Hindouisme. Article détaillé : Droit hindou. Dans l'hindouisme, le mot a les sens suivants : Ordre universel cosmique ; loi éternelle ; morale, devoir ; vertu ; droiture. L'hindouisme se désigne lui-même en tant que Sanātana-Dharma (सनातन धर्म), « loi éternelle ».
n'est pas une religion. Il est tout sauf une religion. Il s'agit de faire comprendre qu'il n'y est pas question de « Dieu » et, plus précisément, que le bouddhisme n'a rien à voir avec des religions de type monothéiste, avec ces religions « occidentales » que sont le judaïsme, le christianisme ou l'islam.
Le bouddhisme est, avec le jaïnisme, la seule religion traditionnelle non théiste. Le bouddhisme considère que tous les êtres sensibles deviendront inévitablement un jour un bouddha[1] à l'égal de tous les bouddhas passés, présents et futurs. Or un bouddha n'est pas (un) Dieu. Selon le bouddhisme, Dieu n'existe pas.
La divinité du Bouddha
Le Bouddha historique est perçu par l'école Jonangpa du Bouddhisme tibétain comme étant « absolu, omniprésent, connaissance suprême au-delà des limitations de la conscience ordinaire ».
Le Dharmachakra (धर्मचक्र (dharmacakra)), la « Roue du Dharma » ou « Roue de la Loi », est un symbole représentant la doctrine bouddhiste et la diffusion de l'enseignement du Bouddha sur le chemin de l'éveil, depuis le début de la période du bouddhisme indien.
Il est très facile de s'adonner à des activités du Dharma telles que réciter des mantras, dire des prières, faire des offrandes et des choses de ce genre avec la pensée des huit préoccupations mondaines.
Dharma signifie La Loi de l'univers : tous les phénomènes de l'univers sont de nature impermanente. Par ailleurs aucun de ces phénomènes n'a d'existence propre, séparée, autonome ; en effet tous les phénomènes sont causes et conditions de « l'existence » de chacun d'entre eux.
Le Vinaya Pitaka, en cinq volumes, contenant des règles de discipline pour le Sangha des moines et nonnes bouddhistes ; L'Abhidhamma Pitaka, en sept volumes, contenant une systématisation philosophique de l'enseignement du Bouddha.
Dieu le Père et Jésus.
Les trois formes institutionnalisées de la religion chinoise sont le confucianisme, le bouddhisme et le taoïsme.
Dans la tradition bouddhiste, pas de viande ! C'est une conséquence du principe de non-violence des bouddhistes, le tout premier principe moral. Il s'agit de ne pas attenter à la vie d'un autre être vivant sensible.
Dans la sphère culturelle indienne, des savants musulmans ont reconnu, dans la figure de Dhû l-kifl, le Bouddha Gautama. Celui-ci est ainsi intégré à la liste des prophètes de l'islam.
On y trouve des légumes racine, des herbes, plantes et champignons sauvages à profusion. Les moines bouddhistes ont depuis longtemps banni la viande, le poisson et tous les ingrédients issus des animaux. Ils considèrent qu'il ne faut pas tuer pour se nourrir.
Une pointe au sommet de la tête du Bouddha représente la conscience réalisée (lingam, ou phallus). Son crâne recouvert de coquilles d'escargots symbolise l'hermaphrodite : l'être spirituel non identifié au genre.
L'Église orthodoxe professe que Dieu se révèle par le témoignage donné par la personne de Jésus-Christ : « Je suis le chemin, la Vérité et la Vie » (Évangile de Jean, 14:6) et par l'inspiration du Saint-Esprit : « Quand deux ou trois se réunissent en mon nom, je suis au milieu d'eux » (Évangile de Matthieu 18:20).
Les premières communautés, qui ne se définissent pas encore comme chrétiennes, sont fondées par plusieurs disciples de Jésus, en particulier dans les villes de Rome, Éphèse, Antioche, Alexandrie mais aussi en Perse et en Éthiopie.
Dans un texte des apocryphes, les apôtres rapportent le récit que Jésus leur a fait de la vie et de la mort de son père Joseph.
Aujourd'hui, Sri Lanka, la Birmanie, la Thaïlande, le Laos, le Cambodge sont des pays entièrement bouddhistes, relevant du Petit Véhicule. Le Japon compte plus de 40 millions de bouddhistes, appartenant à diverses sectes.
Il ne concerne pas l'aspect institutionnel, social. Ce n'est donc pas une religion qui a une emprise directe sur la société. C'est une religion non-théiste mais qui n'est pas pour autant athée : les dieux sont tolérés, mais pas vénérés. Elle met en avant l'esprit pour présenter le monde, agir avec le monde.
Extinction de tous les désirs de ce monde, qui libère l'homme de sa condition de souffrance, de l'illusion (maya) et de l'ignorance (avidya). [Le nirvana est fondamental dans le bouddhisme, qui l'emploie pour décrire la bodhi, état d'extinction de tout désir, cause fondamentale de la naissance et de la renaissance.]
Un Dharma épanoui implique d'écouter son intuition pour trouver sa place au sein d'une société et pouvoir ainsi contribuer à l'harmonie globale du monde. La sensation d'un manque de sens dans sa vie signifie pour l'Ayurveda que l'individu est en déséquilibre.
Loi universelle de la nature qui s'exprime dans chaque être individuel (devoir moral) aussi bien que dans le cosmos par son mouvement cyclique et régulier. (C'est l'une des principales notions de l'hindouisme, du bouddhisme et du jaïnisme.)