Acides gras essentiels oméga-3 L'organisme féminin dépend d'un apport suffisant de graisses pour produire des hormones importantes telles que l'œstrogène, la progestérone, la vitamine D ou le cortisol. Les acides gras oméga-3 font partie des acides gras polyinsaturés et essentiels.
Comme certaines plantes, des huiles essentielles développent une action hormonale. L'huile essentielle de sauge officinale, celle cumin ou de carvi ont une activité œstrogénique. Les molécules d'huile de sarriette, de mélisse et de serpolet, par exemple, agissent comme l'hormone de la progestérone.
Ainsi, les fruits, les légumes, les céréales, les noix, les graines (ex. graines de lin,..) et les légumineuses en contiennent en quantité variable. La source la plus concentrée de phytoestrogènes est le soya. Un niveau élevé d'oestrogènes dans le sang augmente le risque de cancer du sein.
Toutefois, le principal aliment pour contrer une faible production d'œstrogène est les graines de soja, qui sont extrêmement riches en phyto-œstrogènes. Envisagez de compléter vos produits laitiers avec du lait de soja et incorporez plus de tofu dans vos repas.
De nombreux compléments alimentaires destinés aux femmes ménopausées contiennent des phyto-estrogènes issus du soja, de la sauge, de la luzerne, du trèfle ou du houblon. Ces composés naturels sont recherchés car leur action dans l'organisme ressemble à celle des hormones féminines.
Ils sont produits en premier lieu par le développement des follicules des ovaires et par le placenta. Certains œstrogènes sont également produits en petites quantités par d'autres tissus tels le foie, la surrénale, les seins et le tissu adipeux.
Une dépression, une irritabilité, une angoisse, une nervosité, des troubles du sommeil (allant jusqu'à l'insomnie), des difficultés de concentration, des céphalées et une fatigue peuvent également survenir. De nombreuses femmes ressentent ces symptômes pendant la périménopause.
S'offrir des massages régulièrement. En plus de l'effet anti-stress, un massage va favoriser les échanges entre les tissus et drainer les toxines qui "encrassent” l'organisme. Ils sont très intéressants s'il y a un excès d'œstrogènes, comme ça peut arriver avec certaines pilules.
Pendant de nombreuses années, on a prescrit aux femmes un traitement hormonal substitutif ( THS ) composé d'oestrogène avec ou sans progestatif, pour alléger certains des symptômes de la ménopause.
Œstrogène végétal: le soja, les graines de lin et le trèfle rouge contiennent des substances analogues aux œstrogènes, qui atténuent les bouffées de chaleur. Le millepertuis: des études établissent l'effet antidépresseur du millepertuis, surtout sous forme d'extrait concentré.
Les œstrogènes sont sécrétés surtout par l'ovaire (isolément dans la première moitié de chaque cycle menstruel, en association avec la progestérone dans la seconde moitié) et par le placenta au cours de la grossesse. Les glandes surrénales et les testicules en produisent de faibles quantités.
Une des raisons les plus courantes de la baisse de cette hormone est la ménopause, où une forme d'œstrogène appelée estradiol diminue. Cette hormone aide à réguler le métabolisme. "Après la ménopause, les taux d'œstrogènes diminuent de manière importante puisque les ovaires cessent d'en produire.
Toutefois, le rapport entre les bénéfices et les risques de ce traitement est controversé, en particulier parce qu'il augmente le risque de thrombose veineuse – un risque qui existe également avec l'administration par voie orale d'œstrogène (éthinylestradiol) utilisé comme contraceptif.
L'estradiol est l'estrogène le plus utilisé en France actuellement. Il est le plus souvent prescrit en association avec la progestérone ou un de ses dérivés (voir ci-dessous). L'estriol (PHYSIOGINE) est un estrogène également prescrit dans le traitement de la ménopause. Ses effets à long terme ne sont pas connus.
La progestérone est également responsable de l'accumulation de la graisse au niveau de la poitrine. Les crèmes à la progestérone ont aujourd'hui le vent en poupe et sont prisées par les femmes qui souhaitent agrandir leur poitrine.
L'exercice physique régulier, notamment les exercices hormonaux de 18 minutes, peut en effet stimuler la production d'œstrogènes, ce qui peut avoir un impact sur la composition corporelle, y compris la perte de poids ou l'affinement de la silhouette.
Quel complément alimentaire pour réguler les hormones ? Les vitamines B6 et B9 permettent la régulation hormonale. La vitamine B6 agit en réduisant l'oestrogène dans le sang et en augmentant la progestérone. Cette double action rééquilibre l'organisme ainsi que l'humeur de celles qui en consomment.
La vitamine B6 est nécessaire à la formation des globules rouges, qui transportent l'oxygène dans tout le corps et aide également à maintenir un niveau adéquat d'hémoglobine, la protéine qui transporte l'oxygène dans les globules rouges.
Les crucifères (brocolis, chou, chou-fleur) : les crucifères vous permettent de stimuler la sécrétion de testostérone tout en réduisant les œstrogènes. Les brocolis sont composés d'indoles et le chou d'indole-3-carbinol. Les deux font office d'excellents phytonutriments pour booster la testostérone.
Comment la stimuler ? – Pratiquer une activité physique régulière : les activités d'endurance, comme la course à pied, sont celles qui libèrent le plus d'endorphines. Bon à savoir et à consommer sans modération ! Les câlins sont une arme redoutable contre le stress et la déprime.
Comment doit-on employer ce médicament? L'application du gel est habituellement cyclique, c'est-à-dire qu'elle se fait soit du 1er jour au 25e jour de chaque mois ou du 1er jour au 21e jour d'un cycle de 28 jours. La dose initiale recommandée est 2,5 g par jour (2 pressions sur le flacon doseur).
Aliments riches en zinc : dans ce groupe, on peut trouver des graines, des noix, des légumineuses ou des champignons. Vitamine B : aliments comme les bananes, l'avocat, le maïs ou les flocons d'avoine. Oméga 3 : poissons gras, crustacés, huile d'olive, avocat, entre autres.