Manger la viande de cet animal est interdit par le judaïsme et l'islam comme celle de quasiment tous les ongulés non-ruminants.
Judaïsme : le pur et l'impur
Par exemple, les mammifères ruminants purs doivent avoir le sabot fendu [2][2]Le texte énumère dix animaux purs : le bœuf, le mouton, la… ; dans le cas contraire, ils sont réputés impurs.
Cette interdiction a aussi été étendue à la volaille, de crainte qu'un païen ou un Juif ignorant, voyant un Juif instruit consommer de la volaille à la crème, ne vienne à penser qu'il consomme un mélange lacté/carné ; il est même interdit de tirer profit de ces mélanges, en les cuisinant pour un client non juif.
Selon les lois de la cacherout, et notamment le passage du Lévitique, chapitre 11, verset 9, qui indique les espèces aquatiques autorisées, seuls peuvent être consommés les poissons « pourvus de nageoires et d'écailles ». Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah.
Selon les religions, tout le monde ne mange pas la même viande. Les musulmans et les juifs, par exemple, n'ont pas le droit de manger de porc. Les hindous, pour qui la vache est sacrée, ne mangent pas de bœuf. Il y a aussi des végétariens qui choisissent de ne pas manger d'animaux, ni viande ni poisson.
Manger la viande de cet animal est interdit par le judaïsme et l'islam comme celle de quasiment tous les ongulés non-ruminants.
Chez les malgaches, il y a des fady collectifs régissant une lignée toute entière ou un endroit bien déterminé. C'est le cas de la consommation de tout aliment contenant de la viande de porc, de chèvre ou d'ail. Ceux qui ont osé les enfreindre ont rencontré des expériences malheureuses.
Au-delà du repas de funérailles, l'œuf occupe une place importante dans le judaïsme. La forme ronde évoque le cycle de vie, mais également de façon plus générale, les cycles de liberté et de servitude, de joie et de souffrance, qui sont intimement liés dans le judaïsme.
Les animaux prédateurs, tels que les lions et les tigres, chats, chiens, ours, et les oiseaux de proie, tels que les faucons et hiboux, sont interdits de consommation. Selon le chiisme, le prophète islamique a interdit de manger de l'anguille et des ânes.
La chair des animaux impurs et leurs dérivés (lait et œufs) : seuls les mammifères qui ruminent et qui ont le sabot fendu sont autorisés. Le lapin est interdit ainsi que le porc, il a bien le sabot fendu mais il ne rumine pas. Tous les autres mammifères sont également interdits.
La mention «Mévushal»
Pour permettre aux laïcs et aux juifs non pratiquants de servir le vin – seuls les religieux y sont autorisés – on procède à une pasteurisation du vin. Le vin est ainsi chauffé par flash pasteurisation (montée en température des cuves jusqu'à 90°) puis refroidi avant d'être mis en bouteille.
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
Malgré tout, le traité Ména'hot du Talmud explique que la mezouzah assure la protection divine sur la maison juive : tandis qu'un roi humain réside dans son palais, gardé à l'extérieur par ses serviteurs, le Roi de l'univers — au contraire — protège lui-même le lieu de résidence de ses fidèles.
Sikhisme. Le refus de consommation de viande halal est un des interdits que tous les sikhs doivent suivre.
A La Réunion, deux interdits alimentaires majeurs - et le plus souvent permanents - concernent les populations hindoues : celui de la viande du bœuf et celui de la viande de porc. Le premier fait référence à la pureté de la vache, le second à la saleté du cochon.
Dans la tradition islamique, les chats sont admirés pour leur propreté. Contrairement aux chiens, ils sont censés être rituellement propres et sont donc autorisés à entrer dans les maisons, et même dans les mosquées, y compris dans Masjid al-Haram.
Dieu lui en fut reconnaissant de sorte qu'il lui pardonna, et le fit entrer au paradis. » L'Islam a fixé des règles pour cet animal domestique. Il doit être bien traité et à l'abri du froid. Les musulmans sont encouragés à être bons envers TOUS les animaux et il leur est interdit de leur faire du mal.
Viande halal
Les ovins, bovins, caprins et camélidés, ainsi que le cheval, le lapin et certaines volailles sont halal à condition d'avoir été abattus selon le rituel de la dhakat (voir en introduction de cette page spéciale). En revanche, la viande de porc est prohibée, quelle que soit la façon dont l'animal a été tué.
L'autruche s'enfuit.
Il est d'abord important de préciser qu'au stade adulte, le volatile n'a pas véritablement de raison de se cacher car il connaît peu de prédateurs. S'il est pris en chasse par de grands carnivores (hyène, léopard, lion…), son meilleur atout reste la fuite.
Le deuil. Après l'enterrement, une tradition veut que les proches du défunt suivent un jeûne : à La Réunion, cela signifie ne pas manger de viande pendant quelque temps. Cette période varie d'une personne à une autre : elle est plus longue pour une personne très proche du défunt comme son conjoint ou ses enfants.
L'œuf est un symbole de vie car il englobe la vie à venir qui, par ailleurs, en éclot. Par sa forme ovale qui suggère l'infini, il représente la renaissance et la régénération du cycle de la vie.
Les protestants ne font pas appel à des intercesseurs comme Marie ou les saints dans leurs prières. Selon eux le croyant est seul responsable devant Dieu et ne doit pas passer par des intermédiaires pour dialoguer avec Lui. Ils croient que Jésus est le seul intermédiaire entre Dieu le Père et eux-mêmes.
La plupart des hindous ne mangent pas de bœuf et en Inde les vaches errent souvent librement dans les rues. Les hindous de certaines castes s'interdisent de consommer quelque chose qui soit obtenu au prix d'une souffrance animale : la viande, les œufs et le miel.
Ils consomment trois fois plus de volaille, plus de porc (+ 59 %) mais moins de bœuf (– 61 %). En revanche, la consommation d'autres protéines d'origine animale est plus réduite: les Réunionnais consomment ainsi moins de poissons, moins d'œufs et moins de produits laitiers (respectivement – 12 %, – 28 % et – 34 %).