L'inactivité physique est aussi associée à un risque accru de développer ou d'aggraver des maladies chroniques telles que l'insuffisance cardiaque, les maladies cardiovasculaires, l'accident vasculaire cérébral, le diabète de type 2, l'hypertension, certains cancers et l'ostéoporose.
Ces personnes présentent ainsi des taux de mortalité et de morbidité plus élevés. « Par exemple, elles sont davantage exposées aux maladies cardiovasculaires et à certains cancers. Elles sont également plus à risque d'hypertension ou d'obésité.
mortalité toutes causes confondues, mortalité liée à des maladies cardiovasculaires et mortalité liée au cancer ; incidence de maladies cardiovasculaires, de cancer et de diabète de type‑2.
Le facteur principal une nouvelle fois est l'inactivité physique et la sédentarité. Les complications dues à l'obésité sont métaboliques et vasculaires. Le risque de faire un infarctus du myocarde dès 25 ans. (L'infarctus du myocarde est due à l'obstruction d'une artère au niveau du cœur, appelée artère coronaire.
Etre sédentaire, c'est à dire passer beaucoup de temps assis vous expose au risque de nombreuses maladies chroniques qui mettent votre vie en danger. La sédentarité c'est aussi le risque assuré de perte d'autonomie lorsque l'on vieillit .
Les sports de précision : le tir à l'arc ou le tir de fléchettes qui font travailler la concentration. Les sports qui permettent d'apaiser l'activité cérébrale : le yoga et la danse qui permet d'entretenir l'intellect et la vivacité.
Cardio-respiratoire, musculaire, d'assouplissement et d'équilibre : les activités physiques et sportives se répartissent en quatre catégories, selon les fonctions physiologiques qu'elles sollicitent. Si toutes apportent un bénéfice, elles ont cependant des effets différents sur la santé.
L'activité physique totale est évaluée à environ 2 h 19 minutes par jour, avec une moyenne de 18 minutes d'activité physique de loisirs par jour, de 20 minutes pour les déplacements et de 1 h 41 minutes pour l'activité physique au travail.
augmente la solidité des os; favorise le maintien d'une bonne masse musculaire; développe le sens de l'équilibre, ce qui diminue les risques de chute et aide à prévenir les fractures; aide à rester autonome plus longtemps.
les activités physiques quotidiennes dont font partie : les déplacements actifs : marcher, faire du vélo, monter et descendre par les escaliers, les activités domestiques : faire le ménage, bricoler, jardiner, les activités professionnelles (travail physique par exemple) ou scolaire.
Les risques physiques englobent tous les risques liés au bruit, aux vibrations, aux rayonnements, à la chaleur, au froid, aux feux et à la radioactivité.
l'inactivité physique : lorsque l'activité physique est inférieure à 60 minutes par jour, incluant le sport pratiqué pendant le temps scolaire, les jeunes sont considérés comme insuffisamment actifs.
En effet, en une semaine si certains sportifs très investis (entraînement quotidien voire bi-quotidien) auront un début de dégradation des performances, il n'en est rien pour les autres. Au contraire, une semaine de repos de temps en temps permet au corps et au mental de reconstruire ses fondations et se régénérer.
Or celle-ci met en danger la santé des adolescents : « Le manque d'activité physique entraîne un risque accru de surpoids et de maladies chroniques comme le diabète ou les douleurs de dos », détaille Chiara Testera, de la fondation Promotion Santé Suisse.
Pratiquer une activité physique régulière diminue de 50 % les risques de maladies cardiovasculaires et de 30 % la mortalité. Marcher, courir, jardiner, bricoler, danser, faire son marché... Peu importe ! A tout âge, l'essentiel est de bouger 3 à 4 fois par semaine pour protéger son coeur.
"Il s'agit de sports qui jouent sur les capacités cardiaques, qui font travailler le cœur et permettent de le maintenir en forme. On retrouve par exemple la marche, la course à pied, le vélo, la natation, l'aviron ou encore les activités collectives comme le football ou le basket" détaille le médecin du sport.
Le sport est une forme d'activité physique. Mais elle est associée à une recherche de résultat, d'objectif atteindre voire de performance dans un contexte de compétition, ou à une forme ludique recherchant à prendre du plaisir seul ou ne groupe.
L'activité physique augmente la production naturelle de dopamine et de sérotonine, tout en faisant baisser le taux de cortisol (l'hormone du stress), ce qui a un effet antidépresseur. Une activité intense entraîne la sécrétion d'endorphines, qui ont un pouvoir analgésique et procurent une sensation de bien-être.
À partir de 50 ans, mieux vaut envisager une activité d'endurance et éviter les sports qui font travailler les muscles en force et en intensité. Pour les personnes qui commencent un sport après 60 ans, il est nécessaire de mettre en place un entraînement progressif sur une année.