V. Hugo défend la thèse contraire, c'est-à-dire qu'il réfute la peine de mort. La première phase est l'antithèse (Celle opposé à celle de l'auteur). convaincante, les auteurs sont amenés à développer des arguments (C'est une démonstration qui a pour finalité de faire partager la thèse au lecteur).
A l'avant-garde de la défense des droits de l'enfant et de la femme, il s'engage activement en faveur de l'instruction gratuite et obligatoire pour tous, de la liberté d'expression, pour l'abolition de la peine de mort et, aux côtés de son ami Victor Schoelcher, pour celle de l'esclavage.
La thèse est l'opinion qui est défendue par l'auteur ou l'autrice tout au long d'un texte argumentatif. Il s'agit de sa prise de position par rapport à un sujet controversé, un débat de société qui ne fait pas l'unanimité. C'est le point de vue duquel l'auteur ou l'autrice cherche à convaincre son ou sa destinataire.
Victor Hugo souhaite montrer que la misère n'est pas une donnée inévitable pour l'homme : c'est une maladie sociale qui peut être traitée. Victor Hugo compare ainsi la société à un corps humain et la misère à une maladie : « La misère est une maladie du corps social comme la lèpre était une maladie du corps humain ».
Thèse soutenue (ou thèse défendue) : c'est la thèse que défend le locuteur, la réponse qu'il apporte à un problème, une question. Thèse rejetée (ou thèse réfutée) : c'est la thèse défendue par les adversaires du locuteur. Elle peut être exprimée explicitement (citation, discours rapporté) ou implicitement.
❯ Le thème est le sujet de l'argumentation. ❯ Une thèse est une opinion donnée sur un thème.
Victor Hugo se regroupe avec quelques écrivains pour former le Cénacle. Ce cercle de jeunes auteurs sera le foyer de leur mouvement littéraire appelé romantisme.
Il s'élève contre la répression et les mesures restrictives de Cavaignac. Mais c'est surtout par son discours du 9 juillet 1849 à l'Assemblée nationale, soutenant la proposition d'Armand de Melun sur des mesures de lutte contre le paupérisme, qu'il manifeste sa détermination à "détruire la misère".
Pour lutter contre la misère il faut deux choses : du travail et de l'unité, il faut s'unir. Il faut stopper la violence, parce que s'il y a la violence, la misère ne peut jamais finir. Prendre conscience, c'est ce qui est le plus important.La société doit changer de regard sur les plus pauvres.
Très souvent, la thèse du passage qui vous est proposé est située au début ou à la fin. Pour la trouver, repérez bien la manière dont la réflexion progresse : de quelle idée (la thèse du texte), les autres idées semblent partir ou vers quelle idée elles semblent converger.
Commencez par repérer la question à laquelle essaie de répondre l'auteur (sa thèse). Il l'énonce généralement au début du texte avant son argumentation ou à la fin après avoir argumenté. Le titre de l'ouvrage peut vous y aider. Repérez ensuite le thème général du texte, l'idée directrice de l'auteur.
La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie. (Mouvement.) Partout où la peine de mort est prodiguée, la barbarie domine ; partout où la peine de mort est rare, la civilisation règne.
Hugo n'hésite pas à décrire quelques exécutions particulièrement atroces, "il faut donner mal aux nerfs aux femmes des procureurs du roi. Une femme, c'est quelquefois une conscience". Il réfute les arguments habituellement avancés en faveur de la peine capitale, en particulier celui de l'exemplarité.
Victor Hugo est célèbre pour ses combats en faveur de la justice, ou plus exactement contre l'injustice : celle des tribunaux comme celle de la société qui marginalise, voire criminalise les pauvres. Il est venu en aide aux condamnés, on sait à quel point il abhorrait la peine de mort (cf.
Victor Hugo n'a pas seulement été un grand écrivain du XIXe siècle. Il a été un grand défenseur des droits de l'Homme, de la Femme et de l'Enfant. Il s'est battu contre la peine de mort, contre l'esclavage, le rejet de l'autre parce qu'il est différent, la xénophobie, la misère, l'oppression…
Le poète devient le symbole de la lutte de la République contre l'Empire, prenant position en toute occasion, par voie de presse et dans ses œuvres en faveur d'une meilleure justice sociale, pour la paix et la liberté des peuples opprimés, contre la peine de mort…
Il proclame les grands principes de libertés et de justice et refuse même de rentrer en France lors de l'amnistie des proscrits en 1859. Mettant en scène son exil volontaire, il affirme alors : « la liberté est partie, je rentrerai quand la liberté rentrera ».
La vraie force est celle qui a pour devise : Rien de force. Cette phrase de Victor Hugo contient 12 mots.
Définition du drame romantique par Victor Hugo
Le drame romantique, lui, doit refléter la vie en associant les éléments des deux genres : le beau et le sublime, jusqu'alors réservés à la tragédie, doivent cohabiter avec le laid et le grotesque.
Proposition, théorie, opinion que l'on tient pour vraie et que l'on s'attache à défendre. Ouvrage présenté devant un jury universitaire pour l'obtention d'un doctorat.
En philosophie et rhétorique, une thèse est une affirmation, qui peut se résumer en une simple phrase, mais est généralement soutenue par un ensemble organisé d'hypothèses, d'arguments et de conclusions. Il s'agit donc de la position d'un auteur, d'une école, d'une doctrine ou d'un mouvement sur un sujet donné.