La règle générale pour la cuisson des pâtes est la règle des 1, 10, 100 : 1 litre d'eau (froide)
En Italie on dit souvent, à raison, que les pâtes doivent pouvoir danser dans l'eau. Soyez généreux, comptez un litre d'eau pour 100 gr de pâtes.
À la première ébullition, ajoutez 10 grammes de gros sel par litre d'eau. Par réaction chimique, votre eau va s'agiter un peu plus, et c'est à ce moment qu'il faut y plonger les pâtes.
Rajouter du sel dans l'eau des pâtes dès le début de la cuisson de celle-ci permettra à l'ensemble de vos pâtes d'être salée de la même façon (ce qui ne sera pas le cas si vous salez vos pâtes une fois déposées dans votre assiette).
En Italie, on dit que "les pâtes doivent pouvoir danser dans l'eau", car elles ont besoin de beaucoup de place pour cuire et bouger librement. C'est ainsi qu'elles vont bien cuire à coeur et de manière homogène.
Embêtant si vous avez passé la matinée à préparer une bonne sauce napolitaine ou un bon pistou. Rincer vos pâtes vous ferait donc perdre en gout et en texture. Pour des pâtes en sauce traditionnelles, il est donc clairement déconseillé de les rincer.
Les pâtes absorbent un peu du sel de l'eau de cuisson. Ainsi, saler l'eau de cuisson «ajoute du goût», en quelque sorte. Pour être exact, le sel intensifie la perception des saveurs. Le sel dans l'eau de cuisson empêche également les pâtes de devenir trop collantes, en limitant le gonflement de l'amidon.
L'astuce de l'huile pour empêcher l'eau de déborder
En effet, l'huile se trouvant à la surface de l'eau va s'intercaler entre les particules d'amidon libérées par les pâtes lors de leur cuisson : elle limitera ainsi la mousse formée par cet amidon et empêchera donc l'eau de déborder.
En cuisant, les pâtes rejettent de l'amidon dans l'eau de cuisson. C'est cela qui les fait coller les unes aux autres. Le vinaigre blanc, lui, neutralise l'effet de l'amidon. Résultat, les pâtes ne collent pas.
En effet, lorsque vous les rincez, vos pâtes sont effectivement délestées de tout l'amidon qui a été libéré pendant la cuisson sous la pression de la chaleur. Sauf que problème : c'est grâce à ce dernier que la sauce tient si bien sur les pâtes.
Le principe est simple : une fois les pâtes cuites à votre goût, égouttez-les puis reversez-les dans le plat de cuisson (ou dans une poêle) avec une ou deux cuillères à soupe d'huile d'olive.
Un geste du quotidien à proscrire sur le plan sanitaire. Pour éviter d'ingérer du plomb ou des bactéries, il est recommandé de ne pas faire bouillir l'eau chaude du robinet pour la cuisson du riz, des pâtes ou encore du thé, selon Femme actuelle.
En pâtisserie, le beurre joue un rôle fondamental car il permet d'imperméabiliser les pâtes. Il augmente à la fois le croustillant et la friabilité des sablés et de toutes les pâtes sèches (petits gâteaux de voyage par exemple) et apporte moelleux et onctuosité aux pâtes levées.
La première chose à faire est de les faire cuire dans de l'eau vraiment bouillante afin que l'amidon se fixe sur les pâtes et se relâche moins dans l'eau. La seconde chose à faire est d'égoutter immédiatement les pâtes une fois cuites, dans une large passoire, pour empêcher l'amidon de les faire coller.
La plupart du temps, sur les paquets, il est préconisé de cuire 100 g de pâtes par personne. Cela peut ne pas sembler beaucoup, mais il faut bien comprendre qu'une pâte crue et une pâte cuite n'ont pas le même poids. Ainsi, 100 g de pâtes crues représentent environ 250 à 300 g de pâtes cuites.
Les parfaits exhausteurs de goût
Avec des pâtes au poulet, l'origan (la plus italienne des épices), le curcuma ou le paprika sont d'excellents choix. Le safran quant à lui offre une touche de raffinement. Pour des pâtes à la crème, la noix de muscade est incontournable.
N'hésitez pas à goûter les pâtes en cours de cuisson pour vérifier : en croquant des « pasta al dente », vous apercevrez un petit point blanc au cœur de la pâte. Ce petit point indique une parfaite cuisson des pâtes, conservant un cœur ferme sous la dent.
Jamais de couvercle
- à feu vif et à gros bouillon pour qu'elles ne collent pas. Versez les pâtes dans l'eau bouillante et ravivez la flamme pour ramener rapidement l'eau à ébullition.
Pour cela, il suffit de mettre les pâtes à couvert dans un récipient et de les installer au-dessus d'un bain-marie ou de la vapeur. Le récipient du bain-marie est gardé au chaud au-dessus d'une flamme ou sur une plaque de la cuisinière.
Les pâtes cuites
La meilleure méthode de conservation est de les mettre dans une boite étanche. Vous y ajouterez un léger filet d'huile d'olive, avant de mélanger. Cela aura pour effet d'éviter que l'amidon ne colle les pâtes entre elles. Il sera possible de les conserver ainsi 1 à 2 jours au réfrigérateur.
Je compte 10 g de sel pour 1 l d'eau. Si l'on surveille sa consommation de sel, compter 7 g. L'eau non salée bout plus vite, mettre le sel après ébullition si l'on est pressé. Compter 15 g de sel fin par kilo et 8 gr de poivre.
l'eau chaude pénètre dans les pores [des pâtes] plus rapidement que l'eau froide, car elle a moins de viscosité et moins de tension superficielle. » De plus, « L'eau peut séparer les molécules d'amylose et d'amylopectine de l'amidon de la farine qui gonfle.
En quoi est-ce bénéfique ? L'amidon des pâtes froides et du riz froid est beaucoup moins énergétique que leurs équivalents chauds. Il ne provoque pas de pic de glucose dans le sang, donc n'augmente pas le risque de surpoids et de diabète de type 2.