Quels sont les impacts du numérique ? Le constat est sans appel : le numérique représente 4% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Et ce chiffre risque de doubler d'ici à 2025. En France, le secteur du numérique représente 2% des émissions de gaz à effet de serre et pourrait atteindre les 7% d'ici 2040.
Les impacts sont notamment l'épuisement des ressources minérales et fossiles, l'émission de gaz à effet de serre, la consommation d'énergie, l'acidification de l'eau, … Tout d'abord, l'un des premiers problèmes qui se pose est l'extraction des ressources nécessaires à la fabrication des objets électroniques.
La pollution numérique désigne toutes les formes de pollution engendrées par le secteur informatique : émissions de gaz à effet de serre, contamination chimique, érosion de la biodiversité, production de déchets électroniques.
Plus de 75 % des émissions de gaz à effet de serre du numérique proviennent de la fabrication des terminaux. Il faut environ 50 à 350 fois son poids en matière pour produire un appareil électrique. Par exemple, la fabrication d'un ordinateur de 2 kg, c'est 588 kg de matières premières mobilisées !
Les progrès du numérique peuvent favoriser et accélérer la réalisation de chacun des 17 Objectifs de développement durable, qu'il s'agisse de mettre fin à l'extrême pauvreté, de réduire la mortalité maternelle et infantile, de promouvoir l'agriculture durable et le travail décent ou encore de parvenir à l' ...
51 % des commerçants français déclarent que le digital contribue à leur chiffre d'affaires (+ 9 points vs 2021), 57 % considèrent que le digital contribue au commerce local (+ 5 points vs 2021), 51 % ont pour objectif de développer une stratégie omnicanal (+ 16 points vs 2021).
Avec la digitalisation, de nombreuses tâches peuvent être automatisées, ce qui fait craindre le retour d'un chômage technologique. Mais c'est surtout la structure des emplois qui est bouleversée : on assiste à une polarisation de l'emploi avec ses conséquences en termes d'inégalités.
Le numérique permet aujourd'hui d'optimiser et de simplifier les processus de productivité et de communication afin de garantir à l'entreprise sa compétitivité et sa capacité d'innover. Nous ne pouvons plus uniquement suivre les tendances économiques et commerciales, nous devons les anticiper, les inventer.
acidification de l'air ; formation d'ozone troposphérique ; appauvrissement de la couche d'ozone ; particules et effets respiratoires des substances inorganiques.
Contrairement aux idées reçues, la plus grande partie de la pollution numérique est engendrée au moment de la fabrication des appareils, et non lors de leur utilisation. En effet, près de la moitié des gaz à effet de serre émis par la filière numérique provient en fait de cette phase de fabrication (47%).
Dans le scénario tendanciel, les émissions de gaz à effet de serre du numérique augmentent de 45% à horizon 2030, et triplent à horizon 2050. D'après ce scénario tendanciel, tous les impacts environnementaux seraient en forte croissance en 2030 et 2050.
La pollution numérique est engendrée par 3 sources principales : Les utilisateurs avec leurs différents équipements informatiques ; Les centres de données ou data center ; Les services et applications numériques.
« Toutefois, il y a également de véritables inconvénients, y compris les problèmes de surveillance et de sécurité et la possibilité bien réelle que la technologie creuse des inégalités entre ceux qui y ont accès et ceux qui n'y ont pas accès. »
Quels sont les impacts du numérique ? Le constat est sans appel : le numérique représente 4% des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. Et ce chiffre risque de doubler d'ici à 2025. En France, le secteur du numérique représente 2% des émissions de gaz à effet de serre et pourrait atteindre les 7% d'ici 2040.
Ce sont les externalités positives ou négatives que dégage une entreprise. L'impact étant par définition créé par rapport à une cible visée, il a donc une valeur différente pour chaque cible. La valeur sociale ou environnementale est différente de la valeur financière.
De nombreuses entreprises ont conscience que leur implication dans la protection et la préservation des ressources naturelles conditionne leur survie à long terme. Leurs enjeux environnementaux sont vastes : consommation de matières premières, d'énergie, d'eau, de ressources naturelles. rejets dans l'environnement.
De manière générale, on considère que ce sont des facteurs qui influencent l'entreprise et sur lesquels l'entreprise n'a que peu de pouvoir. Plusieurs facteurs déterminent ce macro-environnement : les facteurs démographiques : la taille de la population, l'évolution de la pyramide des âges, les flux migratoires,…
Le digital, nouveau moteur de l'activité pour le commerce
Les entreprises perçoivent le numérique à la fois comme un moyen de garantir ou sauvegarder leur activité (50 %, soit +12 points par rapport à l'an dernier) et d'améliorer la satisfaction et la fidélisation des clients (48 %).
Les principales menaces cyber auxquelles les organisations doivent faire face sont : La cybercriminalité (fraude, rançongiciels, vols de données et chantage ou revente), L'espionnage (vols de savoir-faire et de technologies) La déstabilisation (sabotage, entrave au fonctionnement, atteinte à l'image).
Les enjeux du numérique sur la politique RSE des entreprises englobent la productivité des collaborateurs, la communication par l'information, l'automatisation des processus et l'impact écologique.
La digitalisation requiert une nouvelle organisation de travail, la résistance au changement peut être difficile à contourner ou à surmonter ; La digitalisation nécessite de prendre du temps pour numériser les données déjà produites au format papier. Etc.
Les technologies numériques peuvent aider les entreprises à améliorer les processus de conception des produits et de production, à automatiser les tâches répétitives, à effectuer certaines tâches à distance et à établir des relations plus fluides avec leurs fournisseurs et clients, entre autres.
Une hyper-connectivité qui, en plus de développer des maladies psychologiques comme le fomo ou la nomophobie, a eu pour effet de réduire la capacité de concentration moyenne de l'homme de 4 secondes. Fixée à 12 secondes en moyenne, elle a chuté en l'espace de 15 ans à 8 secondes.