Exemple : pour un muret en parpaing de 1 m de haut et de 20 cm de large, la fondation doit faire 40 cm de large environ.
Pour exemple, si je construis un muret de 1,40 mètre avec des parpaings larges de 20 cm, ma fondation doit faire au minimum 35 cm de profondeur (140 cm/4) et 40 cm de largeur (2*20 cm). Pour un muret solide, prévoyez au minimum des fondations de 30 cm d'épaisseur sur 40 cm de largeur.
Généralement, les dimensions de la fondation d'un mur de clôture sont de l'ordre de 40-50 cm de profondeur et environ 30 cm de large en tenant compte de l'épaisseur du parpaing ou de la brique.
Des fondations hors gel pour le mur de soutènement
Par exemple, si vous vivez le long des côtes Atlantique ou Méditerranéenne, 50 cm de profondeur suffisent. En revanche, si votre terrain se situe en montagne, dans les Pyrénées, le Massif Central ou les Alpes, il faut creuser jusqu'à 1 m de profondeur selon l'altitude.
Généralement, les fondations d'un mur en parpaings de 2 m sont profondes d'environ 20 à 30 cm.
La surface des fondations doivent faire 18,18 m2. Pour le calcul de la largeur de la semelle, on divise la surface par le nombre de mètres linéaires des murs de la maison, en l'occurrence ici 40 ml. Ce qui donne : 18,18 / 40 = 0,4545 m.
profondeur des fondations : il est toujours préférable d'atteindre la zone hors gel. Cependant, pour un muret en parpaing sur une hauteur de 2 ou 3 rangs, une profondeur de 30 cm peut suffire. La profondeur dépend de la nature du sol, de la hauteur du mur et de son épaisseur.
Les gabions sont une solution très en vogue. Il s'agit de cages métalliques dans lesquelles sont stockés des galets ou autres petits rochers. Pour créer une retenue de terre, il suffit d'aligner les cages sur la longueur souhaitée puis de les superposer jusqu'à obtenir la hauteur de retenue désirée.
Si vous avez un mur sans fondation à l'intérieur ou à l'extérieur de votre maison, il convient alors de renforcer ce mur en réalisant une reprise en sous-oeuvre. Il s'agit principalement de renforcer le mur via un décaissement puis une consolidation des fondations.
Un mur de soutènement est un mur qui permet de contenir une pression, en principe une hauteur de terre d'au minimum deux mètres, pour éviter les glissements de terrain.
les fouilles sont le plus souvent 2 fois plus larges que le futur mur : obligatoire à partir du moment où le mur fait plus d'1 m de hauteur ; ainsi si le mur aura 20 cm d'épaisseur, les fouilles creusées doivent avoir une largeur de 40 cm ; en terme de profondeur : comptez entre 50 et 80 cm, selon la hauteur du mur.
La fondation d'un mur de clôture est une étape incontournable pour assurer une clôture solide et durable. Il s'agit de mettre une fondation en béton qui sera deux fois supérieur à la largeur du mur et profond d'environ 40 à 50 cm pour assurer une solidité à la construction.
Le ferraillage a pour objectif de renforcer les fondations du muret. Etant donné que le béton ne possède pas une bonne résistance à la traction, c'est l'acier présent dans le ferraillage qui jouera ce rôle. La hauteur du muret construit dépendra de son usage.
L'évaluation du sol par un professionnel est une étape incontournable pour déterminer la profondeur de vos fondations. Celui-ci réalisera une étude géotechnique déterminant la composition, l'épaisseur, la stabilité, la perméabilité et la nature des sols de votre chantier.
En France, cette profondeur se situe entre 60 et 90 cm suivant les régions et sur le bon sol.
Effectuez le creusement. La semelle de fondation doit avoir au moins 40 cm de largeur. Pour supporter des murs de soubassement, comptez 2,5 à 3 fois l'épaisseur de la maçonnerie : soit 50 à 60 cm pour des parpaings de 20 cm. Sa hauteur est proportionnelle à sa largeur, sans jamais être inférieure à 20 cm.
Il existe des solutions alternatives au béton en fondations. Par exemple, les fondations traditionnelles sur pieux de bois, utilisées jusqu'au milieu du siècle dernier, ont permis d'édifier des maisons, des ponts et même des cathédrales !
Préparez votre mortier à la bétonnière. Étalez une couche de mortier et commencez la pose du premier rang de parpaing en prenant soin de bien vérifier l'alignement et le niveau. Tous les 2 m environ, posez des blocs d'angle avec un ferraillage vertical afin de renforcer votre mur.
La Cour de cassation différencie bien un mur de clôture et un mur de soutènement. Contrairement à un mur de clôture, un mur de soutènement peut être construit sans déclaration préalable mais il faut qu'il ait vraiment une fonction de soutien.
Le propriétaire d'un terrain en surplomb est, en effet, responsable de la retenue de ses terres (cass. civ. 3e du 15.6.94, n°92-13487).
Il est nécessaire de prévoir un chaînage vertical à chaque extrémité du mur ainsi que des chaînages verticaux intermédiaires : généralement tous les 3mètres pour un mur de 1,80m à 2m de hauteur.
En général, un joint de mortier de 1 cm d'épaisseur est convenable. Toutefois, certains préfèrent mettre une épaisseur de ~2 cm. Mais une épaisseur forte n'est pas toujours recommandée, puisque s'ils sont trop épais, on a tendance à les voir apparaître sous le crépi.
Les dalles de béton de 15 à 20 cm d'épaisseur sont dédiées à recevoir de grandes charges, comme des poids-lourds, du matériel agricole ou encore du bétail. Enfin, dans le cas de fondations, optez pour 25 cm minimum.