Le terme “intelligence artificielle” a été utilisé pour la première fois par John McCarthy lors du projet de recherche d'été de Dartmouth sur l'intelligence artificielle de 1956, également connu sous le nom d'atelier de Dartmouth.
Naissance de l'intelligence artificielle 1943−1956. L'IBM 702 : un ordinateur utilisé par la première génération de chercheurs en IA.
Le terme « intelligence artificielle », créé par John McCarthy, est souvent abrégé par le sigle « IA » (ou « AI » en anglais, pour artificial intelligence).
L'histoire de l'intelligence artificielle
En 1950, Snarc, le premier ordinateur à réseau de neurones, sera créé par deux étudiants de Harvard : Marvin Minsky et Dean Edmonds. La même année, Alan Turing publie le Turing Test qui sert encore pour évaluer les IA.
Dans le domaine de l'IA, il existe deux grandes familles : d'un côté l'approche statistique (parfois aussi appelée probabiliste), et de l'autre l'approche déterministe.
Le GTP-3 a été décrit comme la percée la plus importante et la plus utile en matière d'intelligence artificielle depuis des années. Il semble être – bien qu'il soit encore dans sa version bêta – le modèle d'intelligence artificielle le plus puissant actuellement disponible.
On considère l'année 1956 comme le point de départ officiel de l'intelligence artificielle dans le monde car l'expression voit le jour durant la conférence “Dartmouth Summer Research Project on Artificial Intelligence” au Dartmouth College, une sorte d'atelier de réflexion autour de l'IA animé par six chercheurs dont ...
En conclusion, l'intelligence artificielle est une technologie en constante évolution qui offre de nombreuses opportunités et défis pour notre société. Bien qu'il puisse y avoir des inquiétudes quant à savoir si l'IA va nous remplacer, il est peu probable qu'elle remplace complètement les êtres humains.
Les premiers ordinateurs à tubes à vide sont construits à l'Université de la Pennsylvanie. L'ENIAC (Electrical Numerical Integrator and Calculator) comprend 18 000 tubes à vide et occupe 1 800 pieds carrés. C'est le premier « véritable ordinateur » ( c. -à-d.
Considérée comme l'un des robots les plus intelligents du monde, Sophia est capable de dessiner le portrait d'une personne à main levée. D'une manière globale, Sophia est un automate animé par une intelligence artificielle dont la dynamique de fonctionnement est basée sur l'anthropomorphisme.
Aujourd'hui, seul l'Intelligence Artificielle faible existe, par opposition à l'IA forte qui est une machine dotée de conscience, de sensibilité et d'esprit. En effet, l'IA faible se contente de reproduire un comportement humain sans conscience.
Pour le Parlement européen, l'intelligence artificielle représente tout outil utilisé par une machine afin de « reproduire des comportements liés aux humains, tels que le raisonnement, la planification et la créativité ».
Voici Cimon, le premier robot avec une intelligence artificielle destiné à aider un astronaute. vidéo La fusée SpaceX a envoyé ce « cerveau volant » vers la Station spatiale internationale. Capable de se déplacer en apesanteur, il va aider un astronaute allemand. Cimon est un robot conçu pour flotter en apesanteur.
Le GPT-3 (Generative Pretrained Transformer 3) est un modèle de langage développé par OpenAI basé sur la structure Transformer. Il succède à GPT-2, en juillet 2020 et est dix fois plus puissant que n'importe quel programme similaire, grâce à 175 milliards de paramètres.
Cependant, les évolutions de l'IA pour 2022 montrent qu'elle jouera aussi un rôle important dans la prévention de ces cybermenaces. L'IA peut notamment identifier des modèles, analyser le trafic réseau et mettre en évidence les activités suspectes grâce à des algorithmes intelligents.
Et GPT-3 est le meilleur actuellement. Plus fort. Contrairement aux réseaux de neurones précédents qui sont très spécialisés sur une seule tâche (le Go, le poker, la conduite de voiture…), GPT-3 sait faire beaucoup de choses sans s'entraîner particulièrement.
Dans la géographie mondiale de l'intelligence artificielle, ce sont les États-Unis qui dominent largement la recherche et le développement.
Selon Avivah Litan, analyste chez Gartner, certains des plus grands risques de l'IA générative concernent la confiance et la sécurité et incluent les hallucinations, les deepfakes, la confidentialité des données, les questions de droits d'auteur et les problèmes de cybersécurité.
Par exemple, un algorithme d'IA utilisé pour la classification d'objets ne pourra pas traiter le langage naturel. La recherche Google est une forme d'IA étroite, tout comme l'analyse prédictive ou les assistants virtuels.
Selon ce système de classification, il existe quatre types d'IA ou de systèmes basés sur l'IA : les machines réactives, les machines à mémoire restreinte, la théorie de l'esprit et l'IA auto-explicative.
1. Biais : L'IA peut être biaisée en raison de données ou d'algorithmes incorrects, entraînant des décisions discriminatoires et injustes. 2. Emploi : L'IA peut remplacer les travailleurs humains dans certaines industries, ce qui peut entraîner une augmentation du chômage et des inégalités économiques.
Les États-Unis sont les leaders incontestés du développement de l'IA, avec les grandes entreprises technologiques ayant leur siège social qui mènent la charge. Elles ont dépensé 248,9 milliards de dollars dans ce domaine.
L'intelligence artificielle dite « faible » est celle qui existe aujourd'hui. C'est un algorithme d'automatisation des tâches — plus rapidement et plus efficacement qu'un cerveau humain n'est censé le faire. Ce type d'IA n'a aucune sensibilité, ni aucune conscience, ni aucune capacité de raisonnement.
Piratage de voitures autonomes ou de drones militaires, attaques phishing ciblées, infox fabriquées de toutes pièces ou manipulation de marchés financiers...«L'expansion des capacités des technologies basées sur l'IA s'accompagne d'une augmentation de leur potentiel d'exploitation criminelle», avertit Lewis Griffin, ...