Très souvent, les causes de la déficience intellectuelle sont inconnues. Parmi celles identifiées, il a des facteurs biologiques, reliés à des conditions génétiques et à l'hérédité, des facteurs d'origine environnementale ou des complications liées à la naissance.
La trisomie 21 est la plus fréquente des causes de déficience mentale et sa prévalence était de une pour 700 naissances dans les années 1990, avant le développement du diagnostic prénatal. Les études de séquençage récentes du chromosome 21 estiment à 329 le nombre de gènes portés par ce chromosome.
Les symptômes n'apparaissent souvent qu'après plusieurs mois : grosse langue, hypotonie, somnolence, hypothermie, constipation, bradycardie, ictère prolongé.
Critères diagnostiques
Des limitations significatives du fonctionnement intellectuel. Des limitations significatives du comportement adaptatif. Apparition de ces limitations durant la période développementale.
Selon le degré de l'écart, nous parlerons de : Déficience intellectuelle légère (Quotient intellectuel : 50-55 | 70-75); ▪ Déficience intellectuelle moyenne à sévère (Quotient intellectuel : 20-25 | 50-55); ▪ Déficience intellectuelle profonde (Quotient intellectuel : en dessous de 20-25).
La CIH (Classification Internationales des Handicaps) a été créée en 1980, à l'aide du modèle du Docteur Philip Wood qui définit le handicap en 3 points généraux : - La déficience psychologique, physiologique ou anatomique.
Tous ces troubles peuvent s'associer à la di et les plus observés sont (p. 44) : déficit de l'attention/hyperactivité, troubles dépressifs et bipolaires, troubles anxieux, troubles du spectre de l'autisme, mouvements stéréotypés, troubles du contrôle des impulsions, troubles neurocognitifs majeurs.
le constat de déficits dans les fonctions intellectuelles comme le raisonnement, la résolution de problèmes, la planification, la pensée abstraite, le jugement, l'apprentissage académique, l'apprentissage par l'expérience et la compréhension pratique.
Il s'agit d'une personne qui présente, avant l'âge de 18 ans, des limitations significatives du fonctionnement intellectuel et du comportement adaptatif. Ces limitations font référence à des habiletés conceptuelles, sociales et pratiques qui cohabitent avec les forces que présente la personne.
1 Le retard mental ou la déficience intellectuelle regroupe un ensemble de conditions très diverses dans lesquelles l'enfant ou l'adolescent a un fonctionnement intellectuel nettement inférieur à la moyenne, qui a débuté avant l'âge de 18 ans et qui limite son adaptation dans différents domaines importants.
Les causes sont variées : accidents de la vie, problèmes neurologiques, anomalies chromosomiques ou maladies génétiques.
respecter son âge et ses centres d'intérêt. Lorsqu'on s'adresse à des adolescents déficients intellectuels, il est important que le projet prenne une forme adaptée : contenus, supports, finalités, même si les compétences visées ne correspondent pas à celles travaillées avec des jeunes de leur âge.
débile, simple d'esprit ; personne dont les facultés intellectuelles sont peu développées ou amoindries.
La déficience intellectuelle serait "souvent génétique, mais non héréditaire", selon un papier publié par l'université de Montréal qui précise que "la déficience intellectuelle est un handicap grave qui touche 1 % à 2 % des enfants dans le monde", qu'elle "peut souvent être attribuée à des causes génétiques", mais que ...
Le trouble du spectre de l'autisme (autisme) et la déficience intellectuelle sont tous deux des limitations fonctionnelles permanentes. Ces déficiences peuvent affecter tous les groupes, quels que soient leur race, ethnicité ou situation socioéconomique. Ce ne sont pas des maladies.
Contrairement aux idées reçues, si le handicap mental est parfois héréditaire, ses origines peuvent être diverses. Dans 30 % des cas, elles restent inconnues. Un grand nombre de handicaps mentaux ont une cause génétique.
Le diagnostic nécessite la passation d'un bilan psychologique complet. Le test de niveau intellectuel (WPPSI-IV, WISC-V ou WAIS-IV en fonction de l'âge) permet de détecter les déficits touchant le raisonnement, la résolution de problèmes, les apprentissages, la planification, la pensée abstraite, le jugement, etc.
Faiblesse, insuffisance. Insuffisance d'un organe, du mental. Carence; défaut, manque de.
Quelques exemples de maladies mentales pouvant induire un handicap psychique : troubles bipolaires, troubles dépressifs, schizophrénie, paranoïa, névroses obsessionnelles, burn-out…
Ils peuvent se traduire par de l'agitation, de l'agressivité, des troubles obsessionnels compulsifs (TOC), des désordres alimentaires (anorexie, boulimie…), de l'hyperactivité, de l'addiction (alcool, tabac, autres drogues, jeu, travail, sexe, écrans…) ou des phobies ».
Bien souvent, les solutions proposées sont la prescription de psychotropes sur le long terme sans réévaluation, la mise en sécurité en hôpital psychiatrique, le retour au domicile des parents, la contention physique momentanée ou prolongée...
Les troubles du comportement se divisent généralement en deux catégories : le trouble oppositionnel avec provocation et le trouble des conduites. Ils sont souvent associés à des antécédents familiaux de comportements difficiles, au stress familial et à une mauvaise gestion des émotions et des niveaux d'activité.
Le handicap mental ne se guérit pas, mais une action éducative, thérapeutique et pédagogique adaptée peut en réduire les conséquences et apporter à la personne qui en est atteinte la plus grande autonomie possible.
Accidents, maladies génétiques et maladies chroniques sont les trois grandes causes de handicap. Ce sont les accidents, par leur brutalité et les handicaps très sévères qu'ils peuvent entraîner, qui frappent le plus les imaginations. On dénombre 30 000 paraplégiques et 6 500 tétraplégiques en France.
Epilepsie, troubles moteurs, sensitifs, syndrome cérébelleux, des anomalies des paires crâniennes avec en particulier des troubles de l'odorat sont très classiques. Les déficiences cognitives sont de loin les plus fréquentes, elles sont responsables du « handicap invisible « des patients [6].