Selon son secteur d'activité et la complexité des marchés, l'apporteur d'affaires gagne généralement une commission allant de 2 à 15%. S'il est sous mandat, il touchera sa commission une fois la vente effective, sans mandat, elle lui sera versée une fois la rencontre entre les 2 parties effectuée.
En contrepartie, l'entreprise rémunère l'apporteur d'affaires avec au choix : une commission indexée sur le montant du contrat signé ; le paiement d'une rémunération forfaitaire ; une commission assortie d'une rémunération forfaitaire.
La commission de l'apporteur d'affaires peut être fixe ou au pourcentage. Les deux se font, même si la deuxième option est la plus courante. Généralement, le pourcentage est de 10 à 15 % du chiffre d'affaires hors taxe généré par la première transaction.
Les apporteurs d'affaires sont des travailleurs indépendants rémunérés par une commission qui leur sera versée par l'entreprise donneuse d'ordre, si le démarchage permet d'aboutir à une transaction commerciale entre cette dernière et le client démarché.
Exercer en société : l'apporteur d'affaires peut exercer seul ou bien avec plusieurs personnes avec un patrimoine séparé. Généralement, les personnes souhaitant exercer en tant qu'apporteur en affaires choisissent de le faire en société et sont régulièrement les seuls associés (ce qui est le cas en SASU ou en EURL).
Sans encadrement spécifique quant à son activité, l'apporteur d'affaire doit toutefois déclarer son activité et s'enregistrer auprès du Registre du commerce et des sociétés (RCS). D'un point de vue juridique être apporteur d'affaire est similaire au fait de devenir consultant indépendant.
Montant sur lequel est calculé la commission
Par exemple: Le client a commandé pour 500€ TTC. Nous allons appliquer notre commission de 25% TTC sur ces 500€, donc nous facturons 125€ TTC (500 x 25%) de commission. Vous recevrez donc une facture à régler de prestation de services d'un montant de 104,17€ HT (125€ TTC).
Comment calculer le montant d'une commission ? La simplicité s'impose pour le calcul du montant des commissions. La solution la plus simple consiste à reverser un % établi du CA généré au commercial. Ce % de varie pas, il s'agit ici d'une commission à taux fixe.
La commission se verse à un apporteur d'affaires, à un vendeur ou encore à une entreprise. Quelle que soit la personne qui reçoit la commission, elle devra disposer de droits intellectuels soit dans le cadre d'un contrat d'affiliation, de licence de marque ou encore d'une franchise.
Un particulier ne peut pas percevoir de rémunération quelconque sans avoir été immatriculé. Si tout travail mérite salaire, les organismes sociaux appliquent le principe selon lequel toute rémunération mérite cotisation. Donc, aucune commission ne peut être versée à un particulier.
Ces commissions sont le plus souvent débitées lorsqu'une opération débitrice place votre compte courant en situation d'anomalie, soit parce que le découvert dépasse le montant prévu et autorisé, soit parce que votre compte est à découvert depuis trop longtemps.
Le pourcentage de la commission perçue par l'agent commercial est librement négocié par les parties, sans aucune contrainte légale. Ce taux de commission sur les affaires conclues peut être établie à 0,01 %, tout comme 30 %. Les deux parties négocient ensemble ce taux pour les affaires conclues futures.
Le taux de commission peut être de 5 % du chiffre d'affaires des ventes de tous les biens vendus. L'entreprise peut avoir différents taux de commissions pour différents types de produits. Par exemple, le taux peut être de 6 % sur un produit difficile à écouler et seulement 4 % sur un produit facile à vendre.
1- Le plus souvent, l'Agent Commercial est rémunéré à la commission. 2- Le taux de commission est défini d'un commun accord entre le Mandant et l'Agent lors de la rédaction du contrat (et ne peut être revu de manière unilatérale).
Imaginons qu'un commercial soit rémunéré de la manière suivante : Commission de 3 % sur les produits classiques et 5 % pour un nouveau produit pendant 6 mois. Ces taux de commission sont majorés de 2 points s'il s'agit d'un nouveau client. Sa rémunération est donc de 888+500+280+196 soit 1864 euros.
Le contrat d'apporteur d'affaires est le contrat par lequel un professionnel, appelé l'apporteur d'affaires, démarche une clientèle pour le compte d'une entreprise contre rémunération (une commission calculée le plus souvent sur le chiffre d'affaires).
Pour cette catégorie, le taux de TVA à appliquer sur les commissions est dorénavant le taux de droit commun soit 20%, leur opération d'entremise étant regardée comme une prestation de service. Les agents commerciaux au sens usuel du terme se classent dans cette catégorie.
La facturation demande quelques explications : l'Agent Commercial, comme tout entrepreneur, est dans l'obligation d'établir une facture dès lors qu'il s'agit d'un encaissement professionnel, quel qu'en soit le montant et quelle qu'en soit la nature (commissions, avances sur commissions, négoce…).
Pour débuter en tant qu'apporteur d'affaires auto-entrepreneur, la première étape consiste à déclarer son activité auprès de l'administration en précisant son identité, sa domiciliation professionnelle, son type d'activité, le choix du régime fiscal et social.
Le code APE pour l'activité d'apporteur est généralement 70.22Z - Conseil pour les affaires et autres conseils de gestion.
Les rémunérations varient grandement avec l'expérience. Si les technico-commerciaux arrivent sur le marché en moyenne à 35 000€ brut par an, il n'est pas rare de voir ensuite des responsables grands comptes avoisiner les 65 000€ et des directeurs commerciaux dépasser les 90 000€.
D'après Uptoo, c'est l'informatique qui recrutera le plus en 2022. Avec un salaire moyen de 57.000 euros brut par an, il s'agit du secteur le plus rémunérateur pour les commerciaux.
Si le commercial est salarié, relevant du statut des VRP et qu'il est mono carte, sa rémunération minimale par trimestre ne peut être inférieure à 520 fois le SMIC horaire, hors remboursement des frais professionnels. Si le commercial est indépendant (agent commercial), il n'existe aucune contrainte de rémunération.
Le principal intérêt de ce système de rémunération variable par rapport à la commission est que la prime sur objectif repose sur l'attribution d'une prime cible à l'atteinte de l'objectif et d'une prime maximum, qui est un montant plafonné, à objectifs dépassés (ces objectifs sont fixés en début de période de ...