Sans cet effet de serre, la température à la surface de la Terre serait de -18°C et la vie, si elle s' y avérait possible, serait fort différente. Le Soleil nous envoie un rayonnement composé d'un peu d'ultraviolets, et surtout de lumière visible et d'infrarouge proche.
Sans effet de serre naturel, la vie ne serait pas possible sur terre: au lieu d'une température de 15 °C en moyenne sur toute la surface du globe, il y régnerait un froid polaire de -18 °C.
Sans effet de serre, le développement de la vie serait plus difficile. En effet, si ce phénomène n'était pas présent, la température moyenne à la surface de la Terre serait d'environ -18 °C. Heureusement, ce phénomène est bel et bien présent, ce qui fait que la température moyenne sur Terre est d'environ +15 °C.
A une émission de 390 watts par m2 correspond une température de +15°C, ce qui fait dire que la température moyenne à la surface de la Terre est de +15°C. A une émission de 235 watts par m2 de la Terre vers l'espace, correspond une température moyenne de -19°C.
Sans lui, les températures sur Terre seraient trop basses. Il permet de piéger une partie de la chaleur reçue sous forme de rayonnements provenant du Soleil. Au lieu d'être renvoyée et perdue dans l'espace, cette chaleur est maintenue dans l'atmosphère.
II – Le rôle de l'atmosphère.
– de protéger la Terre des rayons UV issus du Soleil (couche d'ozone); – de protéger la Terre du bombardement des météorites; – de maintenir la température terrestre à une moyenne de 15°C; – de respirer.
L'atmosphère terrestre est essentielle au maintien de la vie sur la Terre : elle la protège des rayons nocifs du Soleil et elle réduit la variation de la température grâce à l'effet de serre.
Comment le Soleil chauffe-t-il la Terre ? C'est l'étoile centrale autour de laquelle tournent les 8 planètes de notre Système solaire. Il se situe à 150 millions de km de la Terre. Il éclaire et réchauffe la Terre.
Vous êtes-vous déjà demandé ce qui se passerait si la Terre perdait subitement son atmosphère ? Selon les scientifiques d'ailleurs, l'atmosphère terrestre se dissipe gentiment, peu à peu.
La Terre est une planète rocheuse du système solaire. Les conditions physico-chimiques qui y règnent permettent l'existence d'eau liquide et d'une atmosphère compatible avec la vie. Ces particularités sont liées à la taille de la Terre et à sa position dans le système solaire.
Elle participe à l'équilibre thermique de la terre par l'effet de serre. Elle apporte les éléments gazeux nécessaires à la vie. Enfin, elle participe aux échanges de matière et d'énergie entre les différents milieux terrestres (lithosphère, biosphère, océans, ruissellements de surface).
La hausse des émissions de gaz à effet de serre modifie cette composition, provoquant une augmentation de l'effet de serre. La chaleur est piégée à la surface de la Terre. Ce déséquilibre entraîne un réchauffement planétaire. Depuis le début du XXème siècle, la température de la planète a augmenté de 1,1°C.
Le dioxyde de carbone (CO2) est principalement issu de la combustion des énergies fossiles (pétrole, charbon) et de la biomasse. Comme l'eau, le CO2 participe au cycle de la photosynthèse des plantes. C'est donc un gaz à effet de serre naturel et indispensable, dans une certaine limite de concentration.
Les émissions provenant de sources fossiles ont augmenté depuis 1990, passant de 22 à 36 Gt CO2 par an (Gt = gigatonnes ou milliards de tonnes). De tous les gaz à effet de serre, le CO2 est le principal responsable de l'effet de serre (plus de 50 %).
Pourquoi fait-il froid dans l'espace ? (MétéoMédia). Dans l'espace, il n'y a pas d'air. Les échanges de chaleur se font uniquement par échange de rayonnement, et pas par rayonnement et convection et conduction comme sur Terre.
Bref, dans l'Univers il peut faire froid, très froid… Mais pas jusqu'au zéro absolu! Le zéro absolu (dit 0 K ou 0 Kelvin) vaut -273,15 °C. C'est la température la plus basse «permise» (en fait on ne peut que s'en approcher) par la physique, car en théorie cela signifie que les atomes ne bougent plus.
L'univers est baigné par le rayonnement diffus cosmologique, dont la température est de 2,7 kelvins. Dans un endroit loin de toute étoile et vide de matière, un objet aurait donc, à l'équilibre une température de 2,7 kelvins (environ -270 °C).
La formation de la Lune remonterait à il y a environ 4,51 milliards d'années, peu de temps après celle de la Terre. L'explication la plus largement acceptée est que la Lune s'est formée à partir des débris restants après un impact géant entre une proto-Terre et une protoplanète de la taille de Mars, appelée Théia.
"Notre organisme dépense beaucoup d'énergie et d'eau pour maintenir la température interne à 37°C", indique Rémy Slama. Car, explique l'épidémiologiste environnemental, les protéines de l'organisme se dénaturent et nos cellules ne survivent pas si la température interne avoisine 41°C.
Pour l'instant, si l'on suit le modèle établi par la physique des particules, la limite correspond à la température de Planck, qui est de 1,417*1032 de degrés Celsius, soit: 142.000.000.000.000.000.000.000.000.000.000 °C.
La mésosphère est la couche suivante de l'atmosphère (de 50 à 90 km), caractérisée par des températures qui diminuent à mesure que l'on monte jusqu'à -90 ° C en moyenne.
Le vent solaire est assez différent du vent terrestre car il se compose de particules polarisées qui sont éjectées de l'atmosphère du Soleil. Par contre, le vent planétaire est lui semblable au vent solaire et est composé de gaz.
Cependant, à partir de l'observation de la variation de la densité des gaz terrestres, on peut établir que l'épaisseur de l'atmosphère terrestre varie entre 350 et 800 km (selon l'activité solaire), l'épaisseur moyenne étant d'environ 600 km . Cette limite correspond à la frontière entre thermosphère et exosphère.