La subordonnée de condition introduite par si est toujours à l'indicatif. Le mode de la principale, lui, varie : si la condition est considérée comme sûre, la principale est à l'indicatif (ou à l'impératif) ; Exemple : Si tu pars, je t'accompagnerai. si la condition est incertaine, la principale est au conditionnel.
Notion de phrase L'action de la phrase syntaxique où est enchâssée la subordonnée ne peut se réaliser que si l'action de la subordonnée se réalise ; c'est la subordonnée circonstancielle de condition : Je ferai un voyage autour du monde si je gagne à la loterie.
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, quand, comme, si, etc.) ou par une locution conjonctive de subordination (parce que, bien que, pour que, etc.). Ex. : Les pêcheurs attendent pour sortir [que la tempête se calme].
La proposition subordonnée conjonctive circonstancielle apporte des précisions sur les circonstances dans lesquelles a lieu la proposition principale. Elle joue le rôle de complément circonstanciel. Elle est introduite par une conjonction de subordination (quand, si, comme, etc.)
Qu'est-ce qu'un complément circonstanciel (ou complément de phrase) ? Les compléments circonstanciels (CC), aussi appelés « compléments de phrase », sont des compléments de la phrase. Ils précisent les circonstances dans lesquelles se déroule l'action exprimée par le verbe.
Si la proposition subordonnée se rapporte à un nom, ce sera une « relative ». Si elle se rapporte à un autre élément (à l'ensemble de la proposition ou à un verbe), ce sera une « conjonctive ».
Il existe trois sortes de propositions subordonnées : – les propositions subordonnées complétives ; – les propositions subordonnées circonstancielles ; – les propositions subordonnées relatives.
La proposition subordonnée circonstancielle de cause "parce qu'elle était fatiguée" exprime la raison pour laquelle "elle" est partie. J'espère que tu viendras. La proposition subordonnée complétive "que tu viendras" complète le verbe "espère" en exprimant le contenu de ce que j'espère.
Comme son nom l'indique, la proposition subordonnée complétive conjonctive est presque toujours un complément. Elle a le plus souvent le rôle de complément d'objet (COD ou COI). Elle peut aussi avoir le rôle de complément du nom, complément de l'adverbe ou de l'adjectif.
au cas où, dans l'hypothèse où, quand, etc., suivies du conditionnel ; à condition que, à moins que, à supposer que, pour peu que, pourvu que, que… (ou) que, soit que…
La condition exprime très souvent un fait ou un état qui est indispensable pour l'accomplissement d'un deuxième, créant dans une certaine conséquence. De l'autre côté, l'hypothèse réside sur l'expression d'un fait ou d'un état imaginé, où on imaginerait ce qui passerait si l'événement avait eu lieu.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de cause est introduite par les conjonctions parce que, puisque, comme, vu que, sous prétexte que, etc. Il est arrivé en retard parce que sa voiture est tombée en panne. Il est arrivé en retard sous prétexte que sa voiture est tombée en panne.
Une proposition subordonnée circonstancielle est une proposition qui joue le rôle d'un complément circonstanciel. Elle constitue donc un groupe plus ou moins facultatif et peut être supprimée de la phrase. Ex. : Je travaillerai [pendant que tu dormiras]. → La subordonnée pendant que tu dormiras est complément de temps.
Elle est introduite par des conjonctions de subordination comme - bien que, quoique, malgré que. Le verbe est conjugué au mode subjonctif. Exemple : Il est venu bien qu'il soit malade. La proposition subordonnée circonstancielle finale a la fonction de complément circonstanciel de but.
les conjonctions : quand, lorsque, comme ; les locutions conjonctives : tandis que, pendant que, en même temps que, au moment où, tant que, dès que, aussitôt que, chaque fois que, toutes les fois que, à mesure que. On emploie en général l'indicatif, au même temps que celui de la principale (ou à un temps équivalent).
Une proposition subordonnée circonstancielle a pour fonction d'être complément circonstanciel. Ainsi, elle peut être déplacée ou supprimée (sauf s'il s'agit d'une circonstancielle corrélative).
c) Modes : Ces propositions subordonnées peuvent être à différents modes : - à l'indicatif quand l'action qu'elle exprime est considérée comme certaine. - au subjonctif quand la subordonnée est sujet, ou qu'elle exprime le doute ou la réussite. - au conditionnel lorsque l'action qu'elle évoque est irréelle.
Une proposition subordonnée complétive a en général pour fonction d'être COD du verbe de la proposition principale. Elle fait donc partie du groupe verbal et ne peut pas être supprimée. On peut distinguer les propositions subordonnées conjonctives en que, les subordonnées interrogatives et les subordonnées infinitives.
Introduite par une conjonction de subordination (comme, lorsque, puisque, quand, quoique, si...) ou une locution conjonctive (dès que, parce que, afin que, bien que, jusqu'à ce que...). La subordonnée conjonctive peut généralement se déplacer. Nous marchons en forêt quand le temps le permet.
- délimite les propositions par des crochets [ … ] - donne en dessous de chaque proposition, sa nature : dis si c'est une proposition indépendante, principale ou subordonnée. - indique comment elles sont associées : dis si c'est par un lien de juxtaposition, de coordination ou de subordination.
Selon les grammairiens, la liste des compléments circonstanciels diffère, mais ceux qui sont le plus couramment représentés sont les compléments circonstanciels de temps, de lieu, de manière, de moyen, de cause, de conséquence, de but, d'accompagnement, de comparaison, d'opposition, de concession et de condition.
Les compléments circonstanciels de manière répondent aux questions : comment ?, de quelle manière ? Ils indiquent donc la manière dont se déroule l'action : Tu parles trop vite.