Politiquement indépendant, il est souvent proche des idées du centre gauche.
Sa ligne éditoriale, souverainiste, antilibérale et laïque, emprunte à la fois à la gauche et à l'universalisme républicain.
Sa ligne éditoriale est parfois présentée comme étant de centre gauche, affirmation récusée par le journal lui-même, qui revendique un traitement non partisan.
Sa ligne éditoriale est de droite gaulliste, libérale et conservatrice, selon le spectre politique français habituellement utilisé. Il est principalement lu par des sympathisants de droite ou de centre droit.
Dans un article consacré à la chaîne en 2014, la BBC analyse le positionnement de BFM TV comme étant « favorable aux affaires, à la réforme, et opposé au vieux consensus ».
Le journal est classé à gauche, avec une ligne « sociale-démocrate », ouverte à « toutes les gauches ». En 2020-2021, il était diffusé chaque semaine à près de 200 000 exemplaires (diffusion payée). Il est propriété à 99 % de la société Le Monde libre qui possède la majorité du capital du Groupe Le Monde.
De ses débuts situés à l'extrême gauche, Libération évolue vers la gauche socialiste à la fin des années 1970 sous l'impulsion de Serge July, puis vers une ligne éditoriale présentée comme étant « libéral-libertaire » progressiste.
Selon Le Figaro, Valeurs actuelles est tantôt décrit comme « classé à l'extrême droite », « réputé clairement à droite », ou « conservateur ». France Info qualifie le magazine d'extrême droite et également de conservateur.
Sa ligne éditoriale est faite de neutralité politique et de proximité avec son lectorat. À cet égard, il ne doit pas servir les intérêts d'un homme, d'un parti politique, d'un clan ou d'une entreprise. »
Traditionnellement classé au centre-droit, le journal ouvre ses pages à toutes les opinions politiques (interviews, analyses, etc. ). C'est l'un des cinq magazines d'actualité hebdomadaires de dimension nationale en France.
La ligne éditoriale de Brut est jugée comme « se voulant progressiste » par Le Monde et comme « s'adressant aux jeunes gens partageant une vision progressiste de la société » par Les Échos.
L'émission est tournée sur le plateau 3 des Studios Rive Gauche d'AMP Visual, plateau précédemment occupé par Nulle part ailleurs puis Le Grand Journal.
En 2005, la préfecture de la région Bretagne passe ainsi commande de quatre articles au journal. La ligne éditoriale du journal s'infléchit dans les années 1990 : de démocrate-chrétienne, elle devient plus conservatrice, l'humanisme et le progressisme laissant place à un ralliement net aux thèses libérales.
Les labels indépendant, sans étiquette (abrégé en SE), sans parti (SP), ou divers désignent une personnalité politique ne se réclamant d'aucun parti politique ou affirmant son indépendance par rapport aux clivages politiques habituels et proposant un programme électoral personnel.
Nous ne prenons pas position politiquement, nous laissons le lecteur se forger son opinion à partir des faits. » À sa création, en 2002, 20 Minutes compte 55 salariés, dont 26 journalistes.
La Tribune se veut pluraliste et tournée vers l'enquête.
Sa nouvelle ligne éditoriale est décrite comme très ancrée à droite, avec une orientation marquée de plus en plus à l'extrême droite, avec notamment la présence d'Éric Zemmour, son chroniqueur vedette.
Cet auditorat correspond à la stratégie éditoriale de la station : pour Patrice Bertin qui en fut directeur de la rédaction, « il a été décidé que France Inter devait devenir la radio des intellos de gauche, puisqu'Europe 1 est à droite et RTL une radio populaire ».
Ce bandeau noir illustre en fait la journée de deuil national décidée par Emmanuel Macron ce mercredi 9 décembre 2020 en mémoire de Valéry Giscard d'Estaing, décédé il y a une semaine et inhumé samedi dernier.