1 Amarre principale : Amarrée sous la bouée, sur le haut de l'émerillon terminant la chaine et raccordant la bouée à l'aide d'une
Calculer les dimensions des 4 amarres dont vous avez besoin est simple : 2 amarres de 1,5 fois la longueur de votre bateau et 2 autres amarres de la longueur exacte de votre bateau.
Pour bien s'amarrer sur une bouée, il faut 2 lignes indépendantes. Si l'une cède, l'autre peut rester en place. Dans le cas d'une bouée à tige, il faut impérativement s'amarrer directement sur la chaine. Un émerillon peut aider à limiter le vrillage et donc permet de faire durer plus longtemps les cordages.
La pendille n'est pas une amarre; c'est un câblot plombé (pour tomber au fond), peu solide, qui sert de rappel de relevage à l'amarre principale frappée sur la chaîne mère ou la chaîne fille. Pour ce faire on rentre le bateau en marche arrière et l'on frappe long provisoirement l'amarre arrière au vent.
Nous réaliserons un corps mort en béton et on considérera un poids équivalent à 1/3 du poids du bateau. Concernant la forme à adopter, partez sur une base parallélépipède de hauteur inférieure à la base, afin d'assurer une bonne stabilité et éviter un retournement du corps mort.
Elle consiste à arriver sur la bouée en marche arrière. Votre bateau est donc toujours bout au vent et vous allez présenter le tableau arrière à la bouée. Dés que vous arrivez sur celle-ci, vous présentez un bout (installée de la même manière que ci-dessus) que vous passerez dans l'anneau de la bouée.
On frappe (attache) 2 amarres, les pointes arrières, sur les 2 taquets arrières (en rouge sur le schéma). On ramène ces 2 amarres à l'arrière, en les passants par l'extérieur pour que 2 équipiers descendent sur le ponton par l'arrière pour aller frapper ces pointes arrières sur 2 taquets sur le ponton.
Faites descendre votre ancre lentement sans la jeter par-dessus bord pour éviter d'emmêler la ligne. Commencez toujours par mouiller l'ancre à l'avant et ne jeter l'ancre par l'arrière que si vous avez vraiment besoin d'embosser. Vous risquez en effet de faire chavirer le bateau à mouiller une ancre par l'arrière.
Sur un voilier, installer une boule de mouillage se fait en la hissant devant le mât (souvent suspendue par une drisse sous l'étai). Mais sur un bateau à moteur, c'est beaucoup plus compliqué. Il faudra alors prévoir en fonction du bateau, une solution pour que la boule soit établie sur l'avant et visible.
Le polyamide : une élasticité qui le rend idéal pour l'amarrage. Le polyamide est principalement utilisé pour la confection d'amarres, de lignes de mouillage ou encore de garcettes.
Le ressort mouillage en acier ou en inox d'amarrage est à choisir en fonction du poids de votre bateau, il est conseillé de les fixer sur les cordages à la proue et à la poupe du bateau.
Pour la longueur, c'est assez simple : il suffit de prendre deux amarres de la taille de votre bateau multiplié par 1,5 et deux amarres de la longueur de votre bateau. Pour un bateau de 14 m, il vous faudra donc deux amarres de 21 m de long et deux amarres de 14 m.
Cette expression est née au cours du XVIIIe siècle pour désigner le fait de détacher un bateau de son point d'ancrage. Par extension, elle signifie le fait de se lancer.
Les amarres doivent être préparées sur chaque bord pour pouvoir s'amarrer d'un côté comme de l'autre. Elles passent bien en dehors des filières. Il faut ensuite sortir les parebattages et les régler pour qu'ils soient à la bonne hauteur, au ras de l'eau côté ponton.
Au mouillage, il est indispensable de mouiller une longueur de chaîne comprise entre 3 à 5 fois la hauteur d'eau maximale suivant les conditions météo. Le bon compromis est d'avoir dans sa baille à mouillage entre 25 et 30 m de chaîne et au moins autant de câblot du bon diamètre.
forain lorsqu'il est effectué avec le matériel qui se trouve à bord (dans la mesure où l'ancre est remontée à chaque mouvement du navire) ; fixe lorsque les équipements (système d'ancrage fixé sur le domaine public maritime, chaîne et bouée munie d'un anneau) restent en poste même en l'absence de navire.
L'ancre représente aussi l'aventure, le voyage. Le fait d'être fixé, stable, « ancré », mais aussi de « jeter l'ancre » pour partir vers l'inconnu, pour un nouveau départ. Enfin, elle est le symbole même de la marine. On la retrouve d'ailleurs sur les galons des officiers de cette branche.
L'idéal est de faire tourner le moteur au ralenti surtout si vous pénétrez dans un port de plaisance déjà plein. Lorsque vous arrivez à environ 30m de votre place de port, vous pouvez mettre votre moteur au point mort et avancer lentement grâce à l'élan qu'il vous reste. Mettez les pare-battage et les amarres en place.
Pour reculer sans encombre, il vous faudra donc connaître le pas, et le mettre à profit, afin de faciliter votre marche arrière. Le pas de l'hélice est à droite lorsque celle-ci tourne dans le sens des aiguilles d'une montre pour faire avancer le bateau, et à gauche lorsqu'elle tourne dans le sens anti-horaire.
Les deux éléments sont entraînés dans une série d'engrenages par la puissance du moteur électrique qui assure la démultiplication de l'effort. Afin de faciliter le passage de la chaîne au câblot, les barbotins sont conçus mixtes (accueillent la chaîne et bloquent le cordage dans la gorge).
Un orin est un cordage fixé au diamant de l'ancre et maintenu en surface par une bouée. Si l'ancre est bloquée au fond, on vient la remonter en utilisant l'orin qui a pour fonction de faire basculer l'ancre et de la libérer. En plus l'orin, situé à la verticale de l'ancre permet de la signaler aux autres bateaux.
Que ce soit en mouillage forain ou l'arrière au quai et l'avant sur ancre, la main de fer servira à faire la jonction entre la chaîne et une amarre textile venant au bateau de préférence par un chaumard pour éviter le ragage du textile et des effort latéraux sur le davier.
Locution verbale. (Marine) Arrêter un navire, en descendant l'ancre au fond. (Figuré) Prendre position afin d'augmenter son influence.
L'amarrage sur bouée
Ces zones de mouillage peuvent être en face d'une plage, au bord d'une île par exemple. On appelle mouillage un corps mort, bouée ou coffre, qui permet au navire de s'amarrer et donc de s'immobiliser sur l'eau. L'amarrage aux bouées de mouillage peut être réglementé dans certaines zones.