➢ FAIRE ALERTER OU ALERTER, ➢ SECOURIR. Selon la nature de l'accident, le nombre de victimes ou l'état de la victime et le nombre de personnes présentes sur les lieux, l'ordre et le contenu de ces actions peuvent changer.
Couvrez le blessé : un blessé en état de choc a toujours froid ; Demandez aux badauds de vous aider... ou de s'éloigner. Si le blessé saigne abondamment : essayez d'arrêter l'hémorragie en comprimant la plaie avec un gros pansement (serviette par exemple)
Poser des questions et donner des ordres simples (ouvrir les yeux, lui demander de serrer votre main, …) est le premier geste de premiers secours permettant d'évaluer la conscience de la victime. Si la victime ne répond pas à vos demandes, elle a très certainement perdu connaissance et se trouve en état d'inconscience.
Si vous êtes le premier arrivé, la première chose à faire en cas d'accident de la route : vous arrêter. Ne pilez pas. Cela risquerait de créer un suraccident, si vous êtes suivi. Arrêtez-vous sur le bas-côté de la route à 150 mètres de l'accident pour faciliter l'accès aux secours et allumez les feux de détresse.
Ayez confiance en vos capacités et croyez en vous. Mettez un frein aux pensées négatives en parlant, par exemple, à la victime. Vous évacuez ainsi vos pensées négatives. Structurez vos pensées et élaborez un plan par étapes des secours à prodiguer.
Enlevez les souillures éventuelles avec une pincette propre. Ne désinfectez la plaie qu'après l'avoir nettoyée à l'eau et au savon et rincée soigneusement. Dans la mesure du possible, n'appliquez ni sparadrap ni pansement et laissez la plaie à l'air libre.
Allongez la victime en position horizontale. Demandez à une personne présente d'alerter les secours ou faites-le vous-même si vous êtes seul. Si la plaie continue de saigner, comprimez-la encore plus fermement. Poursuivez la compression sur la plaie jusqu'à l'arrivée des secours.
Placez un de vos poings fermés entre le nombril et l'extrémité inférieure du sternum. Maintenez votre poing en place à l'aide de votre autre main. Enfoncez fortement votre poing vers vous et vers le haut. Recommencez ce geste 5 fois au maximum.
Les bons gestes :
- Mettre la victime en position latérale de sécurité (sur le côté) si elle est inconsciente. - Si la victime saigne abondamment, comprimer la plaie. - Couvrir la victime, lui parler, la réconforter. - Demander aux autres passants d'aider.
Quels comportement doit-on adopter en présence d'une victime en arrêt cardiaque ? ALERTER : alerter immédiatement les secours. MASSER:pratiquer une réanimation cardio-pulmonaire DEFIBRILLER : utiliser un défibrillateur automatique si possible.
Ce qu'il est possible de faire pour secourir les blessés : il faut s'assurer que la personne accidentée puisse respirer et que les voies respiratoires soient dégagées. il faut également rassurer la victime en lui parlant. Il faut également éviter de parler de ses blessures, pour ne pas la faire paniquer.
Le plus simple et efficace, c'est de laver abondamment la plaie à l'eau et au savon. Il faut surtout enlever toutes les saletés. Pour une plaie simple, ce nettoyage est suffisant. Quand la plaie est plus compliquée ou plus sale, on peut utiliser un antiseptique.
A chaque blessure correspond un masque : Ainsi, le rejet adopte le masque du fuyant : il peut fuir les relations, il peut fuir dans l'imaginaire, les conduites à risques. Il peut même se fuir lui-même.
La sensibilisation aux Gestes Qui Sauvent (GQS) constitue pour les citoyens la première marche vers un parcours de citoyen-sauveteur qui s'étoffera tout au long de leurs vies. L'objectif présidentiel affirmé de disposer à l'horizon 2022 de 80% de citoyens formés, donne le cap pour ce type de formation.
Contacter les numéros d'urgence (le 15, le 18 ou le 112) pour qu'une équipe médicale vienne le plus rapidement possible. En attendant l'arrivée des secours, parler à la victime pour la maintenir en état de conscience.
Même si les victimes réclament de l'eau, il est interdit de leur en donner, car cela peut provoquer des étouffements et si une opération est nécessaire, elles devront être à jeun.
S'il est vrai que bouger un blessé peut endommager sa moelle épinière et entraîner une paralysie définitive ou même son décès, il existe des situations ou, si l'on agit pas très rapidement avant l'arrivée des secours, le décès de la victime sera inévitable.