mensonges à l'entourage pour passer plus de temps sur l'Internet ; dépression ou irritabilité quand la personne est privée du téléphone ou de l'accès à l'Internet ; échecs répétés dans le contrôle de ces comportements, malgré la prise de conscience de conséquences négatives significatives.
En effet, l'exposition aux RF émises par le téléphone portable peuvent avoir plusieurs effets néfastes : l'échauffement, baisse de la fertilité, les problèmes auditifs, la perturbation de la qualité du sommeil, l'interférence électromagnétique, le cancer du cerveau et l'hypersensibilité électromagnétique.
Avoir des troubles musculo-squelettiques (main, pouce, coude, épaules, cervicales) ; Développer potentiellement des pathologies liées aux ondes émises par l'appareil ; Diminution de certaines capacités cognitives comme la mémoire, le langage, l'attention et la concentration.
« Le mécanisme sous-jacent à cette addiction au portable est un mécanisme psychologique propre à chaque individu, fortement dépendant de la fonction du portable dans sa vie : connexion aux réseaux sociaux, jeux vidéos, appartenance au groupe, angoisse de performance », résume le docteur Neveux, psychiatre- ...
4) Quand vous êtes au téléphone et que d'un coup vous paniquez, vous fouillez dans vos poches pour savoir où est votre précieux... puis vous vous souvenez qu'il est dans vos mains puisque vous êtes au téléphone. 5) Quand votre fond d'écran, c'est un selfie... pris avec votre portable.
Vous êtes "nomophodes". Contraction de "no mobile phobia", la "nomophobie", touche principalement les accros aux réseaux sociaux qui ne supportent pas d'être déconnectés.
La Thérapie Interpersonnelle (TIP) et la Thérapie cognitive et Comportementale (TCC) sont à privilégier dans l'addiction au portable. Le diagnostic et le suivi par un psychiatre (médecin) est indispensable.
«Le smartphone est un objet qui renvoie une image de soi très narcissique et qui stimule en permanence. Toutefois, il n'a pas les mêmes effets que certaines drogues dures. Les enfants ou adolescents n'y recherchent pas un flash mais un lieu où ils se trouvent valorisés et reconnus par leurs pairs, estime-t-il.
"L'addiction aux écrans professionnels est reliée elle au phénomène du workaholism, l'envahissement par le travail.
A commencer par la nomophobie. No mobile phobie, la peur de ne plus avoir son téléphone portable.
Les manifestations caractéristiques de l'addiction et de la dépendance au téléphone sont : une utilisation incessante du téléphone, dans la rue, chez les commerçants, dans les transports, pendant les courses et parfois même chez un médecin.
Migraine, perte de mémoire, fatigue, dépression, voire cancer et apparition précoce de la maladie d'Alzheimer... Voilà quelques-uns des symptômes et des effets secondaires que certains scientifiques attribuent à une utilisation intensive du "portable".
La dépendance au smartphone chez les adolescents et les impacts sur leur santé mentale. Dépression, anxiété, insomnie. Le compagnon du quotidien des adolescents, le smartphone, n'est pas qu'un ami qui leur veut du bien. Plusieurs études montrent les travers des téléphones portables et l'addiction qu'ils peuvent générer ...
Baisse de la vision : gare à la lumière bleue !
Yeux rouges et maux de tête, une utilisation des écrans trop importante peut engendrer une fatigue visuelle. Les yeux ne supportent pas l'exposition à la lumière bleue pendant une durée trop importante. Elle peut devenir rapidement nocive pour les yeux.
Ils sont déjà accusés de contribuer à l'obésité et à un sommeil défaillant. Mais les écrans peuvent également compromettre le développement du cerveau des très jeunes enfants qui y sont exposés trop tôt et de façon trop fréquente.
la lumière bleue émise par les écrans contribue à bloquer la production de mélatonine et favorise ainsi l'éveil, même à des niveaux faibles d'exposition ; les activités sur écrans maintiennent notre cerveau dans un état d'excitation intellectuelle peu propice à l'endormissement.
Une utilisation prolongée des écrans peut causer une sécheresse oculaire (du fait qu'on cligne cinq fois moins des yeux quand on regarde un écran), une fatigue visuelle, une vision trouble, des maux de tête, des yeux qui chauffent ou qui picotent de même qu'une perte d'attention ou de concentration.
Se dit de quelqu'un qui ne peut se passer de son téléphone portable et éprouve une peur excessive à l'idée d'en être séparé ou de ne pouvoir s'en servir.
Signes de la nomophobie
un besoin d'avoir son téléphone sur soi en permanence (dans leurs mains, proches de leur lit la nuit...) un besoin irrépressible de devoir répondre au téléphone, aux mails, aux messages... parfois, un repli sur soi.
Effectuer ses tâches quotidiennes sans son portable. Vérifiez vos e-mails pendant vos heures de travail. Beaucoup de gens ont un smartphone à portée de main à tout moment, ce qui leur permet de répondre immédiatement à tout courrier électronique concernant le travail ou l'école.
Selon le Larousse en ligne, un nomophobe est «quelqu'un qui ne peut se passer de son téléphone portable et éprouve une peur excessive à l'idée d'en être séparé ou de ne pouvoir s'en servir».
Pour guérir d'une addiction, il n'y a pas de recette miracle : il faut de la patience et beaucoup de motivation car la route est longue et semée d'embûches. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle les campagnes de sensibilisation et de prévention auprès du grand public sont primordiales.
Pour la même raison évoquée ci-dessus, secouer ou souffler sur un smartphone mouillé n'est en aucun une bonne idée. Au lieu de le sauver, vous risquez, au contraire, de le perdre à tout jamais.
Le tout premier avantage du téléphone est qu'il permet de rester en communication avec ses proches. En dehors de cela, il vous permet de vite alerter un proche ou des personnes susceptibles de vous aider en cas de danger. Il peut s'agir d'un accident, d'une perte ou d'un enlèvement de personne.