La syllogomanie peut avoir pour origine un problème primaire de santé mentale ou être causée par des facteurs secondaires comme la démence, un ACV ou une lésion cérébrale.
La syllogomanie ou accumulation compulsive est un mal profond qui n'est pas à prendre à la légère car dans ses pires formes, elle peut être à l'origine : d'incendies (à causes de la présence d'objets inflammables) de conditions de vie insalubres (infestations de rongeurs, d'insectes, présence de moisissures)
La personne conserve des objets principalement parce qu'elle sent qu'elle doit le faire, peu importe la valeur de l'objet. Les biens accumulés encombrent et obstruent les pièces à vivre (pas les sous-sols ou les aires de rangement) et interfèrent avec l'utilisation de ces pièces aux fins prévues.
Quant au bon comportement à adopter face à un individu syllogomane, il s'agit de rester patient, bienveillant et à l'écoute. Vous pouvez également faire appel à une société de nettoyage spécialisée.
La syllogomanie est la maladie qui définit les accumulateurs compulsifs. Être attaché à certains objets, c'est normal. Mais avoir du mal à jeter quoi que ce soit peut relever de la maladie mentale.
Dans son comportement habituel, le syllogomane se différencie véritablement du récupérateur. En effet, pour rappel, le syndrome de Diogène est un trouble psychiatrique bien souvent associé à une dépression et à d'autres problèmes comme l'anxiété, la perte de l'estime de soi voire le retrait total de toute vie sociale.
C'est dans l'intérêt du patient lui-même." La prise en charge pluridisciplinaire d'individu qui présente un ou plusieurs symptômes du syndrome de Diogène doit être réalisée avec tact et précautions face à son refus d'aides extérieures.
Les raisons récurrentes invoquées pour expliquer le comportement qui consiste à “tout” garder sont : La peur d'en avoir besoin un jour (“ça peut toujours servir”). L'objet rassure et permet de ne pas manquer. L'objet permet donc de nourrir un besoin de contrôler le futur.
Atlantico : Aux Etats-Unis, le besoin effréné d'accumuler est reconnu comme une pathologie psychiatrique à part entière. Généralement connue sous le nom de Trouble Obessionnel Compulsif (TOC) d'accumulation, cette maladie semble désormais avoir son pendant inverse.
Le syndrome de Noé, en anglais Animal Hoarding, est un terme qui désigne le fait d'accumuler chez soi plusieurs animaux alors que l'on ne peut les héberger, les nourrir et les soigner correctement.
La syllogomanie : Les personnes atteintes du syndrome de Diogène ont en général un rapport aux objets peu communs, se manifestant le plus souvent par l'accumulation ceux-ci soit parfaitement rangés, soit dans un désordre total, entraînant par la même occasion l'insalubrité de l'habitat.
Depuis des mois, l'artiste belge finalise ce grand projet qu'il a appelé «Sillygomania». Ce terme est un dérivé du mot syllogomanie, qui décrit: «Un trouble qui consiste à accumuler pas mal de choses, pas mal d'objets. Ça évoque aussi une difficulté à faire le tri.
Le médecin généraliste devra être le premier recours. Si la cause n'est pas neurologique, il faut alors consulter un psychiatre. La difficulté est que la personne malade refuse généralement toute aide. Si la personne accepte de consulter, c'est évidemment la solution à privilégier.
Les patients atteints du syndrome de Diogène vivent dans des endroits insalubres et leur logement est souvent dégradé. « Ces malades ne parviennent pas à prendre l'initiative de jeter les objets et détritus entassés alors même qu'ils n'en ont pas ou plus l'utilité.
La syllogomanie est un trouble psychique qui se traduit par une accumulation pathologique d'objets.
Ranger et jeter pour se sentir mieux
Au contraire, jeter et désencombrer permet de mieux organiser sa vie et de se libérer d'une pollution tout autant visuelle qu'émotionnelle. Vivre dans un espace organisé où chaque chose a sa place aide à gagner du temps pour soi et pour les autres.
Prendre du temps pour soi, se ressourcer et se détendre améliore ses relations avec son entourage. Ces moments apportent aussi un meilleur rapport avec ses propres émotions. Durant ces périodes de détente, l'esprit se libère de tous les soucis quotidiens pour se concentrer sur l'activité et le calme du moment présent.
Une pathologie neuropsychiatrique entraînant apathie ou amnésie. La peur de l'agression (liée à un traumatisme ou à la situation de vulnérabilité en elle-même) L'affirmation de soi et une manifestation d'insoumission lorsque le soin est perçu comme une contrainte et non comme une aide.
Outre une prise en charge médico-sociale du patient, il n'existe pas aujourd'hui de traitements spécifiques pour guérir du Syndrome de Diogène. Une thérapie comportementale est mise en place, associée à la prise de médicaments utilisés pour d'autres pathologies comme l'anxiété, la dépression, ou encore la démence.
Fièvre, mal de tête, douleurs abdominales, vomissements, diarrhée ou constipation. Complications : troubles neurologiques, performations intestinales, infection généralisée.
Avec le syndrome de glissement, mieux vaut un excès de zèle qu'une réaction tardive. Faites appel à une aide à domicile pour tenir compagnie à votre proche tout en lui facilitant les tâches du quotidien.
Il n'existe pas de traitement médicamenteux spécifique au syndrome d'hubris. Néanmoins, en être atteint n'est pas une fatalité. La meilleure façon de guérir de ce syndrome est de commencer un suivi psychologique. Un psychologue est en mesure d'anticiper les conséquences néfastes de votre comportement actuel.