La polyphagie, l'hyperphagie ou la suralimentation est un symptôme caractérisé par une faim excessive avec une absence de sensation de satiété, traduisant un excès dans le comportement alimentaire.
Mangez mieux pour éviter de grignoter
Et qui dit bien manger dit également suffisamment manger. Si vous êtes en plein régime, cette sensation de faim peut indiquer que vous ne mangez pas suffisamment. Il est alors important de veiller à prendre des repas sains, équilibrés et en quantité suffisante.
Besoin excessif de manger, qui n'est pas limité par le sentiment de la satiété. (Elle peut constituer un des signes d'alerte du diabète.)
Ça arrive à tout le monde. Mais quand ce comportement se répète régulièrement et qu'on se sent impuissante devant la nourriture, on parle alors d'hyperphagie boulimique. Il s'agit d'un trouble alimentaire.
Les hyperphages mangent souvent même lorsqu'ils n'ont pas faim et continuent de manger jusqu'à ce qu'ils soient remplis et même au delà. Il peuvent aussi se goinfrer en mangeant rapidement et en ne faisant pas attention à la quantité d'aliments qu'ils ingurgitent.
C'est d'autant plus difficile d'arrêter de manger! Les réponses de votre corps aux restrictions alimentaires sont une modification du système hormonal, l'activation de gènes agissant sur les dépôts de gras et une augmentation du stress, en particulier dans le cerveau.
Le syndrome cardinal est une association de plusieurs symptômes rencontrés chez les patients présentant un diabète de type 1 en situation d'insulino-requérence et lorsque la glycémie dépasse 3g/l.
"Si l'on consomme des aliments avec un indice glycémique élevé, des glucides vite assimilés par l'organisme, on va rapidement avoir faim après le repas", continue la spécialiste. Plus précisément, en augmentant le taux de sucre dans le sang, ces aliments entraîneront ensuite rapidement une chute de ce taux.
Mauvaise alimentation, manque de sommeil, médicaments, maladies, règles... Plusieurs raisons peuvent expliquer cette faim permanente et insatiable.
Les facteurs sociaux et psychologiques qui poussent une personne à manger sont aussi importants que les facteurs physiologiques, sinon plus. Souvent, on a tendance à manger trop lorsqu'on se trouve entre amis, ou lorsqu'on célèbre une fête en famille. À d'autres moments, on mange en réponse à nos émotions.
Lorsqu'il présente une augmentation de sa prise de boisson on parle de polydipsie. Lorsqu'un animal a tendance à boire beaucoup et à uriner plus que d'habitude, on parle alors de polyuro-polydipsie, connue sous l'abréviation PUPD. C'est un syndrome qui affecte fréquemment les chiens et les chats.
L'acidocétose diabétique est une complication aiguë du diabète qui consiste en une élévation de l'acidité du sang liée à l'accumulation de substances toxiques pour l'organisme, les corps cétoniques.
Cela implique que le glucose dans le sang ne peut pas être synthétisé par les cellules - en raison d'un manque d'insuline ou d'une résistance à l'insuline. Le corps ne peut donc pas métaboliser la nourriture que l'on mange en énergie. Ce manque d'énergie entraîne alors une augmentation de la faim.
Le diabète de type 1, généralement appelé simplement diabète, était déjà identifié comme une affection associée à une « urine sucrée »: une glycémie élevée (hyperglycémie) conduit à la libération de sucre en excès dans l'urine, d'où provient l'expression « urine sucrée ».
Celle-ci est conçue pour stimuler le sentiment de sécurité : il s'agit de faire en sorte que les personnes anxieuses se comportent comme si elles étaient dans la peau de personnes « sécurisées », capables de faire face aux événements négatifs de la vie.
La pectine de pomme, le fucus, le konjac et le nopal sont les quatre plantes coupe faim les plus connues. Elles fonctionnent toutes de la même manière, en se gélifiant et en gonflant dans l'estomac pour favoriser la satiété et réduire la sensation de faim.
Définition "morfal" n.m. Personne qui mange beaucoup, avidement, malproprement.
L'hyperphagie, que l'on appelle aussi hyperphagie boulimique est un trouble alimentaire caractérisé par une surconsommation d'aliments. Il ne s'agit pas d'un besoin métabolique ou énergétique mais d'un trouble issu d'une atteinte psychologique et/ou psychique.