Dépression et déficit / carence en vitamine D
Plusieurs grandes études scientifiques ont montré une relation entre les taux sanguins de vitamine D et la survenue de troubles dépressifs. Ainsi, de faibles taux de vitamine D seraient associés à davantage de symptômes de dépression.
On peut soigner la dépression en jouant sur deux registres complémentaires : les médicaments antidépresseurs et la psychothérapie. Face à une dépression légère ayant peu d'impact sur la vie quotidienne, un médecin généraliste recommande plutôt un soutien psychothérapeutique.
Vitamine B3 pour stabiliser le moral. C'est l'une des molécules les plus utilisées pour lutter contre les états dépressifs, en association avec la vitamine C et les acides aminés. Elle se trouve dans le foie, les viandes blanches, le thon ou le saumon. Vitamines B6 et B9 pour la bonne humeur.
La vitamine B1, ou « thiamine » est en effet réputée pour aider l'organisme à lutter contre les facteurs de stress en réduisant l'anxiété et la dépression, et par le fait même, à améliorer l'humeur.
Consommation excessive de sucre et dépression saisonnière
D'après une équipe de chercheurs américains, la consommation excessive de produits bourrés de sucres serait pourtant loin d'être anodine car elle affecterait notre moral en jouant un rôle dans le déclenchement de la dépression saisonnière.
On trouve de la vitamine B6 dans les poissons gras, les protéines complètes, les germes de blé, les légumes secs (lentilles...), les légumes (carottes, oignons, épinards...), les fruits (prunes, bananes., avocats...), les produits laitiers, le foie, le jaune d'œuf, les noix, les graines.
Le Griffonia est une alternative sérieuse aux antidépresseurs de synthèse. De nombreuses études confirment son efficacité et son absence d'effets secondaires ! Un moyen naturel pour lutter contre l'anxiété, la dépression passagère ou grave.
Les chercheurs ont découvert que chez 112 participants avec des données utilisables, la consommation de chlorure de magnésium pendant 6 semaines a mené à une amélioration significative au niveau clinique dans la mesure des symptômes de la dépression et de l'anxiété.
Framboises, mûres, groseilles, myrtilles, cassis, baies de goji ou encore cranberries (canneberge), ces petits fruits ont de grandes vertus. Bien sûr, chacun a ses spécificités mais ils sont généralement riches en vitamine C, en minéraux, en fibres et même en acides gras. Surtout, ils regorgent d'antioxydants.
Les conseils de bons sens sont souvent efficaces pour retrouver du tonus et un meilleur moral : adopter une alimentation équilibrée, pratiquer une activité sportive, penser à soi, se faire plaisir, voir des amis, sortir pour se changer les idées ou prendre quelques jours de vacances.
1-Ouvrir la fenêtre. Dès le matin, on se crée une bulle de protection grâce à un rituel respiration. Être de bonne humeur, c'est savoir commencer sa journée en se levant "du bon pied", en prenant le temps d'effectuer une respiration thoracique pour faire pénétrer dans ses poumons l'énergie positive du matin.
Allez vous coucher sur une bonne note
Au contraire, lisez quelque chose de léger, écoutez de la musique, méditez… Faites quelque chose d'agréable. Évitez la lumière vive, mettez vos problèmes de côté avant d'aller au lit. Esprit tracassé = sommeil perturbé = mauvaise humeur au réveil !
Au cœur de la dépression, c'est la régulation émotionnelle qui est atteinte, mais toutes les autres fonctions révèlent également des difficultés à travers les symptômes. Les émotions, changements d'humeur, pensées, perceptions et comportements sont tous liés à l'activité des cellules nerveuse de notre cerveau.
Le cortisol est produit par la glande surrénale (qui se trouve au niveau des reins), avec des pics de sécrétion en réponse au stress, à la peur ou la colère. En outre, le niveau de cortisol subit des fluctuations au cours de la journée avec un pic le matin après le réveil.
début brutal ou en quelques semaines ; spontané ou réactionnel à un événement ou une série d'événements ; phase d'état avec un nombre de symptômes plus ou moins importants et une intensité plus ou moins forte; cette phase dure 4 à 6 mois ; fin progressive de l'épisode : spontanément ou sous l'effet des traitements.