La cataracte est l'une des maladies de l'œil les plus courantes en France. Elle est traitée par le biais d'une opération de chirurgie ambulatoire (la personne opérée peut rentrer chez elle le jour même) sous anesthésie locale. Le chirurgien retire le noyau du cristallin et le remplace par un implant intra-occulaire.
Myopie, hypermétropie, astigmatisme, cataracte… la chirurgie permet de corriger la plupart des troubles visuels. Cette technique n'a cessé de s'améliorer et conquiert de plus en plus de Français.
Les pathologies oculaires plus graves. La dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) est une maladie sournoise. À ses débuts, elle est quasiment asymptomatique. Les premiers signes de cette affection de l'œil apparaissent autour de l'âge de 50 ans.
Quel que soit le défaut visuel, l'âge minimum légal pour une opération des yeux est de 18 ans. Mais plus qu'une question d'âge, c'est surtout la stabilité de la vision qui compte. Ainsi, pour certains patients on pourra opérer à partir de 20 ans, pour d'autres à partir de 25 ans.
Votre prescription de verres correcteurs ou de lentilles mentionne le signe « — » devant le chiffre de puissance. Si ce chiffre est inférieur à 10 dioptries, vous pouvez être opéré par la technique laser LASIK. Si le chiffre est inférieur à 6 dioptries, la technique laser PKR est également possible.
Les patients de moins de 18 ans ne sont pas éligibles à une opération des yeux. À cet âge, le défaut visuel n'est pas stabilisé. Certains troubles de la vue évoluent plus longtemps que d'autres. C'est le cas de la myopie.
L'intervention de chirurgie réfractive est indolore, car la surface de l'œil est anesthésiée. Vous pourrez ressentir certaines gènes à plusieurs étapes, mais rien de douloureux. Et quoi qu'il en soit, sachez que l'intervention au laser ne dure que quelques secondes par œil.
Désormais, elle permet non seulement de remédier aux problèmes de cataracte, mais aussi de venir à bout d'un glaucome ou encore de corriger différents défauts de réfraction de la cornée comme la myopie, l'hypermétropie, l'astigmatisme et la presbytie.
Pourquoi se faire opérer ? Simplifiée et de plus en plus courante, la chirurgie ophtalmique permet de corriger les troubles de la vue et pourrait même augmenter l'acuité visuelle. Tout savoir sur la myopie, la presbytie, l'hypermétropie et l'astigmatisme.
L'image est projetée derrière la rétine, ce qui provoquera une vision floue de près. De facto, la myopie compense en quelque sorte la presbytie, car avec l'âge, la réfraction de l'image va se rapprocher un plus de la rétine chez le myope presbyte, ce qui donnera l'impression que l'évolution de la myopie a cessé.
Le glaucome est une maladie du nerf optique. Il se dégrade lentement, ce qui réduit le champ visuel. A terme, les patients deviennent aveugles. Après 40 ans, 1 à 3 % de la population est touchée par le glaucome.
La cécité peut être liée à des facteurs d'origine génétique, à un accident ou à une maladie infectieuse. Dans nos pays occidentaux, ce sont la rétinopathie diabétique, le glaucome, la cataracte ou la DMLA qui constituent les causes principales de cécité.
tache foncée inhabituelle sur l'œil, dont la partie colorée de l'œil appelée iris. troubles de la vue, dont une vision légèrement floue ou une perte de vision. observation de corps flottants (points, objets qui flottent ou lignes ondulées) observation d'éclairs ou d'ombres.
une déformation des objets et des lignes droites, qui paraissent ondulées ou courbes ; une diminution de l'acuité visuelle dans la partie centrale du champ de vision, avec difficulté à percevoir les détails.
L'astigmatisme s'opère qu'il soit isolé (assez rare) ou associé à la myopie ou l'hypermétropie (le plus courant). En cas d'astigmatisme d'origine cornéenne (la majorité des cas), l'opération a pour objectif de rendre la surface de la cornée parfaitement homogène grâce au laser.
Contrairement aux interventions dites « de soins », une opération des yeux n'est pas remboursée par la Sécurité sociale et autres organismes d'État, car cet acte est jugé « de confort », c'est à dire destiné à corriger un défaut visuel pouvant être aisément traité par le port de lunettes ou de lentilles.
Le myope ne peut distinguer les objets lointains. Sa vision est floue et se déplacer, cuisiner, regarder la télévision ne peut se faire sans correction (lunettes, lentilles). Par contre, la personne atteinte d'une forte myopie parvient à lire sans correction en tenant le texte de façon rapprochée de l'œil.
Le coût de l'opération varie toutefois entre 2500 et 3500€ pour les deux yeux. Un budget important est donc à prévoir. Mais l'intervention permet de réduire drastiquement les coûts liés aux lunettes et aux lentilles de contact !
Et, généralement, cela se traduit par une fatigue visuelle, avec surtout une gêne caractéristique à l'éblouissement puis, tardivement, une baisse de la vision de loin.
Les risques comprennent une correction inadéquate, une diminution de la meilleure acuité visuelle corrigée, une sensibilité à la lumière transitoire (TLS), de l'éblouissement, des halos, une opacité de la cornée, une coupe du volet inadéquate et de la sécheresse.
Les risques dus au rayonnement laser
La rétine est donc la partie sensible de la vision. Cette concentration en un seul point de lumière extrêmement puissante peut provoquer des dommages allant jusqu'à la perte de l'acuité visuelle, selon la localisation et le diamètre du faisceau sur la surface rétinienne.
Une opération est envisageable vers l'âge de 20 – 22 ans. Pour les myopies importantes (au-delà de -6 dioptries), il faudra souvent attendre quelques années supplémentaires, parfois jusqu'à 28 ans. On considère que la myopie est stable lorsque le défaut visuel n'évolue plus depuis deux ans.
Sans traitement, la cataracte peut provoquer une perte de la vision : elle représente la troisième cause de cécité en France après la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) et le glaucome.
De manière très simple, on peut dire aujourd'hui que l'opération de cataracte est nécessaire chaque fois que la baisse de vision est suffisamment importante pour être perçue comme gênante par le patient.