Ce n'est bien sûr pas le cas : à 8000 m, il peut faire -30°C, et de nombreux alpinistes ont eu des doigts gelés ou sont morts de froid.
En effet, à 11 000 mètres d'altitude la température extérieure est d'environ -60°C alors que dans le train d'atterrissage, elle varie entre -18 et -12°C d'après une étude américaine publiée en 2002.
Plus on s'élève en altitude, plus la température diminue, parce que la pression diminue. Outre la pression, le type de réchauffement de l'atmosphère joue un rôle primordial. L'atmosphère est principalement réchauffée par la surface de la Terre.
En altitude la température baisse d'environ 6°C tous les 1000 m. Ainsi à 4000 m, il faut s'attendre à une température voisine de zéro même en plein été.
Pourtant c'est un niveau qui a, lui aussi, toute son importance pour la compréhension des phénomènes météorologiques. Au-dessus de nos régions, on peut dire que la moyenne des températures à cet altitude est d'environ -13/-14°C en hiver et légèrement inférieure à 0°C en été.
Variations de la température avec l'altitude
- Au début de la stratosphère (sous nos latitudes : de 11000 m et jusqu'à 20000 m), la température de l'air se stabilise à -56,5°C. - Au-dessus de 20000 m, la température augmente à nouveau jusqu'à 50000 m.
A 400 km d'altitude de la terre, la température peut varier de +120°C à -150°C en quelques minutes.
Tout est question de pression atmosphérique. Plus on s'élève, plus la pression de l'air diminue. Si la pression est plus faible, alors l'air se dilate pour conserver le même volume, ce qui va lui coûter de la chaleur, donc il se refroidit. L'air perd en moyenne 1 degré tous les 100 mètres.
L'altitude entraîne une fatigue importante lors d'efforts en raison du manque d'oxygène. L'adaptation au-delà de 2 000 mètres, ou moins selon les organismes de chacun, peut demander quelques jours.
Attention en très haute altitude
La diminution de la quantité d'oxygène en altitude peut néanmoins entraîner des conséquences moins positives. «Pour compenser ce phénomène, notre respiration s'accélère, explique ainsi Grégoire Millet. Cela entraîne une hyperventilation qui réduit la teneur en CO2 du sang.
Pour savoir si on est intolérant à l'altitude, un bon indice est de passer une nuit à 3.000 mètres. Si tout se passe bien, pas d'inquiétude à avoir. L'autre moyen est de réaliser un test en hypoxie. Une machine reproduit les effets de l'altitude.
Dans notre parc aérien, la température en soute varie. Dans un Boeing 767, il fait toujours plus de 7 °C dans la soute à bagages, mais la soute à vrac (où sont logés les animaux) peut être chauffée à plus de 18 °C. Des casiers à température contrôlée sont aussi prévus pour l'envoi de marchandises thermosensibles.
La soute à bagages d'un Boeing 767 est maintenue à une température constante de 7°C, tandis que le compartiment de vrac (où sont transportés les animaux) peut atteindre des températures de 18°C.
Les conditions climatiques sur l'Everest sont extrêmes. En janvier, mois le plus froid, la température au sommet est en moyenne de −36 °C et le ressenti peut être de −60 °C . En juillet, mois le plus chaud, la température moyenne est de −19 °C et il gèle en permanence. De juin à septembre, l'Everest subit la mousson.
L'exosphère s'étend jusqu'à 10 000 km d'altitude, là où s'arrête l'atmosphère et où commence l'espace. C'est dans cette zone que gravitent les satellites artificiels.
Cependant, à partir de l'observation de la variation de la densité des gaz terrestres, on peut établir que l'épaisseur de l'atmosphère terrestre varie entre 350 et 800 km (selon l'activité solaire), l'épaisseur moyenne étant d'environ 600 km . Cette limite correspond à la frontière entre thermosphère et exosphère.
La température augmente. À quelque 50 kilomètres d'altitude, la température retrouve ainsi les 0 °C. Dans la mésosphère -- jusqu'à 80 kilomètres d'altitude -- comme dans la troposphère, en revanche, la température descend avec l'altitude et peu atteindre quelque -75 °C.
La donne change en montagne où, même en été, il est impératif de descendre la température de confort entre 5°C et -5°C en fonction de l'altitude. En hiver, -15°C et -25°C/-35°C sont des minimums respectivement pour la moyenne et haute montagne.
Dans l'Univers la température atteint -272°C
La température la plus basse possible théoriquement est le zéro absolu à -273,15 °C. À cette température, les atomes ne bougent plus ! Même dans l'espace, loin de toute étoile, on ne peut pas descendre aussi bas.
Salut, Calcul grossier : la température moyenne annuelle en france est d'à peu près 13°C, on va supposer à une altitude de 200m. En prenant un gradient de température de -6,5°C/1000m, ça donne une moyenne de 0°C à 2200m.
Températures minimales de 2 à 6 °C en plaine, 1 °C à 1 000 m. Températures maximales : de 12 à 15 °C en plaine, 10 °C à 1 000 m, 6 °C à 2000 m.
Les amplitudes de température sont très marquées entre les saisons : les hivers y sont évidemment froids (aux alentours de 0°C en plaine et cela peut s'intensifier avec l'altitude) et les étés peuvent être très chauds (jusqu'à plus de 30°C en plaine) mais le climat sec du sud de l'arc alpin rend les températures plus ...