Pollution de l'air, de l'eau, des sols, nuisances sonores, destruction de la biodiversité… les répercutions de l'activité humaine sont diverses. En plus de dégrader l'environnement, l'activité humaine dégrade la vie quotidienne des hommes eux mêmes.
La principale cause de la réduction de la biodiversité est l'exploitation massive et non raisonnée des ressources de notre planète. Dans une course à l'hyperconsommation, les sols sont surexploités, les surfaces naturelles régressent ou subissent une pollution massive aussi bien dans l'eau qu'en surface.
La déforestation accroît la vulnérabilité des zones urbaines à la sécheresse, aux feux, aux inondations, à l'écoulement, aux glissements de terrains, à la sédimentation dans les barrages et les réservoirs, aux polluants et aux maladies.
La pollution de l'eau, de l'air, des sols, les habitats vétustes ou les conditions de travail dangereuses sont à l'origine de multiples pathologies, notamment cancéreuses, de troubles de la reproduction et du développement.
Pollution de l'air, difficile accès à l'eau potable, destruction des écosystèmes, hausse des canicules et des catastrophes naturelles, augmentation des zoonoses…. Les risques liés à l'environnement sont nombreux et l'ampleur de leur impact sur la santé des hommes reste encore à déterminer.
L'exploitation non durable des ressources naturelles dégrade des zones de vie des populations humaines et altère leur santé. Elle détruit aussi des écosystèmes entiers et perturbe leur fonctionnement global, ainsi que tous les services écosystémiques qu'ils assurent.
1. Action d'endommager quelque chose, fait d'être abîmé, altéré ; détérioration : La dégradation de l'environnement. 2. Détérioration progressive d'une relation, d'une situation : Dégradation des relations internationales.
La désertification, la déforestation, l'acidification des océans, l'érosion massive de la biodiversité, la chute des stocks de ressources halieutiques et les multiples formes de pollution se sont considérablement accélérées depuis les années 1950.
La pollution des canaux, voies d'évacuation naturelles des eaux usées, le manque d'eau potable, en sont les conséquences inévitables.
Dans le contexte de la dégradation des terres, après la perte du couvert végétal, les terres d'exploitation agricole et les sols sont exposés à une intense érosion due à la fois à l'eau (érosion hydrique) ou au vent (érosion éolienne) ou les deux (2) en même temps.
Les conséquences en sont une modification de l'aspect du paysage et, dans certaines régions, une diminution de la qualité du sol et de l'eau ainsi qu'une réduction du nombre des espèces de la faune et de la flore.
– les pesticides et assimilés (engrais, insecticides) ; – les pollutions atmosphériques (gaz des usines, fumées des véhicules, odeurs) ; – la pollution des eaux et des sols (pollution radioactive, chimique et biologique) ; – les nuisances diverses (bruits et émissions sonores, fumées des cigarettes et pipes).
Comme toute production humaine, les activités économiques informelles fonctionnent avec des intrants (ou inputs) et des extrants (outputs) en partie constitués de déchets. L'occupation des espaces publics occupés par les activités économiques informelles, est donc source de dégradation de la qualité du cadre de vie.
La pollution est la dégradation d'un milieu par la diffusion […] d'agents matériels (les polluants), qui rendent ce milieu malsain, dangereux ou qui dégradent les conditions de vie.
a) la conservation des sols et la protection du couvert végétal; b) les études relatives aux possibilités de restauration de la fertilité du sol; c) la régulation du système d'approvisionnement en eau; d) la production de combustibles, de fourrages et d'autres matières premières.
Les trois voies disponibles pour traiter et prévenir la dégradation des sols sont l'évaluation des émissions de carbone du sol, la réglementation de l'utilisation des engrais et des pesticides et la mise en œuvre de pratiques de gestion durable.
abaissement, abjection, affaiblissement, avilissement, bassesse, décadence, déchéance, déclin, déliquescence, dépravation, dépréciation, ignominie, perversion, pourrissement.
Les principales causes de dégradation des sols sont anthropiques : agriculture intensive, déforestation, surpâturage, pollution industrielle, irrigation… Et cette dégradation risque de s'aggraver si rien n'évolue dans les pratiques agricoles et environnementales.
La pollution, y compris l'utilisation de produits chimiques, de combustibles fossiles et de plastiques, perturbe les écosystèmes de la Terre et, ce faisant, nuit aux espèces et les force à modifier leurs habitudes.
La pollution, notamment celle provenant des produits chimiques et des déchets, est un facteur majeur de modification de la biodiversité et des écosystèmes, avec des effets directs particulièrement dévastateurs sur les habitats d'eau douce et marins.