les défaillances « majeures » : anomalies susceptibles de compromettre la sécurité du véhicule, d'avoir une incidence négative sur l'environnement, ou de mettre en danger les autres usagers de la route (ex. concernant le système de freinage ou le dispositif d'éclairage).
Les principales défaillances ayant entraîné une contre-visite l'année dernière concernent toutes un défaut d'éclairage, un niveau de pollution trop important ou, plus grave, un problème de liaison au sol.
La défaillance majeure déclenche une obligation de réparer sous deux mois, avec contre-visite obligatoire. La défaillance critique vous contraint plus fortement : la seule chose qui reste possible est de rejoindre un centre de réparation sous 24 heures ou de remiser votre voiture.
Cela signifie que le véhicule se déporte de 10 mètres par kilomètre sur l'un ou l'autre côté. Au-delà, il s'agit d'un défaut de parallélisme. Celui-ci est vérifié lors du contrôle technique.
Ces défaillances peuvent faire l'objet d'une contre-visite : Si les parties extérieures de la carrosserie sont déformées (pare-chocs, protections latérales) et qu'elles ont des parties saillantes ; elles peuvent blesser les piétons passant à proximité, lorsque votre véhicule est garé.
La date du contrôle technique est mentionnée sur le procès-verbal édité par le centre de contrôle à la fin de la visite périodique. Ce document indique également sa date de validité.
Comme pour les automobilistes, les motards et les usagers de la route, vous ne bénéficiez pas du délai de tolérance pour un contrôle technique. Il vous sera nécessaire de vous rapprocher d'un centre de contrôle technique pour une prise de rendez-vous auprès d'un contrôleur avant la date butoir.
Depuis le 1er janvier 2017, si vous allez au contrôle technique avec le voyant moteur allumé, votre voiture ne passera pas le contrôle et vous serez obligé de passer à la contre visite.
Oui, le lave-glace est obligatoire. Votre voiture doit être présentée avec suffisamment de liquide lave-glace dans son réservoir et avec un système opérationnel. Dans le cas contraire, votre véhicule écopera d'une contre-visite.
Pour montrer qu'une droite est parallèle à un plan il suffit de montrer que cette droite est parallèle à une droite du plan. Pour montrer que deux droites sont parallèles : Si deux droites sont parallèles à une même droite alors elles sont parallèles entre elles.
Le signal évident d'un problème de parallélisme est le véhicule qui a tendance à se déporter sur la gauche ou sur la droite. Le phénomène peut entraîner des difficultés à maintenir correctement la trajectoire de la voiture, puisque le parallélisme du train est faussé.
Pour certains, la géométrie désigne à tort le parallélisme des roues. Ces deux termes sont pourtant à distinguer. En effet, la géométrie englobe les trois réglages qui concernent les axes de liberté de la suspension. Le parallélisme est tout simplement l'un d'eux.
Vrai ou Faux ? VRAI Ni le contrôleur technique, ni les forces de l'ordre ne pourront immobiliser votre véhicule physiquement. Mais en cas de défaillance critique, vous n'aurez plus le droit de circuler le lendemain de l'examen, sous peine d'une amende de 135 € et d'une immobilisation administrative.
Le prix de la contre-visite
Le tarif fixé dépend donc des centres mais aussi de la nature de la contre-visite. Le nombre de points à vérifier et leur nature peuvent requérir du temps supplémentaire ainsi que du matériel adapté. On peut néanmoins estimer que le prix moyen d'une contre-visite se situe entre 20 € et 40 €.
Le tarif de la contre-visite varie en fonction du nombre de points à vérifier et peut aller de 20€ à 40€.
Un véhicule ne peut changer de titulaire que si celui-ci dispose d'un contrôle technique en cours de validité, ou bien d'une contre-visite de moins de 2 mois. L'embrayage ne fait cependant pas partie des points de contrôle qui sont effectués pour l'obtention de ce document.
Une amende en cas de dépassement de la date de contrôle technique. Si le propriétaire du véhicule n'effectue pas le contrôle technique dans le temps imparti, il s'expose à une amende en cas de contrôle des forces de l'ordre. L'amende s'élève à un montant de 135€.
Plusieurs phénomènes sont à l'origine de défaillances du marché : les externalités (positives ou négatives), les biens non excluables (biens collectifs et biens communs), ainsi que les asymétries d'information, qui mènent à des situations d'aléa moral ou de sélection adverse.