Les cactus et les plantes succulentes adorent la lumière vive. Il est possible de les placer dans une serre, sur une terrasse, sur le rebord d'une fenêtre, sur une véranda, ou derrière une grande baie vitrée. Il faut éviter de les placer en plein soleil au risque de ralentir leur croissance.
En réalité, ces plantes robustes ont besoin de beaucoup de lumière, mais il est préférable qu'elles la reçoivent de manière indirecte, surtout lorsqu'il s'agit de jeunes plantes de petite taille comme celles que nous achetons pour l'intérieur de la maison.
Une exposition lumineuse
Vos plantes grasses d'intérieur s'épanouiront dans un endroit lumineux. Originaires des pays arides et ensoleillés, elles se développeront correctement dans un environnement chaud et éclairé par la lumière naturelle.
En pratique, lors de la photosynthèse, les végétaux absorbent la plupart des couleurs sauf le vert qu'ils renvoient, ce qui donne cette jolie teinte aux feuilles en apparence. Par conséquent, les lampes de croissances optent pour un éclairage rouge et bleu plus adapté.
Privilégiez les lampes horticoles LED
Une lampe peut tout à fait aider vos plantes d'appartement à opérer la photosynthèse nécessaire à leur croissance. Optez pour une ampoule horticole LED : durable et économique, elle diffusera une lumière continue et puissante, très bénéfique pour vos végétaux.
Contrairement aux lampes classiques, les lampes de luminothérapie diffusent une lumière artificielle, dite "à large spectre", pour imiter celle du soleil. De ce fait, l'intensité lumineuse est nettement supérieure à celle d'une lampe de bureau, par exemple.
En bref, la réponse est oui : oui, un éclairage artificiel peut aider vos plantes à pousser, mais pas n'importe quelle éclairage. La lumière provenant des ampoules halogènes dans un bureau ne suffira jamais à la survie d'un cactus, mais elle peut fonctionner pour d'autres espèces.
Pour des plantes nécessitant peu de lumière, telles que les salades ou les herbes, il faut compter 15 watts pour une zone de 50 cm sur 50 cm. Pour des plantes avec un fort besoin de lumière, telle que la tomate, il faut compter 30 watts pour une zone de 50 cm sur 50 cm.
Symptômes du manque de lumière : feuilles qui pâlissent, rapetissent, s'espacent, se ramollissent, tiges qui se tendent vers la source de lumière, disparition du panachage des feuilles et du fleurissement, selon les cas.
Lorsqu'il en manque, la plante se ramollit, puis, peu à peu, sa silhouette se modifie et elle s'amaigrit. En cas de manque d'eau prolongé, le tissu jaunit et, dans les cas les plus extrêmes, il se nécrose. Le cactus apprécie un arrosage généreux, afin que l'ensemble de son substrat soit humide.
La lumière bleue entre 400 et 470 nm et la lumière verte entre 470 et 570 nm sont aussi très fortement absorbées. Les plantes absorbent aussi des longueurs d'ondes au-delà du spectre PAR comme les ultraviolets (300 à 400 nm) et les infrarouges (700 à 800 nm).
Du printemps à la fin de l'été, arrosez régulièrement pour maintenir le substrat frais. Le reste de l'année, arrosez avec parcimonie en laissant le substrat sécher entre deux arrosages. Après la floraison, suspendez les apports d'eau pendant 2 à 3 semaines.
Signe qu'un cactus manque de soleil : l'apparition de pousses plus maigres, effilochées et pâles ou des aiguillons moins beaux. Certains cactus fleuris ont besoin d'une courte période d'éclairage. On évitera de les placer sous une lumière violente en hiver qui pourrait perturber sa floraison.
Plantez vos cactus en plein soleil, dans une terre légère, sableuse, ne retenant pas l'eau. Dans la maison, placez les cactées derrière une fenêtre afin qu'ils bénéficient de la meilleure luminosité. Évitez tout excès d'arrosage qui pourrait leur être fatal !
Les cactées ont besoin de beaucoup de lumière. Placez-les près d'une fenêtre mais évitez le soleil direct. Ils apprécieront l'extérieur (balcon, terrasse, jardin) durant la belle saison vous pouvez les placer à l'extérieur.
Voici quelques points de repères sur la quantité de lumens recommandée par espace de vie : Un éclairage principal pour un séjour, une salle à manger, un couloir requiert environ 100 lm/m². Un éclairage principal pour une cuisine ou une salle de bain requiert 300 lm/m².
Cela dépendra de plusieurs facteurs, notamment de la puissance de l'éclairage et de l'angle de diffusion de vos LEDs. En règle générale et pour obtenir les meilleurs résultats l'éclairage doit être placé à 30cm de la cime de vos plantes.
Le Calathéa est une plante très décorative qui se distingue pas des feuilles striées qui peuvent prendre diverses teintes de vert, voire même de rose. Comme toute les plantes exotiques à la famille desquelles il appartient, le Calathéa apprécie l'humidité et se plaît dans les endroits ombragés.
Le tillandsia est idéal dans les toilettes, surtout si elles sont dépourvues de fenêtres. La plante absorbe l'humidité et a des vertus dépolluantes. Le lierre trouve aussi bien sa place dans le salon et la chambre, que dans la salle de bains.
Le ficus Elastica
Cette jolie plante tout en hauteur est très appréciée dans nos intérieurs. Facile d'entretien et facile à vivre, elle se plaît autant dans un endroit peu éclairé que dans un endroit très lumineux. Contrairement aux plantes vu précédemment la lumière directe ne lui pose pas de problème.
Pour les plantes nécessitant très peu de lumière, comme les salades ou les herbes aromatiques, 15 watts de puissance sont nécessaires sur une surface de 50 cm sur 50 cm. Pour les plantes qui ont une forte demande de lumière, comme les tomates, il faut compter 30 watts sur une surface de 50 cm sur 50 cm.
Lumière pour plantes : utiliser des lumières artificielles
Parmi eux, les ampoules à incandescence sont généralement déconseillées pour la plupart des plantes, car elles font trop chauffer leur eau. En revanche, les lampes fluorescentes constituent souvent le meilleur choix.
Ainsi, pour la croissance, il est préférable d'employer des couleurs froides à dominance bleu-blanc (ampoules MH, CFL ou néons supérieurs à 3000°K) et pour la floraison des couleurs chaudes à dominance rouge-orange (ampoules HPS, CFL ou néons inférieurs à 3000°K).