Essai nul : Le saut n'est pas valable : · si la pointe du pied est hors de la zone d'appel ; · si la zone d'appel est franchie sans sauter. On indique un essai nul par une croix. Mesure : On mesure, au centimètre près, la distance perpendiculaire entre la marque dans le sable la plus proche et la pointe du pied.
Dans les épreuves de sauts, une course d'appel précède l'élan vers le haut ou vers l'avant. Au saut en longueur et au triple saut, le sauteur doit éviter de poser le pied au-delà de la ligne d'appel, sans quoi le saut est annulé; il a droit à cinq essais, et le meilleur saut lui est crédité.
Essais nuls au saut en hauteur
3.1 Un essai est considéré comme nul ou faux si, a) l'appel a été pris des deux pieds; b) la barre tombe des taquets; c) le sol ou le tapis de réception est touché au-delà des poteaux ou de la ligne zéro avec une partie quelconque du corps, sans franchir la barre.
- Cas de nullité : 1) lorsque le 1er bond n'est pas un cloche-pied 2) quand le sauteur prend son premier appel au-delà de la limite d'appel et/ou quand il ne retombe pas dans le sable à l'intérieur la zone de réception (qui commence un mètre au delà du bord du sautoir ou début du sable).
Le triple-saut est sur le même principe que le saut en longueur, mais avec une exécution de 3 sauts différents enchaînés. Le 1er saut, à partir de la planche d'appel, est un “cloche pied”. L'athlète retombe donc sur le même pied que celui posé sur la planche.
Ce sont des foulées plus ou moins longues, le but étant de bondir d'une jambe sur l'autre avec dynamisme, les impulsions étant orientées vers le haut grâce à une élévation des genoux. Il faut alterner les bonds, ne pas chercher systématiquement à sauter le plus loin possible.
Tous les sauts seront mesurés à partir de la marque la plus proche faite dans la zone de réception par une partie quelconque du corps jusqu'à la ligne d'appel ou son prolongement (voir règle 185.1(f)). Les mesurages seront faits perpendiculairement à la ligne d'appel ou son prolongement.
III – Fautes
S'il prend appel totallement en dehors des extrémités latérales de la planche d'appel. Si après avoir sauté, il marche en arrière, dans la zone de chute. Si en tombant, il touche le sol en dehors de la zone de chute, plus près de la ligne d'appel que la marquela plus proche faite dans la zone de chute.
Un essai est considéré comme un échec si le sauteur : - prend son appel des deux pieds, - fait tomber la barre en la touchant, - décidant, à l'approche de la barre, de ne pas sauter, touche par inadvertance le matelas de réception ou le sol au-delà du plan des poteaux (situation B ci- dessous).
SAUTEUR, -EUSE, subst. et adj.
Définition du terme Sauter : Différent du verbe « baiser », il n'est généralement utilisé que par les hommes dans des expressions du type « je l'ai sautée ». Autrefois appartenant au champ lexical de la danse, il désigne, dès les années 50, les mouvements du lit lors de la relation sexuelle.
- La course d'élan - L'appel (impulsion) - L'envol - La réception. La défaillance de l'une d'elles peut se répercuter sur l'autre. L'athlète cherche à atteindre sa vitesse optimale.
Le record du monde masculin est détenu depuis 1991 par l'Américain Mike Powell avec un saut à 8,95 mètres, le record du monde féminin est depuis 1988 la propriété de la Soviétique Galina Chistyakova avec 7,52 mètres.
Dans l'Antiquité, les Grecs et les Romains pratiquaient l'épreuve sportive du saut en longueur. Le saut en longueur est la seconde épreuve du penthatlon des jeux olympiques antiques.
Locution nominale
(Saut en hauteur) Technique de saut en hauteur pour franchir une barre horizontale ventre vers le sol.
Trouver le pied d'appel le plus efficace par essais successifs des 2 pieds. Essayer successivement les 2 pistes d'élan et déterminer son pied d'impulsion par mesure du saut moyen après 3 essais sur chaque piste. Rajouter 2 ou 4 appuis pour rallonger la prise d'élan.
Pour y arriver, l'idéal est d'adopter une foulée médio pieds (le médio pied entre en 1er en contact avec le sol. Cette foulée est considérée comme la manière « naturelle » de courir), d'augmenter sa fréquence de course et d'atteindre les 170-180 pas par minute.
Plus la course est rapide, plus la foulée doit être allongée (à 12km/h la foulée est d'environ de 1,20m et à 15km/h elle est de 1,50m). Quand la foulée s'allonge, la fréquence s'accroit. Au contraire, sur des longues distances, la foulée se raccourcit naturellement car la course est plus lente.
En concours, on se place bien collé à la barre et on marche (avec « son pas d'1m ») en comptant le nombre de pas jusqu'à l'obstacle suivant. Si on a par exemple 15m, on sait que c'est 3 foulées en avançant pour un « petit » cheval ou 3 foulées « normales » pour un grand cheval avec de l'amplitude.
"Le sable doit être un sable de rivière nettoyé à l'eau douce, explique Benoît Laruel, le responsable de la compétition à l'IAAF. Il ne doit pas être concassé comme le sable des carrières, trop fin, qui a la réputation de coller à la peau et de s'inviter dans les chaussures."
- Franchir la ligne d'arrivée à vitesse maximale Parcourir la plus grande distance possible en 9 sec Reproduire une performance - Je pars au signal - Je cours le + vite possible - Je vais le plus loin possible pendant ma course - Je fais 2 essais - mon partenaire qui est juge valide la distance au coup de sifflet du à ...
Il faut donc trouver un angle d'attaque spécifique environ 130° (pour un angle d'envol de 60° en hauteur) alors qu'au saut en longueur l'angle d'attaque est d'environ 120° (pour un angle d'envol de 21 à 22° en longueur).