Le phénomène d'érosion modifie la forme et l'hydrologie des milieux, et provoque parfois des mouvements de terrain. Les conséquences peuvent être lourdes pour la biodiversité comme pour la sécurité de tous à proximité directe des milieux.
Si l'érosion est un phénomène naturel, celui-ci est aggravé par le développement industriel et la construction d'infrastructures. Ainsi, à Pondichéry, le long de la promenade longeant la côte, il y a encore quelques années, la statue de Gandhi surplombait la plage.
La manière la plus efficace de lutter contre l'érosion hydrique des sols est de favoriser le phénomène d'infiltration pour limiter le ruissellement. Pour les sols cultivés, diverses pratiques culturales peuvent être mise en œuvre par les agriculteurs pour augmenter l'irrégularité du sol et limiter le ruissellement.
L'érosion est l'ensemble des résultats de tous les processus qui ramassent et transportent des matériaux sur la surface terrestre. Les principaux agents d'érosion sont l'eau, le vent, la glace et la gravité, et chacun agit de plusieurs façons.
C'est par exemple le cas du sable, utilisé dans la construction et prélevé dans les cours d'eau. Le prélèvement du sable dans les cours d'eau et d'autres activités humaines favorisent l'érosion et contribuent au recul du trait de côte de certains littoraux.
La cartographie de la sensibilité à l'érosion du bassin concerné a pris en compte quatre types de données : pédologiques (dont la battance et l'érodibilité sont incluses), de pente, d'occupation du sol et climatiques (intensité et hauteur des précipitations).
L'érosion des sols réduit la productivité des écosystèmes terrestres, ce qui change les cycles des nutriments et par conséquent, impacte directement le climat et la société. Sur le court terme, les activités anthropiques sont les principaux moteurs de l'érosion des sols.
Des contrôles efficaces de l'érosion gèrent le ruissellement de surface et sont des techniques importantes pour prévenir pollution de l'eau, perte de sol, perte d'habitat faunique et les pertes foncières.
La recharge en sable consiste à transporter du sable et/ou du gravier sur une plage, soit en le déposant directement sur celle-ci ou en marge du site. L'engraissement artificiel de la plage augmentera sa capacité à protéger la côte, en absorbant l'énergie des vagues.
Elle peut également ruisseler à la surface et transporter vers les cours d'eau les sédiments et tout ce qui y sont associés : pesticides, engrais, matières organiques... De manière générale, nous pouvons regarder les conséquences de l'érosion sous trois angles : Les impacts « sur site » et « hors site »
L'érosion côtière est le processus naturel responsable de l'abaissement des plages, du recul des dunes et des falaises. Elle façonne les côtes par l'action des vagues, des courants et du vent.
L'érosion du littoral se traduit par le recul du trait de côte, soit, un déplacement vers l'intérieur des terres de la limite entre le domaine maritime et continental suite à la perte de matériaux (sables, roches, sédiments). La côte sableuse est naturellement en mouvement.
Les conséquences de ce processus sont : perte de productivité en culture pluviale ; baisse de la productivité et de la rentabilité des investissements en irrigué ; diminution des quantités et de la qualité de l'eau pour usage domestique et industriel ; réduction de la production nationale d'énergie et augmentation des ...
L'inflammation peut « gruger » les os, ce qui cause des dommages dans les régions où l'os s'use. Cette usure, appelée érosion osseuse, est visible sur les films de rayons X ou d'examen d'imagerie par résonance magnétique. Une fois l'os endommagé, on ne peut habituellement pas le réparer à l'aide de médicaments.
Le ruissellement est le type d'érosion le plus fréquent sur terre.
L'eau, principal agent d'érosion, agit aussi bien mécaniquement que chimiquement sur les roches. Elle désagrège les matériaux les plus tendres en ruisselant. Les pierres choquées les unes contre les autres se cassent et s'usent. La mer, par le choc répété des vagues, fragmente ainsi les roches du littoral.
Cette étude suggère que la déforestation par l'homme explique l'érosion accélérée des sols au cours des 4 derniers millénaires. Bien avant les influences récentes et brutales via les émissions de gaz à effet de serre, les activités humaines avaient déjà une influence sur le système Terre.
On estime qu'un quart du trait de côte métropolitain, soit 1720 kilomètres, recule du fait de l'érosion marine. Ce grignotage, ainsi, que la présence de zones au-dessous du niveau de la mer, entraîne des risques de submersion, c'est-à-dire d'inondations temporaires des habitations et des activités humaines.
Dégradation naturelle du relief du sol. Usure, détérioration.
" La règle de base, recommande Michel Lagasse, responsable du service clients de Bondex, est d'utiliser un produit pigmenté à l'image d'une crème solaire. Les pigments peuvent être translucides (lasure, vernis teinté) ou opaques (peinture extérieurs bois ou fer).
Le paillage permet de lutter efficacement contre l'impact des gouttes de pluie (effet splash). Il constitue un rideau protecteur et crée une rugosité de surface qui divise et ralentit la lame d'eau de ruissellement, les pertes en terre sont ainsi considérablement réduites.
Mise en place d'une fascine de saule en pied de berge. Les racines des arbres ainsi plantés maintiendront la berge. Remblais en bordure de cours d'eau par des matériaux divers. Utilisation de techniques végétales vivantes pour consolider une berge.