difficulté à uriner (besoin de pousser, miction difficile à commencer ou arrêter, jet d'urine faible ou qui s'interrompt), sensation de ne pas avoir complètement vidé sa vessie après avoir uriné, brûlure ou douleur en urinant, présence de sang dans l'urine ou le sperme.
Dans la plupart des cas, le cancer de la prostate est une tumeur qui évolue lentement et qui n'entraine pas de symptômes. Seuls les cancers métastatiques entrainent douleurs osseuses, compression neurologique, fractures osseuses, perte de poids et/ou fatigue.
difficulté ou impossibilité d'uriner ou rétention urinaire ; présence de sang dans les urines ou le sperme ; difficulté à avoir une érection ; douleurs au moment de l'éjaculation.
Symptômes de la prostatite
La douleur se développe dans le périnée, dans le bas du dos et souvent au niveau du pénis et des testicules. Par ailleurs, les hommes peuvent également ressentir le besoin d'uriner fréquemment et avec urgence et la miction peut provoquer une douleur ou une sensation de brûlure.
La maladie évolue souvent lentement, sur plusieurs années.
Survie nette
Cela signifie qu'en moyenne, environ 91 % des hommes ayant reçu un diagnostic de cancer de la prostate vivront au moins 5 ans.
Si l'examen est effectué pour un dépistage, un résultat inférieur à 4 ng/ml est considéré comme une valeur normale. Si le taux est supérieur à 4 ng/ml, il existe un risque de cancer et d'autres examens sont nécessaires pour confirmer ou infirmer le diagnostic.
La tumeur peut aussi comprimer le côlon, provoquant alors des troubles digestifs : faux besoins d'aller à la selle, constipation… Si la maladie s'étend davantage, au-delà de la prostate elle-même, des douleurs au bas-ventre, des douleurs osseuses et des troubles rénaux peuvent apparaître.
Mais négativement sur les fonctions urinaires et sexuelles. Autre conséquence négative de la prostatectomie, ce type d'opération semblait associé à une hausse des troubles de l'érection, avec un risque de dysfonction érectile presque multiplié par 3.
A ce jour, le cancer de la prostate est principalement diagnostiqué au moyen de tests sanguins, d'IRM, de biopsies et d'un examen désagréable : le toucher rectal. À savoir ! Le diagnostic de première intention du cancer de la prostate repose sur le toucher rectal qui doit être réalisé de façon systématique.
Le symptôme le plus fréquent d'un sarcome des tissus mous est l'apparition d'une masse ou d'une enflure. Elle peut être associée à une sensibilité locale et parfois à de la douleur à mesure que la masse grossit. Dans le cas du sarcome des os, le symptôme le plus fréquent est la douleur, souvent plus vive la nuit.
La prostatectomie totale est généralement davantage indiquée pour des patients jeunes dont on estime l'espérance de vie supérieure à 10 ans (en fonction de l'âge du patient et de la présence d'autres maladies) et souffrant d'un cancer localisé (sans métastase), à risque d'évolution moyen.
Concernant l'alcool, mieux vaut faire attention aux alcools blancs comme le vin blanc, le champagne et la bière qui favorisent les troubles et les infections urinaires, mais n'ont pas d'effets directs sur la croissance tumorale.
sensation de brûlure ou douleur lorsqu'on urine; inconfort ou douleur quand on est assis, parce que la prostate est enflée; éjaculation douloureuse; difficulté à avoir une érection (dysfonctionnement érectile);
Pour les hommes de moins de 70 ans, un taux du PSA inférieur à 3 ng/ml est considéré comme normal. Au-delà de 70 ans, les taux du PSA augmentent légèrement avec l'âge et que, par exemple, une valeur de 6,5 ng/ml peut être considérée comme rassurante.
Le taux de PSA et son impact sur le cancer de la prostate. Le taux de PSA (Antigène Spécifique de la Prostate) est fréquemment évalué dans le cadre de la prise en charge d'un cancer de la prostate, que ce soit lors du diagnostic ou, plus tard, lors du suivi.
Le thé vert fait l'affaire
La catéchine contenue dans le thé vert contribue également à faire baisser le taux de PSA. Son action antioxydante lui permettrait de protéger l'organisme contre certains cancers.
Lorsqu'il y a des métastases, le cancer de la prostate de stade IV présente une espérance de vie à 5 ans d'environ 50 %. Malgré ce chiffre décourageant, il est toutefois possible de vivre bien plus longtemps avec un cancer de la prostate métastatique, qui est désormais davantage considéré comme une maladie chronique.
En cas de cancer, il peut y avoir une augmentation des dépenses, et une diminution des apports énergétiques, pouvant entraîner une perte de poids.
L'hormonothérapie est le principal traitement palliatif des cancers de la prostate, mais elle est parfois utilisée de façon temporaire dans le cadre du traitement curatif, en complément d'une chirurgie ou d'une radiothérapie.
Les principales modalités de prise en charge des cancers de la prostate sont la chirurgie, la radiothérapie (radiothérapie externe et curiethérapie), la surveillance active (qui permet de différer la mise en route d'un traitement) et l'hormonothérapie. Plus rarement, la chimiothérapie peut également être utilisée.
Le taux sanguin de PSA (antigène spécifique de la prostate), lui aussi intégré à la qualification de la tumeur diagnostiquée, participe à l'estimation du degré d'agressivité ou de la taille de cette tumeur prostatique.