sans doute lié à sa molécule mono-carbonée.
Le bouquet énergétique primaire réel de la France se compose de 40 % de nucléaire, 28 % de pétrole, 16 % de gaz naturel, 14 % d'énergies renouvelables et déchets et 2 % de charbon.
Actuellement, l'hydroélectricité constitue la plus grande source d'énergie renouvelable dans le secteur de l'électricité.
Il existe 4 types d'énergie solaire : l'énergie photovoltaïque, l'énergie thermique, l'énergie aérovoltaïque et l'énergie solaire thermodynamique.
Nous pensons que la décennie clé est 2020-2030. Ce seront les années du solaire, le basculement. On estime que, à cette période, la capacité de production d'électricité solaire dépassera le térawatt ! L'objectif phare « 30/30/30 » de l'IPVF serait d'arriver à 30 % de rendement à 30 centimes de dollars le watt en 2030.
L'alternative au pétrole la plus facile à mobiliser est celle des biocarburants, obtenus grâce à la transformation de la biomasse, c'est-à-dire l'ensemble des matières organiques qui proviennent des plantes dans lesquelles est stockée de l'énergie solaire, captée et utilisée par les plantes grâce à la chlorophylle.
Les énergies renouvelables – biomasse, solaire, éolien – constituent l'autre grande alternative. Comme le nucléaire, elles impliquent des coûts d'investissements considérables, et leur compétitivité par rapport aux fossiles est faible.
This opens in a new window. Ce court-métrage de fiction met en scène les résultats de recherches sociologiques menées à la R&D d'EDF. Il montre comment une famille peut basculer dans la précarité énergétique, et les conséquences que cela peut avoir.
L'énergie nucléaire civile présente l'atout majeur de pouvoir répondre à une demande croissante à l'heure où les énergies fossiles se raréfient. En outre, il s'agit d'une énergie qui émet peu de gaz à effet de serre.
Le gaz : il s'agit d'une énergie non renouvelable composée de gaz type méthane retrouvé dans certaines roches. Le gaz naturel est fabriqué à partir de la décomposition d'anciens être vivants. Il constitue la troisième source d'énergie au monde.
Autrefois, les villes bénéficiaient d'un éclairage public assuré par le gaz. Ce n'est qu'à partir de la fin du XIXe siècle que l'électricité s'est répandue dans ce secteur et que les lampadaires électriques ont remplacé les anciens modèles au gaz.