Une fille ou une femme scolarisée assure son droit humain fondamental à l'éducation. Elle a également une chance bien meilleure d'atteindre son plein potentiel de vie devenue mieux équipée, par exemple pour obtenir un travail décent et bien rémunéré ou pour quitter un foyer où règne la violence.
Elle permet de sauver des vies : 190 000 mères pourraient être sauvées si elles achevaient toutes leurs études primaires. Elle garantit des revenus plus élevés : les femmes ayant fait des études du niveau du primaire (partielles ou complètes) gagnent jusqu'à 20 % de plus que celles qui n'ont aucune éducation.
La femme est depuis toujours très présente dans le domaine de l'éducation, comme élève ou comme enseignante, mais une analyse de sa participation dans ce secteur montre qu'elle y occupe une position inférieure qui à la fois reflète et contribue à perpétuer l'inégalité de la femme dans la société.
Éduquer une fille c'est éduquer une nation, parce que la femme est le fondement de toute société. Nous savons que l'éducation est le plus puissant facteur de réduction de la pauvreté dans le monde, capable de mettre fin aux cycles intergénérationnels de désavantages et de booster des économies entières.
L'éducation est un puissant facteur de changement. Elle améliore la santé et les moyens de subsistance, contribue à la stabilité sociale et stimule la croissance économique à long terme. Elle est aussi essentielle à la réalisation de chacun des 17 objectifs de développement durable.
L'éducation, c'est la famille qui la donne; l'instruction, c'est l'Etat qui la doit.
Comme on le voit, l'opinion en matière d'éducation a bien évolué. En s'attardant sur ces trois définitions d'éducation formelle, non-formelle et informelle, il semble évident que l'éducation doit être un processus permanent alliant tous ces niveaux.
Pour défendre l'accès à l'éducation des filles, Plan International met en place un environnement : Sûr : les filles doivent se sentir en sécurité sur le chemin de l'école et dans l'établissement qu'elles fréquentent.
1. Former quelqu'un en développant et en épanouissant sa personnalité. 2. Développer une aptitude par des exercices appropriés : Éduquer la volonté.
ÉDUCATION, subst. fém. 1. Art de former une personne, spécialement un enfant ou un adolescent, en développant ses qualités physiques, intellectuelles et morales, de façon à lui permettre d'affronter sa vie personnelle et sociale avec une personnalité suffisamment épanouie; p.
Susciter en lui l'envie de vous choyer et de vous protéger. Rôle extrêmement important de la femme : elle a un pouvoir sur le cœur de l'homme, comme nous l'avons déjà dit. Reconnaître son autorité sur soi et sur la famille. Susciter sa confiance.
Ce n'est qu'en 1850 que les écoles s'ouvrent aux filles avec la loi Falloux et, en 1882, la loi Ferry reconnaît l'égalité des sexes dans l'enseignement.
L'éducation des filles et des femmes, notamment dans les pays en développement, permet aux familles de mettre un terme au cycle de la pauvreté. C'est aussi un instrument efficace de lutte contre la malnutrition et la mortalité infantile.
Une fille ou une femme scolarisée assure son droit humain fondamental à l'éducation. Elle a également une chance bien meilleure d'atteindre son plein potentiel de vie devenue mieux équipée, par exemple pour obtenir un travail décent et bien rémunéré ou pour quitter un foyer où règne la violence.
Et pourtant ; chaque année passée par une fille sur les bancs de l'école augmente son futur revenu de 10 à 20 %. La non-éducation des filles est un véritable manque pour le développement des pays. Une année de scolarisation supplémentaire fait progresser le produit intérieur brut (PIB) annuel d'un pays de 0,37 %.
Eduquer est plus général qu'enseigner. Le terme éducation a un objectif de formation globale d'un individu à travers différents niveaux, religieux, social, culturel, technique, scientifique et médical. Le terme enseignement a une visée plus précise, soit celle de la connaissance à l'aide de signes.
Étymologie. Du latin educatio (« élevage, éducation »).
Synonyme : discipliner, dresser, élever, former, instruire.
Pour les filles qui abandonnent prématurément l'école, les conséquences sont graves. Selon un rapport de la Banque mondiale, les pertes de productivité et de revenu tout au long de la vie pour les filles n'ayant pas effectué 12 ans d'études sont estimées entre 15 000 et 30 000 milliards de dollars à l'échelle mondiale.
Les résultats obtenus démontrent à suffisance le rôle clé de la scolarisation des filles comme condition indispensable requise pour obtenir un changement à moyen et long terme du comportement des parents en vue de l'amélioration de la situation des enfants en matière de santé et d'éducation.
De 10 à 13 ans, les enfants apprennent la lecture et l'écriture. À partir de 12-13 ans, les filles arrêtent l'école et restent dans la maison familiale pour apprendre avec leur mère à cuisiner, à s'occuper de la maison et à devenir de futures mères de famille.
Elle est la base de la société, car elle encourage la perfectibilité de l'homme. Elle fait sortir l'homme de l'état des origines pour connaitre certaines perfections des ses facultés. L'éducation est le moteur, la garantie du développement humain et la transformation intégrale d'une société donnée.
L'éducation est, étymologiquement l'action de « guider hors de », c'est-à-dire développer, faire produire. Il signifie maintenant plus couramment l'apprentissage et le développement des facultés intellectuelles, morales et physiques, les moyens et les résultats de cette activité de développement.