Les causes de la dépression
Les facteurs de contribution au risque suicidaire chez les adolescents incluent : la dépression et les autres maladies mentales, l'abus d'alcool et de drogues, les conflits interpersonnels et familiaux.
La dépression, c'est plus qu'un sentiment de tristesse ou de vide. C'est un trouble biologique de l'humeur qui peut survenir à la suite d'événements de la vie perturbateurs, d'une maladie ou d'autres facteurs ou changements psychologiques dans la vie ou l'environnement d'une personne.
Voici les causes principales de la dépression chez un enfant : Un des deux parents biologiques a ou a eu des troubles de santé mentale (particulièrement la dépression et la maladie bipolaire) Un déséquilibre biologique dans le fonctionnement de son cerveau.
Elle peut aller de quelques semaines à plusieurs mois, voire plusieurs années. La plupart des épisodes dépressifs durent moins de six mois. Une guérison totale (disparition de tous les symptômes) et durable est possible.
De nombreuses solutions existent pour se sentir mieux. Adopter un mode de vie sain : pratiquer un sport, une activité de relaxation (méditation, yoga…), respecter ses cycles de sommeil et manger de façon équilibrée peuvent être un premier rempart contre la dépression.
Il se caractérise par une profonde tristesse, un désespoir, un manque de désir de vivre, un repli sur soi, une perte d'intérêts et de motivation pour les activités de tous les jours, un changement de comportement et un ralentissement psychique et moteur qui peuvent conduire dans les cas les plus extrêmes au suicide.
Schizophrénie. La schizophrénie touche environ 24 millions de personnes – soit une sur 300 – dans le monde (1). Les personnes qui en sont atteintes ont une espérance de vie de 10 à 20 ans inférieure à celle de la population générale (4).
Manque de plaisir dans la vie, ou des difficultés à apprécier quoi que ce soit. Se sentir désespéré et sans valeur. Problèmes de sommeil, d'énergie, d'appétit et de concentration.
La plupart des troubles mentaux et des maladies mentales ne sont pas attribuables à une seule cause. Ils semblent plutôt être le résultat d'une interaction complexe entre des facteurs sociaux, économiques, familiaux, biologiques et génétiques (CSMC, 2009).
Au cœur de la dépression, c'est la régulation émotionnelle qui est atteinte, mais toutes les autres fonctions révèlent également des difficultés à travers les symptômes. Les émotions, changements d'humeur, pensées, perceptions et comportements sont tous liés à l'activité des cellules nerveuse de notre cerveau.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
La dépression n'est pas une maladie héréditaire, elle ne se transmet pas. Cependant il existe une prédisposition à développer ce trouble chez les personnes porteuses de variants génétiques, dont la plupart sont encore inconnus aujourd'hui.
Pas question de se prendre la tête après avoir mangé une banane ! En plus, comme elle contient également du magnésium et du potassium, elle nous aide à combattre le stress et les coups de mou. Facile, après ça, d'avoir la banane ! Noix, amandes, noisettes, sésame, abricots secs...
les vitamines du groupe B, notamment les vitamines B6, B9 et B12, sont essentielles à notre bien-être mental et émotionnel3. On trouve de la vitamine B6 dans les lentilles, les noix, la banane.
Une alimentation saine et riche en fruits et légumes, céréales complètes, volailles, poissons, légumineuses, noix et produits laitiers faibles en gras pourrait avoir un effet protecteur contre la dépression.
Ces stratégies pourraient être : écouter un CD, lire un livre, faire du sport, faire une promenade, prendre un bain de soleil ou de luminothérapie, appeler une amie, faire du Yoga, prendre un bain… Chaque personne est différente et a ses préférences. Vous pouvez alors vous créer vos stratégies individuelles.
La dépression sévère mélancolique (niveau le plus élevé de dépression) : forme très douloureuse, avec perte d'intérêt total pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d'estime de soi, autodépréciation constante…
Le psychiatre, médecin spécialisé, qui peut à la fois prescrire un traitement médicamenteux et engager un suivi psychothérapeutique, est au premier rang des spécialistes de la dépression.
"L'hospitalisation est nécessaire quand la dépression est sévère, quand la personne se sent dépassée et submergée par sa souffrance et qu'elle a éventuellement des idées suicidaires. Dans ce cas, il faut protéger la personne.
Le dépressif a besoin que l'on prenne sa souffrance au sérieux. Votre présence doit être rassurante. Sans glisser avec lui dans la dépression, accompagnez-le sans le bousculer. Vous devez lui dire et lui faire comprendre (en lui répétant au besoin) qu'il n'est pas responsable de son état, et que vous le savez.
Se coucher à heures régulières
Levez-vous et couchez-vous à la même heure chaque soir : de cette façon, vous recadrez votre rythme circadien, et indiquez à votre cerveau que l'heure de dormir approche. Cette habitude vous aide ainsi à éloigner les problèmes d'endormissement auxquels vous faites face.
La dépression ne se guérit pas à force de volonté. C'est une maladie qui nécessite la mise en œuvre d'un traitement spécifique. Les stratégies thérapeutiques existantes sont efficaces dans au moins 70% des cas. Des pistes émergent pour les cas de dépression résistante.