Ça a été prouvé, augmenter sa cadence de course autour de 180 pas par minute (plus précisément entre 170 et 190) permet de courir plus vite simplement par l'économie d'énergie que l'on fait. Une longue foulée est beaucoup plus coûteuse en énergie.
Faites le plein de glucides
En consommant un repas riche en glucides avant de courir, vous pourrez mieux compenser la dépense de glycogène qui survient lorsque vous courez de longues distances. Le glycogène est stocké dans les glucides, qui sont la principale source d'énergie pour votre corps durant un run.
Quels muscles cibler ? Les muscles de la jambe sont bien entendu les plus sollicités lors de la course à pied. Plus particulièrement les quadriceps, les ischio-jambiers, les fessiers et les mollets. Trois exercices efficaces vont permettre de tous les muscler : les squats, les fentes et le leg curl.
Une seule solution existe pour progresser : l'entraînement. Pour courir plus vite, il ne faut pas avoir peur de se mettre en difficulté. Vous devez habituer votre corps à une intensité qu'il ne connait pas encore. Si cela peut paraître délicat, accrochez-vous au cours de vos entraînements, les résultats arriveront.
Il faut inspirer avec le nez ou/et la bouche ouverte et expirer lentement tout l'air emmagasiné avec la bouche. On a parfois tendance à se focaliser sur ses inspirations. Au contraire, il vaut mieux se focaliser sur le fait de vider ses poumons et faire une expiration complète.
Veillez à maintenir un rythme régulier de respiration, en synchronisant vos inspirations et expirations avec votre foulée. Une autre astuce consiste à privilégier une respiration abdominale, en faisant en sorte que votre abdomen se gonfle à l'inspiration et se dégonfle à l'expiration.
À la maison ou lors de sorties tranquilles, entraînez-vous à inspirer en gonflant le ventre pour favoriser la descente du diaphragme et augmenter le volume libre dans la cage thoracique. Une fois automatisée, cette technique de respiration permet d'inhaler une plus grande quantité d'oxygène pendant l'effort.
Interrogée par le site Well And Good, la marathonienne et coach sportive Mary Johnson indique : "30 minutes est une très bonne durée selon moi. Votre corps devient plus efficace, la circulation sanguine augmente pour aider à la récupération active, et vous développez votre coeur et vos poumons.
« Le soir, à mon sens, il convient d'éviter les séances de fractionné par exemple, qui entraînent une trop grosse stimulation hormonale, laquelle empêchera de trouver le sommeil rapidement et de bien récupérer. Il vaut mieux en effet privilégier les séances d'endurance à allure fondamentale. »
Dans les compétitions, les meilleurs temps sont généralement réalisés en fin d'après-midi. Si le corps est prêt, le mental peut l'être moins. Courir le soir pour un amateur, c'est courir après le travail. La fatigue nerveuse peut, alors, prendre le dessus et vous laisser sans aucune motivation.
Le débutant se situant, en général, entre 7 et 11 km/h.
Respiration rythmique
À faible intensité, le rythme 3/2 semble plus adapté : vous devez inspirer pendant 3 pas, puis expirer pendant 2 pas. Lorsque l'intensité augmente, le rythme 2:1 peut être plus efficace : vous devez inspirer pendant 2 pas, puis expirer pendant 1 pas.
La dyspnée inspiratoire se manifeste par une difficulté à inspirer de l'air, elle est souvent due à un obstacle au niveau de la trachée ou du larynx, ou à une diminution de diamètre du larynx comme dans le cas d'une laryngite. Elle peut s'associer à une modification de la voix.
Comment évaluer son niveau ? Une solution simple et rapide pour évaluer son niveau en course à pied consiste à déterminer sa VMA. Elle correspond à la Vitesse Maximale Aérobie et elle s'exprime en kilomètre par heure (Km/h). Pour faire simple, il est possible de tenir en moyenne pendant 6 minutes cette vitesse.
La dyspnée d'effort est liée à la défaillance de l'un des maillons du transport de l'oxygène dans le corps : système respiratoire, système de transport de l'oxygène (anémie), système cardiovasculaire (cœur et vaisseaux), les muscles et leur système énergétique au niveau cellulaire.
Pour commencer à courir facilement, il est conseillé d'alterner la marche rapide avec la course à pied. Cela permet de démarrer en douceur, de limiter les risques de blessures, d'être moins essoufflé, et de vous entrainer plus facilement.
Adoptez une cadence de course comprise entre 165 et 180 pas par minute. Laissez vos pieds se poser naturellement au sol, sous ou très légèrement devant vous. Si vous atterrissez avec le pied loin devant vous, vous risquez de courir moins vite et de vous faire mal.
Dans ces deux pathologies, les premiers symptômes sont un essoufflement, une sensation d'oppression dans la poitrine et une fatigue chronique, altérant la qualité de vie.
Mesurer sa fréquence respiratoire
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
Prenez un bain au romarin. Autre bon réflexe pour nettoyer naturellement ses poumons de la nicotine et autres substances irritantes : prendre des bains chauds additionnés de romarin. Cette plante est couramment utilisée en phytothérapie pour assainir les bronches.
Oxygéner mes muscles
La respiration est primordiale et encore plus pendant votre activité sportive. Elle permet d'oxygéner vos muscles pendant l'effort. Si vos muscles sont bien oxygénés, ils seront plus performants, et vous effectuerez donc un travail de meilleure qualité.
En fait, la respiration est constamment liée à l'intensité de l'activité physique. L'échauffement prend alors tout son sens avant un effort, puisqu'il permet à l'organisme de s'habituer à un changement de rythme.
Privilégier certaines activités
En extérieur, la course à pied ou le vélo sont reconnus comme étant les meilleurs sports pour améliorer son endurance et ses capacités respiratoires. Vous pouvez également vous orienter vers la natation qui en plus stimulera la perte de poids et la tonification des muscles.
Courir une heure à du 10km/h, c'est à peu près à la portée de tout le monde ; pour certains, on sera en dessous de l'endurance fondamentale et pour d'autres, ce sera un gros effort, mais clairement, ça n'a rien de transcendant.
Privilégiez les séances dites de VMA courte. En voici trois différentes à alterner : 20 à 30 fois (30 sec à 100-105% VMA/ 30 sec de course lente) en 1 à 3 séries, récupération de 5 min entre les séries. 12 à 20 fois 200m à 110% VMA en 1 à 2 séries, récupérations de 30-40 sec entre chaque 200m et 5 min entre les séries.