L'ordre de grandeur de la vitesse de décollage est de : 20 à 50 km/h pour les planeurs ultra-légers motorisés (ULM). 80 à 120 km/h pour les avions monomoteurs de loisir ou les bimoteurs à hélices d'affaire. 240 à 280 km/h pour les avions de ligne selon leur taille (A320, A380).
L'avion s'élance sur la piste pour atteindre les 200 à 250 km/h. C'est la vitesse de décollage dite V1. Au-delà de cette vitesse, un pilote est obligé de décoller quoi qu'il arrive car il ne serait plus possible d'arrêter l'avion dans les limites de sécurité prévues.
Qu'est-ce qui peut empêcher un avion de décoller ? Les vents de travers (vents perpendiculaires à l'avion) et les vents arrière rendent le vol plus difficile, et les avions ont des limites supérieures pour ces deux types de vents, en fonction des conditions de l'avion, de l'aéroport et de la piste.
Boosté par ce courant surpuissant, l'avion de ligne a atteint la vitesse vertigineuse de 1289 km/h, contre 900 km/h en temps normal lorsqu'il atteint son altitude de croisière.
La queue est attirée vers le bas, le nez se lève. L'angle d'attaque des ailes a une amplitude de plus en plus grande, créant une portance de plus en plus importante. Dès que la force de portance est supérieure au poids de l'avion, l'appareil décolle.
Statistiquement, vos chances d'avoir un accident à chaque fois que vous prenez l'avion, sont de 1 sur 12 millions (un accident pour 12 millions de vols). Soit 0,00001% de risque que ça vous arrive quand vous prenez l'avion. De plus on parle là de tout type d'accidents et pas uniquement des crashs !
Tout d'abord, cela permet à vos yeux de s'adapter à la luminosité extérieure. Si vous volez de jour, vous ne vous retrouverez pas à sortir en plein soleil d'un appareil plongé dans le noir en clignant des yeux ; si c'est un vol de nuit, vous verrez mieux !
Grâce à ce type de propulsion atmosphérique, un superstatoréacteur, l'aéronautique s'est ouvert la porte des 11.000 km/h (Mach 10), ce qui était jusqu'alors réservé aux moteurs-fusées.
En avion, l'atmosphère qui entoure la Terre et dans laquelle l'avion vole, se déplace en même temps que la Terre, donc l'avion n'est absolument pas influencé par la vitesse de rotation de la Terre. Vous suivez toujours ?
Le premier avait dû être détruit en vol en juin 2001. Le second a battu le record mondial de vitesse en mars. Pour résister à Mach 10, la NASA a procédé à certaines modifications pour permettre au dernier de la flotte de résister aux températures beaucoup plus élevées provenant du frottement de l'air.
Selon les chiffres de l'Aviation Safety Network, l'atterrissage est la phase la plus périlleuse pour un avion. Entre 1999 et 2008, 36% des crashs se sont produits à l'atterrissage. Le décollage arrive deuxième avec 20% des incidents.
Quand le vent est aligné avec la piste, il n'y a aucun problème, c'est le vent de travers qui va imposer des limitations. Ce qu'on appelle le vent de travers est la composante du vent qui vient vraiment perpendiculairement à la piste.
Le vol par temps orageux génère souvent des turbulences anxiogènes à bord des avions. C'est surtout en phase de décollage et d'atterrissage que les nuages peuvent créer des turbulences mais, en altitude de croisière, un avion de ligne vole la plupart du temps au-dessus de la zone orageuse.
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Normalement, les avions commerciaux volent à une altitude qui oscille entre 17.000 et 40.000 pieds, ce qui correspond à 5.100 et 12.200 mètres au-dessus du niveau de la mer. Les jets privés peuvent, eux, aller encore plus haut, sans toutefois dépasser le plafond symbolique des 51.000 pieds, soit 15.500 mètres.
A quelle vitesse vole un avion ? Un avion de ligne vole entre 810 et 920 km/h. Rapporté à la vitesse du son, cela correspond à mach 0.75 et mach 0.85.
Les faits: la Terre est attirée par le Soleil; elle ne tombe pas dessus, mais tourne autour. C'est la même chose qu'un satellite artificiel qui tourne autour de la Terre: il est attiré par elle, mais ne tombe pas parce qu'il tourne.
Le champ magnétique qui fait office de bouclier en déviant les particules du vent solaire est lui aussi dépendant de la rotation de la Terre. Si celle-ci s'arrêtait de tourner, ce champ magnétique s'évanouirait et nous nous retrouverions exposés à des radiations mortelles.
C'est la pesanteur du soleil. En effet, le soleil attire la Terre, mais la Terre – en tournant – résiste à cette force, comme la balle résiste à la corde. Cette résistance contrarie l'attraction du soleil, et la terre continue sa course selon un itinéraire régulier : une orbite.
L'avion de chasse F-22 Raptor de l'USAF est largement considéré comme le plus puissant des avions de chasse et n'est pas vendu à d'autres pays.
Des accidents rares
Le fait que l'appareil soit un Boeing est un coup dur pour le constructeur américain, empêtré depuis des années dans des problèmes de sécurité sur ces avions. Pourtant, le B777 fait statistiquement partie des plus sûrs.
Le SR-71 Blackbird est le détenteur actuel du record.
Fort heureusement, l'avion est passé en pilotage automatique et n'a pas connu d'incident majeur. Une mésaventure qui renforce les craintes sur l'épuisement des pilotes. Y a-t-il des pilotes dans l'avion ? Oui, mais ils dorment.
Où dorment les pilotes ? Dans la zone de repos de l'équipage, bien sûr. Celui-ci est situé dans le lobe supérieur à l'avant de l'avion.
La raison principale qui motive le fait d'abaisser les éclairages des avions lors des décollages, des atterrissages ainsi que la nuit est la suivante : habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.