Des plantes pour soigner naturellement la maladie de Lyme
L'olivier (et notamment la feuille d'olivier) est une plante dont le nom est très souvent cité pour soigner naturellement la maladie de Lyme. Il en est de même pour la samento, l'origan, le bois de gaïac et le clou de girofle.
Résumé Une approche optimiste et éclairée de la maladie de Lyme, une pathologie transmise par les tiques et encore mal diagnostiquée en France. Une malade raconte huit années d'errance médicale avant qu'un médecin pose enfin le diagnostic et qu'elle retrouve une vie normale grâce à un traitement adapté.
Elle peut donc être traitée par des antibiotiques, qui sont particulièrement efficaces au stade précoce de la maladie. À un stade plus tardif ou en cas de symptômes chroniques, des perfusions d'antibiotiques pendant plusieurs semaines peuvent être nécessaires.
Puisque la maladie de Lyme est causée par une bactérie, un traitement aux antibiotiques est utilisé pour tenter de la guérir. Souvent, il suffit de deux semaines à un mois sous antibiotiques pour que l'infection se résorbe complètement.
La maladie de Lyme se traite avec des antibiotiques. La conduite thérapeutique (choix de l'antibiotique, posologie, durée du traitement) dépend de l'âge et des atteintes présentes, d'où l'importance de procéder à examen physique complet incluant un examen neurologique. L'efficacité du traitement s'évalue cliniquement.
Autre conséquence : "des troubles du sommeil avec hyper somnolence, sommeil non-récupérateur, en partie responsable de la fatigue invalidante observée dans les formes chroniques."
Les symptômes neurologiques sont variés : maux de tête, douleur le long des nerfs, paralysie d'une moitié du visage, inflammation des méninges… Il peut également survenir des symptômes oculaires (vision double notamment) (1,3).
La maladie de Lyme, ou borréliose de Lyme, est transmise lors d'une piqûre de tique infectée par une bactérie de la famille des spirochètes. L'infection est souvent sans symptôme mais peut dans certains cas entrainer une maladie parfois invalidante (douleurs articulaires durables, paralysie partielle des membres…).
Le test « Elisa » est systématiquement utilisé depuis 2006 pour dépister la maladie, en vertu d'un protocole établi par les autorités sanitaires. S'il est négatif, le dépistage sérologique s'arrête là.
Chez les humains, la maladie de Lyme peut se manifester par une série d'effets prenant la forme d'éruptions cutanées et de symptômes pseudogrippaux dans les cas bénins et, dans les cas graves, de symptômes très marqués affectant les articulations, le cœur et le système nerveux.
Un érythème migrant s'étend à plus de 5 cm de diamètre au site de la morsure de tique. Il est habituellement indolore et non prurigineux. Dans bien des cas, un érythème migrant ne présente pas de forme de cible classique.
Les adultes avec neuroborréliose précoce possible ou définitive devraient recevoir une antibiothérapie. Les antibiotiques classiques sont la ceftriaxone (2 g/jour) ou la pénicilline IV (24 MU/jour) pendant 14 à 21 jours. 2,7 Le traitement alternatif est la doxycycline PO (2 × 100 mg/jour) pour la même durée.
L'association à l'huile essentielle de Lavande Aspic est remarquable : elle va cicatriser la plaie, tout en réduisant la douleur grâce à son action antalgique. De plus, son odeur va repousser d'autres insectes comme les guêpes ou les abeilles.
Aujourd'hui, le diagnostic est soit clinique (au début de la maladie, avec présence de rougeurs de la peau), soit sérologique (examen du sérum sanguin) : en l'absence de rougeurs, un test sanguin dit « ELISA » est demandé, pour rechercher des anticorps dirigés contre Borrelia.
À l'intérieur des maisons, les tiques préfèrent se nicher dans les tapis, les sofas et n'importe quelles autres cachettes qu'elles trouvent. Il est recommandé de contacter un exterminateur pour éliminer les tiques chez vous et empêcher une infestation.
Une à deux semaines après la piqûre de tique, la maladie de Lyme provoque un syndrome grippal (fièvre, frissons, maux de tête, courbatures) accompagné, dans 30 à 60 % des cas, d'une tache rouge arrondie sur la peau. Elle peut parfois passer inaperçue et n'apparaît pas forcément là où la tique s'était fixée.
Il n'est généralement pas nécessaire de s'inquiéter lorsque la «tête de la tique» est restée dans la peau. Continuez néanmoins à observer la plaie. En cas de doute, consultez un médecin ou un pharmacien. Pas de panique!
L'anaplasmose peut également s'accompagner de formes de conjonctivite, de pharyngites ou de toux et d'une baisse des globules blanc. Elle est à suspecter chez toute personne à risque présentant un syndrome grippal entre le printemps et l'automne et son diagnostic repose sur la PCR.
Diarrhée. Constipation. Vessie irritable (difficulté à commencer/ à s'arrêter d'uriner) ou cystite interstitielle. Maux d'estomac (nausées ou douleurs) ou RGO (reflux gastro-œsophagien).
A l'inverse, les tests seront le plus souvent positifs chez les patients avec des formes disséminées de la borréliose de lyme (arthrite, manifestations neurologiques, etc.) survenant plus de 4 à 6 semaines après la piqure.
C'est la combinaison du mouvement, de la chaleur, de l'odeur et du CO2 dégagé qui attire la tique. Pour éviter les tiques et leurs désagréments, mieux vaut savoir où l'on risque de les rencontrer.