Quatre périodes glaciaires se sont succédé durant ces 600.000 dernières années. Séparées par des périodes interglaciaires, elles portent les noms de Günz, Mindel, Riss et Würm. Celle-ci s'est achevée voici 11.600 ans.
Une mini-période glaciaire pourrait toucher la Terre à partir de 2030.
Sa fin correspond plus ou moins à celle du Paléolithique. La dernière période glaciaire est une période de refroidissement global ou glaciation qui caractérise la fin du Pléistocène. Elle commence il y a environ 110 000 ans et se termine il y a environ 10 000 ans quand commence l'Holocène.
Les archives géologiques semblent montrer que les périodes glaciaires commencent lorsque les continents sont dans des positions qui bloquent ou réduisent le flux d'eau chaude de l'équateur vers les pôles et permettent ainsi la formation de calottes glaciaires.
Le réchauffement climatique est en train de perturber la circulation des courants marins, et notamment le Gulf Stream, ce qui nous amènerait, dans une probabilité de 50 % vers une ère de refroidissement brutal impactant l'hémisphère nord d'ici quelques décennies.
Atlantico.fr : Une étude américaine indique que la température moyenne sur terre durant le dernier âge glaciaire (il y an environ 20 000 ans) était comprise entre 5,7 et 6,5°C.
L'évolution des températures moyennes annuelles en France métropolitaine montre un réchauffement depuis 1900. Ce réchauffement a connu un rythme variable, avec une augmentation particulièrement marquée depuis les années 1980.
Selon les analyses à ultra-haute résolution de carottes de glace ou de sédiment, la fin de cette période glaciaire a été un basculement climatique brutal (en quelques dizaines d'années seulement), peut-être en lien avec des modifications rapides de la circulation atmosphérique tropicale puis polaire et des courants ...
Il y a 450 000 ans, une immense calotte glaciaire recouvrait le nord de l'Europe.
"Comme les autres planètes rocheuses Mercure et Mars, [la Terre] se refroidit et devient inactive beaucoup plus rapidement que prévu", déclare Motohiko Murakami, chercheur basé à Zurich et chargé de l'étude.
Le réchauffement atteindra 1,5°C dès 2030-2035
Mais "des réductions profondes, rapides et prolongées des émissions (...) conduiraient à un ralentissement visible du réchauffement mondial en environ deux décennies", écrit aussi le groupe de scientifiques pour le compte de l'ONU.
La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes. La planète sera confrontée à des défis démographiques, économiques et climatiques de plus en plus importants. Ils doivent être pris en compte sans tarder pour éviter que l'inertie ne rende la situation irréversible.
Une période interglaciaire est une période séparant deux glaciations et durant laquelle les températures moyennes de la planète sont relativement élevées. L'Holocène, époque géologique actuelle, est une période interglaciaire. Il dure depuis la fin de la dernière période glaciaire, il y a environ 11 700 ans.
En effet, une vague de chaleur aurait fait fondre des glaciers, ce qui aurait provoquée un apport d'eau douce important dans l'océan Atlantique. Cela aurait déréglé la circulation générale des océans et conduit à une glaciation.
Tout d'abord, la couverture des glaces. Moins il y a de glaces, moins la surface de la Terre est réfléchissante et plus elle absorbe d'énergie solaire, ce qui influe sur l'écart de température entre période glaciaire et interglaciaire.
Les populations médiévales n'ont pas vécu mille ans sous un climat humide et glacial. Elles ont même connu une longue période de réchauffement climatique ! En fait le climat a évolué au cours du Moyen Âge, tantôt favorisant les cultures tantôt entraînant mauvaises récoltes et famines.
Pour que l'on comprenne bien le contexte de la découverte, il faut imaginer que voici 20 000 ans, la planète vivait un climat glaciaire avec des températures moyennes d'environ 10°C plus basses que les températures actuelles.
Pour reconstituer le climat du passé, il faut étudier les paramètres climatiques comme les températures, les mouvements des fluides… à partir de plusieurs indices, notamment les fossiles, afin de savoir comment la chaleur était transportée.
En 2050, trois valeurs anticipées sont proposées par météo France : la valeur basse établie à 24.4 degrés, la valeur médiane de 25.1 degrés, et une valeur haute, affichée à 26 degrés.
29 °C à Mont-de-Marsan et Périgueux, 28 °C à Cognac et Dax, 27 °C à Agen, Royan, Biarritz et Pau. Le record de température à cette date est battu notamment à la Rochelle (28 °C , presque 5 °C de plus que le précédent record).
Comme les vitres d'une serre, certains gaz présents naturellement dans l'atmosphère, notamment la vapeur d'eau et le gaz carbonique, entravent l'évacuation de chaleur d'origine solaire et permettent d'obtenir cette température clémente de 15°C. C'est le phénomène de l'effet de serre naturel.
La température moyenne de la France, sur les douze mois de l'année, était de 11,4 °C en 1901-1910 ; elle est passée progressivement à 12 °C en 1941-1950 – les années de guerre et d'après-guerre. À signaler quand même, malgré ce qui vient d'être dit, les trois grands hivers de 1940, 1941 et 1942.