L'hypotension est une tension artérielle plus basse que la normale. On considère généralement qu'une tension (ou pression) normale, au repos, est comprise entre 90/60 mmHg et 130/80 mmHg. En dessous de 90 mmHg de pression systolique ou de 60 mmHg de pression diastolique, on est donc en présence d'une hypotension.
que les chiffres tensionnels ne varient pas de façon importante par rapport aux chiffres habituels. L'organisme aime la stabilité et l'alternance de chiffres élevés et bas, est mal tolérée ; que la tension ne chute pas brutalement en dessous de 5 ou 6 (tension systolique), minimum vital.
Tension basse vs tension haute
Il est au contraire dangereux d'avoir une tension trop élevée, c'est-à-dire de l'hypertension artérielle. Quand a t-on a trop de tension ? Quand le premier chiffre est au dessus de 14 et/ou que le second chiffre est supérieur à 8.
La tension artérielle est considérée comme basse lorsqu'elle chute en dessous de 10 mmHg pour la valeur systolique et 6 mHg pour la valeur diastolique. Certains sujets vivent avec une tension basse, sans symptôme.
Qu'est-ce qu'une tension normale ? On considère qu'une tension normale doit se situer à 12 ou 13 pour le premier chiffre, et 8 pour le second. Si l'on prend en compte la fourchette haute, l'hypertension légère commence à partir de 14/9. Quant à l'hypotension, elle commence à partir de 10/6.
Il n'existe donc pas de seuils la définissant "de légère à grave", mais une "cote d'alerte" lorsque la pression descend trop souvent en dessous de 10/7, y reste trop longtemps et surtout si elle s'accompagne de malaises…
Chez les patients victimes d'une hémorragie intracérébrale, la pression artérielle devrait être surveillée, traitée et maîtrisée de manière vigoureuse [niveau de preuve A] pour maintenir une pression artérielle cible constamment inférieure à 130/80 mm Hg [niveau de preuve B].
L'organisme peut très bien s'accommoder d'une tension à 9, suffisante pour propulser le sang dans tous les organes, à condition que ce soit le niveau de tension physiologique, c'est-à-dire normal, et non la conséquence d'une maladie, anémie, diabète ou cancer.
On parle généralement d'hypotension artérielle lorsque la tension artérielle systolique (le premier des deux chiffres indiquant tension artérielle) est inférieure à 90 mm Hg. Une valeur tensionnelle systolique de moins de 50 mm Hg indique une hypotension artérielle sévère.
Une tension artérielle très basse peut mettre la vie en danger, car elle peut entraîner un état de choc. en apprendre davantage , dans lequel les organes sont endommagés par le manque de flux sanguin.
La pression artérielle des participants ayant consommé l'eau à forte teneur en calcium et magnésium a diminué de façon significative et ce, dès la deuxième semaine de traitement. À la fin de l'étude, deux semaines plus tard, la pression artérielle moyenne de ce groupe était passée de 156,8/91,7 à 150,4/89,1.
Une grande fatigue, des vertiges, une sensation de malaise sont parfois les signes d'une tension basse : ce qu'on appelle une hypotension. Le plus souvent dite orthostatique, car liée à la position debout. Ce n'est pas dangereux et n'a rien d'anormal.
Une hypotension artérielle correspond à une chute ou à une baisse de la pression exercée par le sang, pompé par le coeur, contre les parois des artères. On désigne une hypotension quand la valeur systolique (chiffre du haut) est inférieur à 100 mmHg et/ou la valeur diastolique (chiffre du bas) est inférieure à 60 mmHg.
Il n'existe pas de tension "normale"
En fait, on sait que le risque cardiovasculaire, et surtout le risque d'accident vasculaire cérébral, augmente avec la tension artérielle. Il vaut mieux avoir 10 que 11, 11 que 12, 12 que 13 etc. Mais le risque d'AVC accélère à partir de 15, et devient majeur à 18.
Mais égale ou inférieure à 10, elle peut être source d'étourdissements, provoquant malaises, accidents et blessures –surtout chez les personnes âgées– et parfois être le signe d'une maladie neurologique ou d'une pathologie métabolique ou cardiaque. Il ne faut donc pas sous-estimer l'hypotension.
Xavier Girerd, cardiologue au groupe hospitalier de la Pitié-Salpêtrière : "Il vaut mieux avoir un chiffre de tension le plus proche possible de 12/7. C'est une pression artérielle qui va conduire à avoir une espérance de vie sans maladie cardiovasculaire.
les eaux gazeuses comme Vichy Saint-Yorre, Vichy Célestins, Apollinaris, Badoît. En revanche, peuvent être bues : Perrier, Vittel, Contrexéville, Evian, Volvic, Charrier.
Mangez plusieurs petits repas faibles en glucides. Pour aider à prévenir la pression artérielle de tomber brusquement après les repas, manger de petites portions plusieurs fois par jour et limiter aliments riches en glucides tels que les pommes de terre, riz, pâtes et du pain en grandes quantités.
Surdose en sodium :
En cas d'hypertension, mieux vaut consommer des eaux pauvres en sodium : Courmayeur (1 mg/l), Thonon (3 mg/l), Salvetat (7 mg/l). En revanche dans les cas d'hypotension les eaux riches en sodium sont recommandées : St Yorre (1708 mg/l), Vichy Célestins (1 172 mg/l).
Les personnes qui consomment en quantité des boissons contenant de la caféine ont une tension artérielle basse. Cette corrélation récemment découverte ne vaut toutefois que pour les non-fumeurs, comme le montre l'étude réalisée par l'équipe de la Prof.
L'hypotension orthostatique, "qui survient lorsque l'on passe de la position allongée ou assise à debout". C'est la forme la plus courante d'hypotension, qui résulte de l'incapacité du corps à s'adapter rapidement de la position allongée à la position debout.
Le matin et le soir, répétez la manœuvre 3 fois de suite, à une ou deux minutes d'intervalle. Il ne sert à rien de mesurer votre pression artérielle dans d'autres moments de la journée. Ces mesures supplémentaires compliqueraient inutilement l'analyse de votre médecin.
A. McDonough, membre de l'équipe de chercheurs impliquée sur cette étude, souligne que les fruits et légumes riches en potassium, tels que la patate douce, l'avocat, les épinards, les haricots, les bananes et même le café, favoriseraient la diminution de la pression sanguine au sein de l'organisme.