Les suites arithmétiques et les suites géométriques sont des suites particulières qui servent à modéliser bon nombre de situations de la vie courante. Par exemple, les suites arithmétiques permettent de décrire l'amortissement des matériels informatiques achetés par une entreprise .
Le suites peuvent nous aider à formaliser le problème, c'est-à-dire à le traduire en mathématiques. Notons u_n la somme contenue dans le livret à l'année n, en convenant de noter u_0=100. Il faut maintenant trouver la relation de récurrence.
Les suites numériques représentent une notion qui apparaıt naturellement dans la vie courante. Part exemple, vous disposez d'un capital C que vous décidez de placez sur un livret d'épargne logement en vue d'une future acquisition. Le livret est rémunéré `a 3,12%. Notons cn le capital que vous avez au bout de n années.
La plupart des suites sont définies de cette manière : un terme initial et une relation de récurrence entre un terme et son suivant. C'est la définition classique par récurrence. Cependant il arrive que la suite soit directement définie par une formule générale qui te donne U_n en fonction de n.
C'est au mathématicien, physicien, inventeur, philosophe, moraliste et théologien français Blaise Pascal(1623-1662) dans son Traité du triangle arithmétique écrit en 1654 mais publié en 1665, que l'on attribue la première utilisation tout à fait explicite du raisonnement par récurrence.
La suite est plutôt un objet mathématique, alors que la série est surtout un outils. C'est à dire que l'on a plus d'angle d'attaque sur une série que sur une suite quelque soit la question (convergence, convergence uniforme, vitesse de convergence, majoration de l'erreur etc).
La suite (un) est décroissante.
2- Le terme général d'une suite arithmétique (Un) est donné par la formule suivante: Un = Up + (n-p)×r (où Up est le terme initial). Remarque2: cas particulier si U0 est le terme initial, alors Un=U0+nr.
Les suites géométriques satisfont une formule générale pour le calcul des termes ainsi que pour la série associée. Elles peuvent aussi servir à calculer des solutions particulières pour les relations de récurrence linéaires.
Si le premier terme est égal à 3, les premiers termes successifs sont : u0 = 3, u1 = 8, u2 = 13, u3 = 18. Une telle suite est appelée une suite arithmétique de raison 5 et de premier terme 3. Le nombre r est appelé raison de la suite.
Une suite géométrique est une suite telle que chaque terme se déduit du précédent par la multiplication par un réel constant (également appelé la raison de la suite). Pour montrer qu'une suite (Vn) est géométrique, on montre qu'il existe un réel q constant tel que, pour tout entier n, V_{n + 1} = q \times V_n.
Tout comme pour une suite arithmétique, l'expression de Un en fonction de n pour une suite géométrique est très simple. Il faut connaître la valeur de la raison et du premier terme de la suite. En général, la justification de la suite géométrique est un préalable. Cette question précède souvent le calcul de la limite.
Étudier la monotonie d'une suite, c'est dire si la suite est croissante, décroissante, ou ni l'un ni l'autre. La suite (un) définie par avec u0 = 1 est une suite arithmétique de raison r = –3 donc décroissante sur . Soit (un) une suite géométrique de premier terme u0 positif de raison q. (un) est décroissante lorsque .
Définitions : • La suite u est croissante si, pour tout n, un+1 ≥ un. La suite u est décroissante si, pour tout n, un+1 ≤ un. La suite u est constante si, pour tout n, un+1 = un. Une suite est monotone si elle est soit croissante, soit décroissante, soit constante.
Une suite (Un) est dite arithmétique si pour tout n entier naturel on a: Un+1=Un+ r où r est la raison de cette suite. Si on obtient une valeur constante alors la suite (Un) est une suite arithmétique. Si on obtient une valeur qui dépend de n alors la suite n'est pas une suite arithmétique.
On considère une suite (un) définie pour tout entier naturel n par un+1=f(un) où f est une fonction donnée. De plus, le premier terme u0 est également connu. Si l'exercice demande de calculer u1, on peut se servir de la relation un+1=f(un) en remplaçant n par 0. On obtient alors u0+1=f(u0), c'est à dire u1=f(u0).
Pour déterminer le sens de variation d'une suite (un), on peut utiliser l'une des règles suivantes : a) On étudie le signe de la différence un+1 − un. ▶ Si un+1 − un est positive, alors la suite (un) est croissante. ▶ Si un+1 − un est négative, alors la suite (un) est décroissante.
Une exponentielle, c'est une fonction mathématique. Comme toutes les fonctions mathématiques, elle décrit une grandeur qui varie dans le temps ou en fonction d'une autre variable. Elle représente quelque chose qui augmente de plus en plus vite.
Mode explicite d'une suite
On remplace tout simplement le x de la fonction par le n de la suite. , cela ne sera rien d'autre que la fonction inverse prises aux abscisses entiers naturels. . Donc, si l'on représente une suite sur un graphique, on n'aura que des abscisses naturels et des ordonnées réels.
La sequel, le Prequel, le sidequel etc...
Les suites 'monotones' sont les suites croissantes ou décroissantes. Les suites 'strictement monotones' sont les suites strictement croissantes ou strictement décroissantes.
A l'occasion de la semaine des mathématiques, Maville.com vous invite à résoudre une petite énigme : saurez-vous trouver le nombre qui complète cette suite logique ? La bonne réponse est 22. En effet, à partir du 3ème nombre, chaque nouveau nombre est le résultat de l'addition des deux nombres précédents moins 1.
L'Équation de Navier-Stoke.
La suite de Fibonacci apparaît dans de nombreux problèmes de dénombrement. Par exemple, le terme d'indice n (pour n supérieur ou égal à 2) de la suite de Fibonacci permet de dénombrer le nombre de façons de parcourir un chemin de longueur n-1 en faisant des pas de 1 ou 2.