Plus le niveau social des familles est élevé, plus les parents manifestent un sentiment de compétence élevé. On constate des liens positifs entre le sentiment de compétence parentale, le suivi parental de la scolarité de l'enfant et la participation parentale effective à la vie scolaire.
Selon plusieurs études, le soutien affectif de la famille, intégrant des dialogues concernant l'école, les appréciations des enseignants et les options à choisir, serait le premier annonciateur de la réussite scolaire d'un enfant.
Le déficit de réussite est particulièrement net pour la mention très bien, que les enfants de famille monoparentale obtiennent deux fois moins souvent que les jeunes vivant avec leurs deux parents. l'épreuve de mathématiques du bre- vet ; ce n'est le cas que de 86 % de ceux qui vivent en famille monoparen- tale.
Parmi les nombreux facteurs qui interfèrent avec l'apprentissage, l'attention, la motivation et les émotions sont sans doute les plus importants. Cela justifie l'étude que nous allons en faire.
Juridiquement, les parents sont les premiers responsables du jeune jusqu'à sa majorité. Panni les facteurs familiaux susceptibles de compromettre ou d'influencer la réussite scolaire, l'intérêt s'est porté davantage sur le statut socioéconomique et l'appartenance à une minorité ethnique.
L'influence familiale est ainsi considérée au sens large en tant qu'effet de l'ensemble du milieu social d'origine. Dans la mesure où elle amène les parcours des membres de la fratrie à se ressembler, nous la qualifions de « cohésive ».
La famille a de l'influence, mais nous sommes les seuls à décider. La construction de l'estime de soi, tout au long de l'enfance, est influencée par trois facteurs principaux : notre apparence physique, notre comportement social et notre rendement académique.
les troubles du spectre autistique et plus globalement les troubles envahissants du développement; un déficit sensoriel (déficience visuelle, auditive, etc.); des carences multiples (socioculturelles, éducatives, affectives).
La considération positive
Cette qualité se traduit par un respect, un souci que le facilitateur éprouve pour tous ses élèves. Il s'agit de faire en sorte que chaque apprenti se sente important, mûr, capable de faire des choses par lui-même, qu'il a le droit d'avoir ses propres sentiments et besoins.
« Chaque enfant se développe à son propre rythme, selon sa génétique, son tempérament et ses préférences, souligne Miriam Beauchamp. Les stimulations qu'il reçoit ont aussi une influence. Par exemple, un enfant qui est très stimulé sur le plan du langage parlera peut-être plus tôt. »
La famille constitue le premier lieu de socialisation pour l'enfant. Les relations précoces s'y déploient, l'expérience des affectivités s'y construit et les fondements du sentiment de sécurité interne s'y développent par, notamment, les comportements d'attachement.
- Les parents ont le devoir d'élever leurs enfants de manière responsable et de ne pas négliger leur éducation. - Les parents ont le droit de plein accès au système d'enseignement pour leurs enfants en fonction de leurs besoins, de leurs capacités et de leurs mérites.
Il importe aussi de relever l'apport des parents comme modèles, pédagogues et agents renforçateurs dans l'apprentissage du partage, de l'empathie et de la bienveillance, du respect et de la confiance à l'égard des uns et des autres dans la socialisation à la coopération sociale.
En ce qui concerne le rendement scolaire, ils arrivent à la conclusion que le climat social de l'école et les caractéristiques socio-économiques des étudiants sont les facteurs qui influencent le plus leur réussite.
Accompagner votre enfant dans ses devoirs et ses leçons. Participer aux rencontres de parents. Proposer votre aide comme bénévole à la bibliothèque, pour les sorties scolaires, etc. Assister aux événements auxquels prend part votre enfant (par ex. : spectacle, partie sportive).
Une bonne nuit de sommeil, de la musique, bouger en apprenant et un feedback positif aide le cerveau humain à mieux intégrer l'apprentissage de nouvelles compétences.
Expliquer Présenter et communiquer les nouvelles idées clairement et avec concision. Mettre l'accent sur l'explication. Établir des liens avec les contenus abordés antérieurement. Utiliser des exemples et contre-exemples pour aider les élèves à faire des liens.
les difficultés dans les apprentissages scolaires qui peuvent être signalées par la famille ou l'école et/ ou des signes d'appel très variés : troubles fonctionnels, fatigue, troubles de l'humeur, troubles du comportement, somatisation (céphalées, douleurs abdominales…).
Brousseau (1986) identifie trois types d'obstacles : épistémologique (propre à la tâche d'apprentissage) ; ontogénique (propre aux facultés de l'apprenant) ; didactique (propre au choix des apprenants dans leurs actions).
Que sont les difficultés d'apprentissage ? Au cours de son parcours scolaire, un élève peut se retrouver en difficulté d'apprentissage. Il maîtrise alors difficilement les connaissances qui lui sont transmises. Les évaluations, en cours d'année, montrent des résultats qui risquent de le mettre en échec scolaire.
La famille transmet à l'enfant, dès son plus jeune âge, le langage et les codes sociaux les plus élémentaires (apprendre à manger « correctement » par exemple), mais aussi les valeurs et les normes qui l'aideront ensuite à développer des relations sociales. Elle joue donc un rôle important dans la socialisation.
La famille, c'est celle qui nous accueille à notre naissance. C'est aussi celle que l'on crée plus tard en ayant des enfants. Les liens que nous entretenons avec les membres de notre famille nous permettent de nous construire autour de valeurs communes.
Pourquoi? Parce que la famille constitue le lieu des expériences les plus intenses et les plus significatives de la vie humaine. La famille constitue le premier et le plus important milieu social; la qualité de la vie adulte dépend grandement de la qualité des relations entre les membres de la famille.