Ut, zut serait une corruption du latin ut , formule de souhait dans l'argot des typographes : Ut […] C'est le premier mot du souhait que se faisoient en buvant les anciens imprimeurs […] : Ut tibi prosit meri potio (« Que grand bien vous fasse ce bon vin pur »). Par abréviation l'on se contenta ensuite du mot ut.
zut ! interj. Exprime le dépit, la lassitude, l'indifférence, le mépris, le refus.
Étymologie de « pourquoi »
porquey. Univerbation, contraction de pour et de quoi.
Terme populaire dont se servent ceux qui font scrupule de nommer le Diable.
Garde forestier, en particulier riverain des forêts chargé de rechercher les essaims d'abeilles pour les recueillir et les élever dans des ruches. Les francs-bigres : ...
Synonyme : démon, le Malin, le Maudit, prince des démons.
En fait, il n'y a personne en particulier qui a inventé les mots. Les scientifiques sont d'accord pour dire que le langage, la parole se sont créés petit à petit, avec l'évolution des hommes préhistoriques.
L'étymologie est la science qui a pour objet la recherche de l'origine des mots d'une langue donnée, et la reconstitution de l'ascendance de ces mots. Elle s'appuie sur des lois de la phonétique historique et sur l'évolution sémantique des termes envisagés.
étymologie
1. Science qui a pour objet la recherche de l'origine des mots d'une langue donnée, et la reconstitution de l'ascendance de ces mots. 2.
Interjection. (Familier) Exclamation qui exprime l'impatience, le dépit.
Le mot ZUT est valide au scrabble.
Marque la surprise, l'admiration, l'agacement, la déception. Exemple : Mince alors ! Traduction en anglais : (déception) damn!
atteinte, avarie, dégât, dégradation, détérioration, endommagement, ravage, sinistre.
Diantre suivi d'un complément a le même sens que diable en un même emploi, et signifie singulier, mauvais, diabolique.
Du latin ecclésiastique dies dominicus «jour consacré à Dieu, au repos», le mot dimanche est selon le CNRTL d'abord apparu dans le calendrier sous les formes didominicu puis diominicu par «dissimilation consonantique».
Le mot amour vient du latin amor. Ce mot a longtemps été du genre féminin et est devenu par la suite masculin, un amour, conformément au genre du mot latin. Toutefois, dans la langue littéraire et poétique, on peut rencontrer le mot au féminin quand il est employé au pluriel : des amours divines, des amours interdites.
Du latin biblia (« livres ») issu du grec ancien βιβλίον , biblion (« livre »).
Un néologisme est un mot nouveau ou apparu récemment dans une langue (ou une expression), le phénomène de création de nouveaux mots communs étant appelé, de manière générale, « néologie ».
1539 : l'ordonnance de Villers-Cotterêts, un texte fondateur
François Ier signe en août 1539 l'ordonnance de Villers-Cotterêts dans sa résidence royale. Ses articles 110 et 111 imposent la langue française dans tous les actes à portée juridique de l'administration et de la justice du royaume, au détriment du latin !
En 50 avant Jésus-Christ, les Romains envahissent la France avec leur langue, le latin. Au 5e siècle, le peuple des Francs prend leur place. Ils prononcent le latin à leur manière, ajoutent leurs mots, et créent ainsi une nouvelle langue : le roman. En 800, Charlemagne remet le latin dans les écoles et les églises.
La forme féminine de diable est diablesse, mais on peut employer diable au féminin dans : une diable de femme, de fille. « Voilà une jolie fille, mais quelles grandes diables de mains rouges ! » (V. Hugo). Diable, toujours avec une minuscule, même quand le mot désigne Satan : le diable en personne présidait le sabbat.
mon Dieu !) ou former des jurons (nom de Dieu ! bon Dieu !)
Lucifer. Le diable est connu sous de nombreux noms : le Malin, le prince des ténèbres, Belzébuth, Satan, etc.