Un modèle classique (avec flamme jaune) peut en effet produire une température comprise entre 800 et 1000°C. Un briquet tempête (avec flamme bleue) peut dépasser les 1200 °C !
2 (1) Le briquet est maintenu à une température de 23 ± 2 °C pendant au moins dix heures immédiatement avant les essais prévus aux articles 5 à 7 et 9 à 12.
Les flammes apparaissent lorsque les gaz combustibles réagissent avec l'oxygène. Elles manifestent une réaction chimique libérant de l'énergie sous forme de chaleur et de lumière. La température y atteint de 1 200 à 1 500 °C alors qu'au-dessus, dans le panache de fumées, la température chute au-dessous de 600 °C.
La couleur bleue de la base vient du fait que cette partie de la flamme est mieux oxygénée, étant en contact direct avec l'air frais et n'est pas « polluée » par les produits de la combustion. La température y est d'environ 1 200 degrés.
Tout ce qui est "feu" (disons, un corps incandescent) n'est pas forcément à la même température. Dans la flamme d'une bougie par exemple, il y a une partie centrale bleue qui est plus chaude (vers 1400°) que la partie jaune.
Dans le cas de la gazinière, le gaz utilisé comme combustible est le butane. La gazinière est conçue pour que la combustion soit complète, c'est ce qui produit des flammes bleues, et la température avoisine les 2000°C.
Ensuite comment faire pour que le feu change de couleur ? Une fois en contact avec de l'eau salée, cela va permettre au feu d'absorber les raies lumineuses, donc la couleur et de devenir noir !
Lorsqu'une cigarette est fumée, la température peut s'élever jusqu'à 900°C. La combustion est ce qu'on appelle une réaction chimique.
Plus la température est élevée, plus la couleur de la flamme est froide. On a les flammes blanches (comme celles du magnésium), les plus chaudes, puis les bleues (comme celles du gaz), enfin les jaunes et les rouges, les plus froides.
Selon la relation couleur-température relative au phénomène d'incandescence,4 la température de la partie centrale de la flamme est 1500-1800 °C (blanc-jaune), et celle de la partie haute, environ 1000 °C (orangé).
600–1000 °C. La masse combustible s'evapore.
Si tu veux colorer une flamme, il faut y ajouter des chlorures. Avec le chlorure de sodium ou sel de cuisine, la flamme est jaune. Avec le chlorure de cuivre, la flamme est bleue - verte.
Elle fonctionne généralement au gaz butane et atteint une température maximum de 1850 °C avec un mélange Butane/propane ce qui est largement suffisant pour les travaux courants.
Le bout rouge des allumettes contient du phosphore, il prend feu très vite, à 50 °, soit dès qu'on le frotte un peu. Dessous, une couche de soufre jaune, très combustible, sert à prolonger la combustion spontanée du phosphore. Il s'enflamme alors, produisant cette odeur caractéristique des allumettes.
Phase 3 de la combustion : la braise
Quand tous les composants les plus volatiles du bois ont brûlé, il reste les braises du charbon de bois. Celles-ci brûlent lentement, presque sans flamme, à une température de 800°C environ.
Les briquets à gaz sont les plus courants : produits en quantité industrielle dès les années 1960, notamment par le fabricant Cricket et plus tard BiC, ils consistent pour la plupart à provoquer l'ignition d'un gaz inflammable, souvent du butane, de la même manière que pour les briquets à essence décrits plus haut.
La flamme bleue signifie que la combustion est complète, sans formation de suie.
La lave est plus chaude qu'un feu de bois ou de charbon typique, mais certaines flammes, comme celle d'une torche à acétylène, sont plus chaudes que la lave. La lave rouge est plus froide que les flammes des bougies.
Les flammes dites froides se stabilisent autour de 500 °C, contre plus de 3 000 °C pour les feux classiques. Plus sûres, elles sont aussi plus écologiques et plus économes. Les premières applications arrivent sur le marché.
Au contraire, fumer du tabac à rouler est estimé entre deux à quatre fois plus nocif pour la santé que fumer des cigarettes industrielles. Fumer une cigarette de tabac à rouler conduit à inhaler trois à six fois plus de nicotine, de monoxyde de carbone (CO) et de goudrons que fumer une cigarette manufacturée classique.
Donc, la bulle d'air chaud peut monter, du moins tant qu'elle est plus chaude que l'air environnant. La fumée d'un feu de camp, si elle a un minimum d'éducation, se conforme alors à ce principe et "ascensionne".
Depuis, l'usage du tabac, désormais tassé dans des cigares ou des cigarettes, a changé, mais le symbole de la carotte est resté.
Pour faire du feu au Moyen Âge, on utilisait tout simplement un briquet. Attention, il ne s'agissait pas de briquets comme tu peux en voir aujourd'hui qui produisent une flamme sur une simple pression du pouce.
Malgré l'oxymore à l'alliance des deux mots, les flammes froides sont bel et bien réelles. Bon, le nom est un peu mensonger, car leur température atteint tout de même les 400 degrés, mais elle reste vraiment inférieure à celle des flammes habituelles. Les bougies, par exemple, chauffent entre 800 et 1.400 degrés.