Le classement final (méfaits cumulés) est : 1) alcool ; 2) héroïne et 3) cocaïne crack. Le tabac se trouve à la sixième place, le cannabis à la huitième.
L'héroïne
L'étude de Nutt démontre que l'héroïne est la drogue la plus addictive de toutes, avec un score maximal de 3/3. Il s'agit d'un opiacé qui entraîne une augmentation de 200 % du niveau de dopamine dans le système de récompense du cerveau comme l'ont prouvé les expériences menées sur des animaux de laboratoire.
Le sevrage brutal (cold turkey) dure de 5 à 15 jours, en fonction de la dose pour l'héroïne, l'oxycodone, l'hydromorphone et la morphine. Pour ce qui est de la méthadone, en cas de sevrage du jour au lendemain, les effets de sevrage peuvent durer jusqu'à deux mois.
Des produits/pratiques au potentiel addictif variable
Le tabac, puis l'héroïne, la cocaïne ou l'alcool sont ainsi les produits les plus à risque et dont la consommation problématique est la plus fréquente.
La méthadone est distribuée sous forme d'un liquide vert que l'on boit une fois par jour, pour calmer les envies d'héroïne. Le risque le plus grave de la méthadone est le décès par overdose.
La cocaïne peut également nuire directement aux reins en réduisant la quantité d'une molécule antioxydante importante appelée glutathion.
Concentration et mémoire
C'est le cas du cannabis et de l'ecstasy. En effet, la molécule de THC (tétra-hydro-cannabinol) contenue dans le cannabis diminue considérablement les performances de mémorisation et de concentration d'une personne.
Pratiquer ce genre de méditation "pleine conscience" peut permettre à un cerveau très agité de ralentir, laissant place à un sentiment de paix et de calme. Quand le stress monte, l'urgence de retrouver notre calme peut nous pousser vers des moyens contre-productifs - comme la drogue, l'alcool ou la gloutonnerie.
Le tabac se situe quant à lui à des niveaux intermédiaires, et le cannabis fait partie des drogues les moins dangereuses.
La dépendance à la cocaïne peut s'installer rapidement, seulement après quelques consommations. Elle ne dépend pas de la quantité ou de la qualité du produit, mais plutôt de l'état du consommateur, de son environnement et des effets qu'il ressent lorsqu'il consomme.
L'alcool et le tabac, tous deux légaux, sont des substances qui rendent très rapidement accros. Le cannabis, illégal en France, présente un moindre potentiel addictif. Les drogues illicites dites 'dures', comme la cocaïne, l'héroïne ou l'ecstasy sont quant à elles extrêmement génératrices d'addiction.
Le fentanyl de rue | CAMH.
Elles se divisent en 3 catégories : les perturbateurs/hallucinogènes; les dépresseurs; les stimulants.
"Le cannabis est la drogue considérée par l'opinion comme "douce", parce qu'elle détend.
Le sentiment d'euphorie produit par l'héroïne peut être accompagné de rougeurs de la peau et de démangeaisons, ainsi que d'une bouche sèche, d'yeux larmoyants et d'une rhinorrhée. Les héroïnomanes ont souvent la peau sèche, facilement irritée et prurigineuse.
Le GHB est un dépresseur du système nerveux central qui cause la somnolence et réduit le rythme cardiaque. Il sert à traiter les troubles du sommeil, mais peut être dangereux en cas d'abus.
Les effets recherchés lors de la consommation d'une drogue ou d'un médicament psychotrope varient en fonction de chacun, mais sont notamment d'ordre anxiolytique (euphorie, bien-être, apaisement…), stimulant (toute-puissance, disparition de la fatigue, indifférence à la douleur…), ou encore hallucinatoires ( ...
Une fois fixées sur la glande sébacée, ces drogues peuvent augmenter excessivement la production du sébum (graisse de la peau), responsable en partie de l'acné. De la même manière les kératinocytes qui constituent notre barrière cutanée vont être modifiés, ce qui peut contribuer à la formation des fameux points noirs.
La prise de MDMA peut avoir pour effet notamment d'entraîner une crispation de votre mâchoire qui peut faire apparaître ce qui ressemble à des boules et éventuellement déformer légèrement votre bouche. Il y a peut-être eu aussi de votre part un "grossissement" du phénomène.
Symptômes. On peut soupçonner qu'un individu a consommé des hallucinogènes comme du LSD ou des « champignons magiques » lorsqu'il apparait désorienté et complètement déconnecté d'avec la réalité. Tremblements, frissons, dilatation des pupilles et troubles de coordination peuvent également être des indices potentiels.
Le CBD et les problèmes cardio-vasculaires
De plus, consommé de façon raisonnable, le CBD ne provoque aucun effet secondaire. Un constat qu'est venu renforcer une analyse publiée en mars 2021 dans l'American Journal of the Pharmaciste Association.
La bière est bonne pour les reins et le cœur.
Une étude finlandaise a démontré que la bière élimine les dépôts de calcium au niveau des reins et donc diminue le risque de calculs rénaux. En facilitant le transit elle permet aussi une élimination plus rapide des calculs.
Bien que le MDMA reste le produit principalement recherché dans un comprimé, aujourd'hui, on désigne par ecstasy (ou taz, tata, XTC, plomb, cachetons, bonbons... ) tout cachet contenant des produits stimulants et plus rarement des hallucinogènes.